2.0.1.9 // petit écran

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NETFLIX
Anime de 1997
25 épisodes de folie furieuse qui font passer GoT pour un conte pour enfants, le monde de Guts est brutal, les luttes de pouvoir prenantes et bien construites, l'animation, bien que parfois datée, rend bien compte de la puissance des coups et des chocs des affrontements.
Et ce final bordel de merde, une fin complètement apocalyptique à l'ascension de Griffith et la Brigade du Faucon, qui donne juste envie de tout reprendre dans le manga (ce que je vais m'empresser de faire d'ailleurs).

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NETFLIX
3ème visionnage de "San Junipero" : 10/10. Meilleur épisode de la série, une histoire d'amour merveilleuse, des questionnements métaphysiques et philosophiques intéressants et profonds, qui dépassent le "gadget" de certains nouveaux épisodes... Une conclusion solaire, une BO qui déboite...

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NETFLIX SAISON 3
Une des meilleures saisons, surtout grâce à cet épisode avec Isabelle Huppert. Bonne série pour faire complètement autre chose à côté.

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SAISON 6
C'est toujours aussi drôle, même avec le changement de chaine. NINE NINE !

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SAISON 3
A travers cette construction complexe et fragile, plein de faux-semblants, de détours et de révélations soigneusement orchestrées, Pizzolatto nous balade et nous raconte non pas l'enquête, mais l'enquêteur, Wayne Hays (impérial Mahershala Ali) : ceci n'est pas un polar classique, mais bien un drame familial et existentiel. Un drame qui établit dans son dernier épisode doux-amer, un parallèle essentiel avec la première saison (et la deuxième aussi d'ailleurs) en illustrant les derniers mots de Rust Cohle : “Well, once there was only dark. You ask me, the light’s winning.”

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SAISON 5
Episode 1 uniquement (pour l'instant inch'allah) : un peu déçu par cet énième retour de Luther... qui glisse de plus en plus vers la caricature. Rien n'évolue, que ce soit dans la caractérisation du personnage ou la construction du récit. Et la partie "mafia" de la saison arrive comme un énorme cheveux sur la soupe...

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SAISON 2 / NETFLIX
Après une saison 1 qui se concentrait sur Frank Castle, voilà que déboule (enfin) le Punisher. Alors oui, il y'a quelques problèmes d'écriture, la suspension d'incrédulité vole parfois en éclats MAIS, on retrouve la violence qui imprègne les aventures de ce super-héros dans chaque strate du récit, les scènes d'action sont brutales, et les questionnements liés à la nature du Punisher sont globalement intéressants.
Et Jon Bernthal est vraiment incroyable dans ce rôle, tout en animalité, habité par une puissance sourde qui irrigue chague ligne de dialogue, c'est un plaisir de le voir jouer.
Vivement une petite saison 3 avant que Netflix annule.

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FIN DE SAISON 3 / NETFLIX
Après deux saisons de construction de Matt Murdock ET de Daredevil, va savoir pourquoi, on reprend tout du début. Mais en tout pourri. Le scénario est complètement capillotracté, Kingpin est ridicule (c'est le Caïd de la chouine), le développement de Bullseye mongole (woooohoooo je mets des bruits de mouche pour montrer qu'il devient foufou dans sa tête)... On dirait une parodie. Sinon la baston en plan séquence dans la prison est chouette, mais ils en font une par saison donc on est habitués, et ça arrive à l'épisode 6, faut encore se fader 7h de niaiseries après.

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NETFLIX
Plongée vénéneuse et fluo dans la psychée d'un tueur et de ses victimes, avec en sous-texte la condition des homosexuels dans les années 80-90... Un changement de registre par rapport à la saison 1 décuplant le malaise tout en attisant la fascination...

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NETFLIX
ça commence comme un teen movie des plus classique, mais au fur et à mesure des épisode ce lycée hors du temps, qui semble uniquement reposer sur des clichés de films du genre, et ces personnages plus finement construits qu'il n'y parait parviennent à trouver le chemin vers notre petit coeur de spectateur blasé. Un belle surprise.

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NETFLIX
J'ai vu que la moitié de l'épisode 1 : c'est moche, chiant et joué avec le cul. Je me suis fait avoir par le nom de G. R. R. Martin et la promesse d'une histoire d'horreur SF sympa...

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NETFLIX
Natasha Lyonne est vraiment hyper charismatique et donne tout son intérêt à cette comédie high concept qui s'effondre sur la durée, et déçoit surtout dans sa conclusion...

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NETFLIX
Plaisir coupable efficace qui donne un tour dark assez sympatoche à ces personnages. Après ça casse pas trois pattes à un canard... Mais le final est hyper intéressant et augure quelque chose d'intéressant pour la suite.

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NETFLIX
Jusqu'à l'épisode 4 : c'est hyper bien fait (pognon oblige), mais ça n'a pas vraiment réussi à me passionner... La faute à des enjeux trop diffus, et des personnages pas assez construits.

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NETFLIX
Pareil qu'Umbrella Academy, certaines images sont hyper fortes et marquent la rétine, mais l'ensemble manque de liant, ce qui mine l'intérêt qu'on peut avoir à suivre la trame globale... Mais j'y reviendrai.

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NETFLIX - SAISON 3
Beaucoup d'aller-retours, les cartes sont rebattues 3 fois dans une saison de 12 épisodes, ce qui a pour effet de perdre un peu le spectateur... Mais ça reste toujours très drôle et loufoque.

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LOVE DEATH + ROBOTS : 18 courts-métrages, 18 mandales dans la gueule qui propulsent le spectateur avec une énergie rageuse et incisive dans 18 univers SF : cyberpunk, space opera, steampunk asiatique, post apo... Un festival d’esthétiques, de genres et de techniques d’animation piloté par David Fincher et Tim Miller, aux bons relents de Métal Hurlant.

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SAISON 2
Cette saison pousse encore un poil le curseur estéhtique et décousu de la saison 1, en ajoutant de la profondeur à sa réflexion sur la divinité et la place du sacré ancestral dans une civilisation américaine naissante et branlante. En gros, on comprend rien, mais on en prend plein les yeux.

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Gregg Araki <3 donne un peu d'amplitude à ses récits apocalyptico-adulescents, sans forcément rafraichir la formule de ses films, mais ça fait toujours plaisir de voir du fluo, du cul et des aliens qui sodomisent des clochards dans l'écrin plastique artificiel qu'est LA. Vivement que la saison 2 plonge un peu plus dans le récit pur.

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NETFLIX
J'ai commencé en hate watch, c'est niais, un peu ridicule... mais au fur et à mesure la tendresse se déploie et on s'attache aux personnages. Fait le job.

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SAISON 1 : L'enfer sur terre putain. C'est joué avec le cul, éclairé par un aveugle et l'ingé son doit être complètement sourd... L'intrigue globale est hyper balisée, pas une seule surprise... Mais ils ont du budget pour faire des maquillages dégueu, c'est déjà ça de pris.

SAISON 2 : Là on commence un peu à discuter. Très (trop ?) inspirée de la saison 1 de The Wire, cette histoire de trafic de drogue commence vachement bien, certains comédiens ont profité de la trève pour prendre des cours et ça joue un peu mieux. Ils ont aussi acheté des projecteurs pour éclairer les scènes, et ça, ça change aussi pas mal le look de la série.

SAISON 3 : Pas mal, les fils qui se mêlent et se délient autour de la traque du serial killer fonctionnent bien. C'est quand même dommage que les personnages soient si balourds, on sent que les conflits sont rentrés au forceps dans l'intrigue... le passage à 12 épisodes n'était peut-être pas des plus heureux...

SAISONS 4, 5, 6, 7 : Je ferai un détail plus tard, mais la série trouve son rythme de croisière, avec des passages nettement plus palpitants que d'autres, mais l'ensemble se tient très très bien.

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NETFLIX
Construite comme un Game of Thrones à 350 km/h, et monté avec la nervosité d'un Fury Road, cette série documentaire nous plonge dans la saison 2018 de F1, avec ses coups bas, ses drames, ses exploits, et dresse un portrait passionnant et humain d'un monde qui restait jusque là synonyme d'ennui profond le dimanche après-midi.
Evidemment c'est encore un truc Netflix, foncez dessus !

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Le bouquin était un doberman lâché à la gorge de la France contemporaine, une fresque chorale dans les méandres de la médiocrité humaine et de la misère sociale qui nous jette dans le caniveau pour mieux nous en sortir dans une deuxième partie plus solaire...
Là on est plus sur du gros caniche habillé en punk à la dernière mode, complètement inoffensif, qui grogne un peu mais pas trop pour surtout éviter d'offenser ou de faire ressentir quelque chose.

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J'avais perdu l'espoir de retrouver un héritier de Banshee (magnifique si on aime les récits bien pulp et faussement débilos), et c'est finalement son créateur qui ramène un peu d'action bien foutue à la télévision. Le décor est cool, les personnages aussi, et ça suffit.

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SAISON 8
Critique du finale : Contrairement aux attentes des hordes de fans, THE IRON TRONE ne conclut pas la série en fanfare, mais dans un murmure. Un murmure d'espoir qui se lève sur les cendres de la ville, le trône fondu laissant place à un nouveau cycle.
Les histoires retrouvent de leur puissance, comme quand Brienne couche sur le papier celle de Jaime, et les enfants Stark survivants, ceux par qui tout a commencé, sont finalement libérés de l'héritage de leurs parents, et peuvent commencer à vivre.

C'est pas si pire quoi, détendez-vous.
(Vous avez vu la fin de Lost ? Ça ça valait une révolution !)

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NETFLIX
ça se regarde bien, comme un petit film indé à la tonalité bizarrement assez juste, oscillant constamment entre le drame et la comédie. Après ça casse pas trois pattes à un canard non plus.

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NETFLIX CANADA (3 premiers épisodes)
Comédie anglaise complètement loufoque, une galerie de personnages aux noms barrés, des intrigues qui n'ont pas grand sens, mais c'est hyper drôle si on est client de ce genre d'humour.

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REVU QUELQUES ANCIENS EPISODES
Toujours aussi cool.

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NETFLIX
Episodes 1 et 2 : La vache je pense que ça fait au moins quelques années que j'ai pas vu une merde pareille.

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NETFLIX / SAISON 2 / +2
FA-BU-LEUSE deuxième saison ! Le monde explose, les potentialités de cet OVNI de SF se décuplent en faisant naviguer le spectateur hagard de surprise en surprise, renouant avec le vrai plaisir de la découverte, et pas seulement de l'esthétisme pour l'esthétisme. Chef d'oeuvre.