2025

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Toujours le meilleur.

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Le plus abouti pour le moment.

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Qu'en dire ? La promesse est tenue. Un joyeux bordel vulgaire et décadent dont l'excès permanent est probablement nécessaire. Au délà, ses personnages broyés, ou en passe de le devenir, dans une impasse face à leur propre vie apportent la tonalité dramatique pour contrebalancer. Sans que cela ne puisse de toute manière suffire. Ce n'est de toute manière pas un film d'équilibre : la folie l'est rarement.

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Eggers égal à lui même. Le remake de l'adaptation est de qualité, l'ambiance et la tension sont palpables. Si certains détails kitch font un peu sourire, cela fait partie du charme de la chose. Le réarrangement de l'histoire est aussi subtil mais bien présent.

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Passage à la couleur réussi, un beau film sur la désillusion. Un peu mollasson au début puis la delulu s'installe.

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Un bon épisode de la série. Une évolution vers plus de colère et toujours le même schéma vaguement dramatique.

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Comment ça, pas vu depuis 2019 ?

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Aussi imparfait soit-il, on n'en mesure que plus la qualité et la chance d'avoir grandi avec suite au traumatisme de l'abominable postlogie.

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Folk horror plus qu'honnête, qui manque malheureusement de mystère et de panache.

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Il en fait peu trop mais arrive quand même à se retrouver légèrement fade. Allez savoir. En tout cas, ce ne sera pas le plus mémorable.

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Drama mais éternel bon souvenir.

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Quand on voit VII, VIII et IX... c'est très bien de limiter ses ambitions et de ne pas vouloir réinventer la Force.

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Revisionnage salutaire. Cette première adaptation de Dracula manque encore de piquant, de mise en scène, de folie.

Et surtout, je ne succomberai pas au « c'était mieux parce-que ça a été fait par un boche il y a un siècle ».

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Un film qui ne sait pas vraiment choisir son sujet entre la satire lourdingue, la comédie bébête, la métaphore, la SF et ses questionnements éthico-philosophiques. En tout cas il y'a de l'ambition, du budget, du spectable et une histoire. C'est déjà ça mais on pouvait en attendre plus.

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Je voulais être plus sympathique avec ce film bourrin mais plutôt sincère et pas trop mal fichu. On aime le côté rétro 80s/90s, Alain Chabat en daron cool, les 400 coups de Clotaire... Seulement, beaucoup de choses ne passent pas.

Poelvoorde qui cabotine en chasseur-gangster fan de karaoké, le phrasé ignoble d'Adèle Exarchopoulos, le déséquilibre des timelines, le final caissière/cariste...

M'enfin, c'est beau le cinéma : ils ont romantisé Dunkerque.

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Les aventures de Wallace et Gromit perdent à s'étendre : en tripler la longueur était un peu trop ambitieux.

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Un bon bouche-trou.

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Un bon bouche-trou (x2).

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Petit film à sketches qui fonctionne bien, on oubliera l'espèce de morale/superstition « L'argent sans sueur c'est sale, ça apporte le malheur... ».

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Très bien pour les enfants, un peu moins intéressant pour les autres.

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D'un grand kitch.

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D'un très grand kitch.

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« Oh putain on dirait Guillaume Canet »

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Moins pire que de souvenir. Le bon réglage de la couleur aide beaucoup à en calmer le kitch pompier.

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Bien : le retour des interfaces rétro de l'univers d'Alien, le lore initial, la gestion de la tension, le fait que ça ne parte pas trop en sucette.

Moins bien : on a déjà tout vu 10 fois, des Xénomorphes qui se font dégommer à la mitraillette, la paralysie du sommeil finale.

C'est un peu dommage que la parenthèse Prometheus/Covenant ait été plus ou moins refermée sans jamais que son potentiel ait été exploité.

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Pire que de souvenir.

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Pire que de souvenir.

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J'ai beau aimer la SF vintage, ça en devient trop abstrait pour moi. Animation statique, histoire minimaliste, personnages désincarnés... L'esthétique et la bande-son ne suffisent malheureusement pas à compenser.

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Quand on part d'une bonne idée, il vaut mieux en faire quelque-chose plutôt que de se contenter de se vautrer à ce point dans le grotesque facile. Au-delà du message général très peu subtil (objectification, corps des femmes, rapport à l'image, chirurgie esthétique, culte de la jeunesse) plusieurs niveaux de lecture peuvent être intéressants quand on réfléchit à la perspective de cette facilité.

On peut penser à l'absence de maturité face à sa propre sénescence, à l'incapacité de résister à ses propres pulsions narcissiques ou aux injonctions de perfection en l'absence d'une discipline mentale suffisante. On n'est pas toujours son meilleur allié, se faire face à soi même est un combat comme un autre. Maintenant, ça ne suffit pas à en faire un bon film.

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Bon.