- 2025 -

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Revu - 02.01.2025

Note inchangée.

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Revu - 05.01.2025

Note inchangée.

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Revu - sur Disney + - 12.01.2025

Note inchangée.

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Vu - sur Netflix - 19.01.2025

Rien de bien intéressant ici. Un film Netflix du niveau d’un téléfilm France TV encore particulièrement pauvre et mal conçu (plus d’une heure sans le moindre intérêt avec un flash back terriblement long et inutile et un final cousu de fil blanc). On notera les quelques scènes d’action et encore… un petit 5 vraiment pour la forme… Vu et oublié… NEXT !!!

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Vu - au cinéma - 21.01.2025

Un film enquête fort bien mené par l’expertise du moderne réalisateur belge Fabrice Du Welz déjà auteur ici de son dixième film en 20 ans !

Le réalisateur belge s’inspire et réadapte ici à l’écran « l’affaire Marc Dutroux » qui sema la terreur en Belgique au milieu des années 90. Du Welz prend le récit ici en illustrant l’affaire Dutroux via le biais du « Project Maldoror » une enquête de filature discrète d’une petite équipe de gendarmerie belge qui soupçonne le ferrailleur d’être l’un des principal acteur de la disparition et de la possible séquestration de plusieurs jeunes filles en Belgique francophone.

C’est Anthony Bajon - excellent d’intensité et de maîtrise - qui interprète le gendarme principal en charge de la surveillance du principal suspect mais si celui ci est plein de fougue et bonne volonté pour résoudre l’enquête le gendarme va très vite comprendre que l’enquête va rapidement s’enliser face aux multiples ramifications du dossier et pour ne rien arranger de la situation conflictuelle entre les différents services d’enquête belge (police, gendarmerie, justice etc.).

Aux côtés du jeune Anthony Bajon une pléiade de seconds rôles savoureux - Sergi Lopez, le Marc Dutroux du film, Béatrice Dalle, Laurent Lucas, Mélanie Doutey et les nouveaux espoirs du cinéma français Alba Gaïa Bellugi et Alexis Manenti - tous maîtrisent leur participation avec soin.

L’ensemble est fort et percutant même si quelques longueurs sont à noter (2h38) avec un réel soin du metteur en scène belge à retranscrire l’atmosphère de cette Belgique des années 90 !

Une belle réussite pour débuter l’année 2025 au cinéma !

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Revu - sur Netflix - 26.01.2025

-1 / vu en VQ très désagréable… Tout le monde surjoue (Al Pacino - en tête - mais également un Matthew McConaughey du début des années 2000 comme dans 𝘚𝘢𝘩𝘢𝘳𝘢 ou 𝘓’𝘢𝘮𝘰𝘶𝘳 𝘥𝘦 𝘭’𝘰𝘳 et également Rene Ruso loin de son meilleur niveau). L’ensemble est assez irritant même si l’objet proposé par DJ Caruso se suit tout de même avec intérêt.

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Vu - au cinéma - 28.01.2025 (Festival Télérama)

Excellent ! Jacques Audiard revient au cinéma avec maestria en nous contant le destin d'Emilia Pérez, de manière indirecte via le destin de l'excellente Zoe Saldana (la vraie réussite du film) dans le rôle de l'avocate Rita Moro Castro, on y suit donc dans un parfait mélange des genres et des codes le destin d'un puissant chef de cartel mexicain, Manitas, qui rêve de devenir la femme qu’il a toujours voulu être... Avec l’aide de son avocate Rita, il orchestre sa disparition et entreprend une transition pour renaître sous le nom d’Emilia Pérez - l'actrice trans espagnole Karla Sofia Gascon dans son premier grand rôle au cinéma ... Désormais libre, Emilia tente de reconstruire sa vie en aidant les victimes du narcotrafic et en cherchant à renouer avec sa famille, mais son passé violent la rattrape... Thriller musical mêlant crime, identité et rédemption dans une fresque aussi audacieuse que poignante.

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Revu - Disney + - 09.02.2025

Note inchangée.

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Revu - 10.02.2025

Note inchangée.

Comme lors de mon premier visionnage, si l’ensemble est divertissant notamment car servi par un casting de choix (Dennis Quaid, Forest Whitaker, Matthew Fox, Sigourney Weaver, Edgar Ramirez, Zoé Saldana etc.) c’est véritable la mécanique du film qui repose sur l’angle de vue de chaque protagoniste pendant la tentative d’assasinat du président américain - William Hurt (très bon) - et l’attentat à la bombe qui s’en suit pendant un sommet antiterroriste à Salamanque en Espagne, qui intrigue au préalable puis finalement lasse très vite pour au final se détacher du récit et des faits qui sont au fur et à mesure distillé…

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Revu - 17.02.2025

Note inchangée.

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Vu - au cinéma - 18.02.2025

"5 septembre" de Tim Fehlbaum nous replonge avec intensité dans la tragédie des Jeux Olympiques de Munich en 1972, où un commando terroriste palestinien prit en otage des membres de l’équipe israélienne. Le film se concentre sur l'équipe de télévision d'ABC Sports, venue couvrir les exploits sportifs, qui se retrouve au cœur d'un événement majeur du XXe siècle.

Fehlbaum offre une perspective unique sur cette journée historique, explorant les dilemmes moraux et éthiques du journalisme en direct. Le studio de télévision devient un huis clos glaçant où chaque décision pèse lourd. Le casting, mené par Peter Sarsgaard et John Magaro, livre des performances convaincantes, rendant les personnages authentiques et mémorables. Leonie Benesch (mémorable dans La Salle des Profs), nouvelle coqueluche du cinéma allemand, brille également à l'écran.

Le montage dynamique et les effets sonores réalistes contribuent à l'immersion, tandis que l'esthétique visuelle sobre ancre le récit dans la réalité historique. La gestion de la lumière et des ombres ajoute une profondeur visuelle qui soutient l'atmosphère tendue du film.

Seul petit bémol, bien que se maintenant un rythme soutenu tout du long, le récit ne s’octroie pas le luxe (sur 1h35 de film) d’une exploration approfondie des enjeux politiques et du contexte de la prise d’otage que vous pouvez retrouver dans l’excellent Munich de Steven Spielberg pour parfaire le sujet si glaçant que cette prise d’otage sans commune mesure dans l’histoire moderne.

En somme, "5 septembre" est une œuvre puissante qui interroge le pouvoir des médias et la responsabilité journalistique. À l'ère de la désinformation, ce film rappelle l'importance de l'éthique et de la rigueur dans la couverture de l'actualité. Une expérience cinématographique intense et réfléchie, déjà un must pour l’année 2025 qui commence à peine…

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Revu - 19.02.2025

Note inchangée.

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Revu - 20.02.2025

Note inchangée.

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Revu - sur Netflix - 23.02.2025

Note inchangée mais plus intéressant que dans mes souvenirs…

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Vu - 23.02.2025

6 - Le film ne vaut pratiquement que pour son duo d’acteurs (Harrison Ford / Brad Pitt) car l’ensemble n’est n’y engageant ni réellement divertissant… L’ensemble sonne creux… Ou alors c’est malheureusement le poids des années qui pèse désormais sur le dernier film d’Alan J. Pakula…

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Revu - 09.03.2025

Note inchangée.

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Vu - au cinéma - 22.03.2025

Drôle de film d’espionnage dans l’ensemble assez inégal que nous livre ici l’ancien génie du nouveau cinéma hollywoodien Steven Soderbergh. L’œuvre pour moi ne peut que diviser même les plus fervents supporters du cinéma actuel…

Après une première demi-heure déroutante et une mise en scène parfois trop complexe, le film peine à capter l’attention dès le départ. La scène d’ouverture du dîner entre amis, par exemple, est un moment étrange et maladroit…
Néanmoins, une fois passé ce démarrage laborieux, le film trouve un certain rythme. Soderbergh explore le genre de l’espionnage avec son style assez inhabituel, mêlant intrigue politique, suspense et moments de tension. Le scénario, bien que pas toujours clair, propose des rebondissements intéressants et une réflexion sur les rouages du pouvoir et de la manipulation.
Cela dit, le film souffre néanmoins d’un excès de dialogues. Il est très verbal, parfois trop bavard, et manque de scènes d’action pour dynamiser le récit. Les longues conversations, bien que bien écrites par moments, s’enchaînent sans toujours apporter de véritable tension ou de profondeur. On aurait aimé plus de liant, plus d’un « je-ne-sais-quoi » qui pourrait emmener le film plus loin et lui donner un souffle épique ou une intensité palpable.

Le casting, bien qu’original, est globalement en demi-teinte. Michael Fassbender, en tête, habituellement charismatique, semble ici en retrait, comme s’il peinait à s’approprier son rôle. Cate Blanchett, bien que toujours aussi talentueuse, loin d’être à son meilleur montre quelques signes de fatigue. Pierce Brosnan, quant à lui, incarne un personnage ambigu, manipulateur et cynique, et s’en sort plutôt bien, même si le film ne lui donne pas assez de matière pour vraiment briller. Toujours au rayon des seconds rôles, Naomie Harris et Regé-Jean Page, malgré leur potentiel, ne parviennent pas à exceller dans leurs rôles, qui manquent cruellement de développement et de relief. Mais pour moi, la vraie révélation du film, c’est Marisa Abela. Déjà remarquée dans le biopic d’Amy Winehouse, elle apporte une fraîcheur et une intensité rare à son personnage. Elle capte l’attention dès qu’elle apparaît à l’écran, et on ne peut s’empêcher de se demander pourquoi elle n’a pas eu plus de place dans le récit.

Visuellement, le film est typique d’un bon Soderbergh : des plans soignés, une photographie travaillée et une ambiance qui rappelle ses meilleures œuvres. Mais ces qualités te

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Revu - sur Paramount + - 02.04.2025

Le Saint de Phillip Noyce où le charme désuet d'une époque révolue…

Quand on revoit Le Saint aujourd'hui, le film se regarde comme une capsule temporelle des années Clinton : une époque où l'on pouvait encore croire à des escrocs romantiques et à des savants idéalistes. Le résultat ? Un objet cinématographique aussi attachant que bancal, sauvé in extremis par le charisme de ses deux stars.

Val Kilmer le Arsène Lupin « made in Hollywood »… Avec sa performance à la fois drôle et touchante, Val Kilmer donne à Simon Templar une profondeur inattendue de séducteur-voleur. Ses mimiques, ses répliques cinglantes et son regard énigmatique font de lui un anti-héros mémorable et avec la détonnante Elisabeth Shue ici en scientifique loin du cliché de la demoiselle en détresse, Shue incarne une physicienne aussi brillante que déterminée. Leurs scènes ensemble sont des pépites d'alchimie romantique. Et entre la BO électro, les costumes impeccables et les décors glacés de Moscou, le film respire cette esthétique typiquement fin de siècle qui nous manque tant aujourd'hui.

Mais, malgré tous ces bons points, Philipp Noyce pêche comme souvent (cf les films « Salt » et « Bone Collector ») par excès de confiance… Notamment ici, au niveau de l'intrigue autour de la fusion froide qui frise parfois le ridicule, avec ses méchants mafieux moscovite caricaturaux et ses rebondissements prévisibles. Ainsi que des effets spéciaux datés, les transformations de Templar, peut être brillante en 1997, font aujourd'hui sourire car presque aussi inspiré que des filtres Snapchat d’un enfant de huit ans sur ses selfies quotidiens…

Pourtant, ces défauts participent finalement à son charme rétro. Le Saint appartient à cette catégorie de films qu'Hollywood ne fait plus : imparfaits, naïfs, parfois risibles, mais portés par une énergie et un charisme qui transcendent leurs limites. La disparition de Val Kilmer donne aujourd'hui à revoir sa performance avec une émotion nouvelle - comme un dernier tour de magie de ce facétieux génie…

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Vu - au cinéma Pathé Palace Paris - 08.04.2025

6 / plein de bonnes idées, mais l’ensemble est tellement mal fagoté… 11. On sent dans le film la patte de Noémie Saglio, la réalisatrice déjà réalisatrice de plusieurs films et séries, telles que Plan. Cœur pour Netflix ou la série, puis le film connasse avec Camille Cotin. Son son approche est plutôt moderne dans le style d’un OSS, 117 ( vraiment juste le style pour la forme, et le fond, on repassera). Pas sûre que le et le casting aide vraiment le récit… Camillou est une actrice de série télé ou de téléfilm au mieux. Elle a une énergie sympathique, mais loin de là, pour emporter, l’adhésion et de porter réellement un film sur ses épaules. Annecy, Vincent Dedienne est fort sympathique et que je l’apprécie beaucoup en tant que humoriste. Je doute encore de son pouvoir en tant qu’acteur, il cabotine une bonne partie du film, même si on peut lui garder quelques ressorts comiques relativement drôle que dire des second rôle. Une Pleiades de star Isabelle Adjani, Didier Bourdon Fabrice Luchini, mais aucun deux n’apporte réellement quelque chose au film ils cachetonnent tous. Comme souvent avec les adaptations de B.D., on reste clairement sur notre fin, même si le côté féministe de Natacha est intéressant, mais le voir au cinéma n’a aucun intérêt. Voilà surtout que d’après que j’en sais, Netflix, c’est parti prenant du film qui est parti, prenante, dit conception à son niveau et à son échelle afin d’ être Redistribuer sur sa plate-forme. Et c’est bien là. Le seul intérêt du film c’est d’être diffusé sur Netflix, il est du même acabit que les productions Direct tout Netflix…

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Vu - chez Gonzalo et Mila - 13.04.2025

Un petit film d’animation plus que convenable qui emporte facilement l’adhésion par un scénario simple mais fédérateur de la jeune tortue Samy qui se lance dans un périple initiatique autour des mers du globe afin d’y découvrir le paradis des tortues mais surtout se trouver lui-même en tant que tortue… Les différents sous textes à destination des plus jeunes sont positifs (arrêter de polluer les mers au risque de voir disparaître des espèces maritimes innocentes etc.). L’ensemble fonctionne et se suit sans déplaisir même pour les plus grands. Alors oui on est loin d’un chef d’œuvre d’animation mais le résultat fait le job avec efficacité ! Une bonne surprise !

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Vu - au cinéma - 15.04.2025

Samuel Theis réalise avec « Je le jure » un film à l’ambition singulière, mêlant portrait social intimiste et immersion dans le système judiciaire. Si l’œuvre mérite d’être saluée pour son originalité et quelques fulgurances, elle ne parvient pas toujours à transcender ses propres partis pris pour emporter pleinement l’adhésion…

On y suit Fabio, incarné par le non-professionnel Julien Ernwein, catapulté tête d’affiche pour la première fois à l’écran, quadragénaire sans ancrage, dont la vie oscille entre amitiés de surface, son travail dans une recyclerie de Forbach et une relation amoureuse secrète avec Marie, une femme de trente ans son aînée. Theis capte avec justesse cette existence en dérive, où les fêtes improvisées et les conversations sans relief trahissent un profond malaise existentiel. La convocation de Fabio comme juré au tribunal de Metz agit comme un révélateur : pour la première fois, cet homme habitué à subir sa vie se retrouve confronté à une décision lourde de sens - le sort d'un jeune pyromane récidiviste de 22 ans, interprété avec intensité par Souleymane Cissé, lui aussi dans son premier rôle au cinéma. Le film devient alors un procès à hauteur d'homme, nous plaçant aux côtés de Fabio dans cette expérience judiciaire.

Ce qui frappe immédiatement dans « Je le jure », c'est son refus des codes traditionnels du film de procès. Loin des plaidoiries grandiloquentes et des rebondissements dramatiques, le film choisit une approche quasi documentaire, nous plaçant à hauteur de juré. Cette immersion dans les coulisses de la justice - avec ses émoluments, ses discussions de couloir et ses délibérations tendues - constitue sans conteste la grande force du film.

Theis mise comme sur ses présentes œuvres sur un casting hybride qui fonctionne globalement bien d’acteurs confirmés qui livrent des performances intéressantes, sans toutefois atteindre leur plein potentiel, Marina Foïs, en présidente de cour assure son rôle, avec une autorité mesurée et crédible même si on l'a vue plus électrisante (dans « Polisse » de Maïwenn ou plus féroce dans « Une intime conviction » l’autre film de procès de l’actrice. Ici, son jeu reste un peu en retrait, comme pour ne pas écraser le réalisme du film. Louise Bourgoin, en jurée médecin généraliste, apporte une touche engagée au récit. Convaincue que le jeune pyromane doit avant tout être soigné pour sa pathologie, son personnage aurait mérité plus d'exploration. Elle incarne une vo

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Revu - sur Netflix - 16.04.2025

Note inchangée.

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Revu - 21.04.2025

Note inchangée.

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Revu - 02.05.2025

Note inchangée (peut être -1 pour un 6/10)

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Vu - sur Netflix - 04.05.2025

Un pur produit popcorn "made in Netflix" cochant toutes les cases avec ses scènes d’action décomplexée, ses bon sentiment flagrant et happy Ending de rigueur même si ici on notera l’originalité qui vient que Exterritorial est un film allemand à majorité avec l’appui de l’acteur écossais Dougray Scott (Mission Impossible 2, Hitman, Taken 3). En somme, Exterritorial est un pur divertissement Netflix bien produit, mais sans réel, intérêt que de simplement divertir, et cette mission est plutôt bien réalisé dans l’ensemble

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Revu - 11.05.2025

Note inchangée.

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Revu - 11.05.2025

Note inchangée.

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Vu - 09.06.2025

De bien trop, nombreuses incohérences pour pleinement me satisfaire… Danny Boyle surjoue le film de zombies ainsi que le film apocalyptique pour un résultat bien loin, pour moi, des avis élogieux des critiques spécialistes du genre et des spectateurs de l’époque…

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Vu - sur Netflix - 15.06.2025

Pas indigeste pour le style et pour une production Netflix avec la revenante mais toujours appréciable Lindsay Lohan.

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Vu - au cinéma - 28.06.2025

De loin le moins bon volet de la saga depuis Mission Impossible 2 de John Woo… Un final en eau de boudin pour l’une des plus savoureuses saga d’action et d’espionnage du cinéma hollywoodien du XXIème siècle. Beaucoup trop de superflu, des scènes beaucoup trop longue (les voltiges aériennes, les scènes dans le sous-marin etc.). Le scénario manque de clarté et de consistance. Les retours en arrière avec le précédent volet sont mal organisé, mal agencé. Une suite bien trop bancal pour convaincre. Tom Cruise fait du Tom Cruise… alors il le fait bien dans les grandes lignes bien sûr ça reste Tom Cruise mais on assiste ici probablement à son dernier grand rôle dans un film d’action, car le poids des années commence vraiment à se faire sentir sur son visage plus que dans ses gestes il est vrai… le reste du casting est comme toujours chez mission, impossible sans grand intérêt (seul Simon Pegg est sympathique comme à chaque fois) les autres seconds rôles sont réellement des portes gobelets dans ce nouveau volet. On regrettera réellement un dernier volet, gâché, superflu, sans consistance, et qui finit mal une des plus grandes saga du cinéma moderne… C’est bien dommage…