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A ne pas lire pendant la période d'ovulation

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C'est parti pour lire l'oeuvre entière de Pratchett

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fan girl

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Très intéressant de découvrir Nabokov après la lecture de Lolita. On sent bien l'influence de la littérature américaine.

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Je me suis ennuyée mais l'idée est intéressante

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Vraiment j'aime pas le genre policier

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Franchement j'ai été prise dans l'histoire mais c'est soouvent too much

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Très long très chiant mais ça vaut le coup pour les 20 dernières pages

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Hâte de voir le film, vraiment y a aucune livre de la série que j'ai apprécié

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Encore pire que le 1er

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Mal écrit mais intéressant

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Très intéressant

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Je pense que je passe à côté

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Un peu vieillot

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Adoré, quelle ambiance

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Très belle découverte

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J'ai adoré l'ambiance

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Lu rapidement mais trop YA pour moi

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Zzzz

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Une épreuve mais c'était nécessaire

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NOUS VOULONS VAUMACEL

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1. Le prêtre (Hoyt/Duré)

Découverte du cruciforme, parasite qui ressuscite sans fin et condamne à l’immortalité monstrueuse.
→ Métaphore de la religion pervertie : la promesse de salut devient malédiction, la foi se retourne en cauchemar d’éternité.

2. Le soldat (Kassad)

Relation hors du temps avec Moneta, révélée liée au Gritche et à une guerre cosmique.
→ Métaphore du désir et de la violence : amour et guerre sont indissociables, l’érotisme devient champ de bataille.

3. Le poète (Silenus)

Vie décadente et quête d’achever Les Cantos sur Hyperion.
→ Métaphore de l’art : la création naît du chaos et de la souffrance, le Gritche lui-même devient muse destructrice.

4. Le savant (Weintraub)

Sa fille Rachel rajeunit jusqu’à disparaître, condamnée par une « entropie inversée ».
→ Métaphore du temps et de la paternité : l’amour parental se heurte à l’impuissance face au destin.

5. Le consul

Histoire d’amour et de trahison autour de la résistance d’Hyperion à la Hégémonie.
→ Métaphore de la colonisation : loyauté et mémoire familiale s’opposent aux logiques impériales.

6. La détective (Lamia)

Enquête sur Johnny, cybride inspiré de Keats, et sur les luttes internes entre IA.
→ Métaphore de l’identité : l’humain et l’artificiel se mêlent, l’amour devient un miroir des frontières brouillées entre chair et machine.

7. Le templier (Masteen)

Disparaît mystérieusement avant de parler.
→ Métaphore du silence : certaines vérités restent inaccessibles, l’énigme fait partie du récit.

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Cadre : un banquet chez le poète Agathon. Les convives décident chacun de faire un éloge d’Éros, dieu de l’amour.

Phèdre : Éros est le plus ancien des dieux, il inspire la vertu et le sacrifice héroïque. On serait davantage enclins à la vertu devant les personnes qu'on trouve honorables, on essaie d'éviter la honte.
Un petit kink sur les pieds ?

Pausanias : Il y a deux formes d’amour : l’amour vulgaire (lié au corps) et l’amour céleste (lié à l’âme et à la vertu).

Eryximaque : Médecin, il décrit l’amour comme une force universelle qui agit dans la nature, la médecine, la musique et le cosmos.

Aristophane : Il raconte le mythe des êtres humains sphériques coupés en deux par Zeus, l’amour est la recherche de sa moitié perdue.

Socrate (rapportant Diotime) : L’amour n’est pas un dieu parfait mais un démon intermédiaire entre les dieux et les hommes. Il est manque et désir. Le but de l’amour est la quête de l’immortalité, d’abord par la procréation, puis par la création spirituelle, et enfin par la contemplation de la beauté en soi (l’échelle ascendante de l’amour).

Alcibiade (ivre, en conclusion) : Il fait l’éloge non d’Éros mais de Socrate, qu’il compare à un Silène : laid en apparence, mais contenant à l’intérieur une beauté et une sagesse extraordinaires.

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1. Une clinique mineure et décentrée

Bourlez propose une "clinique mineure" qui part des marges plutôt que de normes hégémoniques comme l’Œdipe ou la structure familiale traditionnelle. L’enjeu est de "repenser la praxis analytique à la croisée de la théorie, de la clinique et du politique"

2. Confronter la psychanalyse aux théories queer

Il s’appuie sur les travaux de penseur·e·s queer comme Judith Butler, Eve Kosofsky Sedgwick... pour défaire certains présupposés psychanalytiques anciens et trop vite tenus pour acquis

3. Déconstruction de l’hétéronormativité

Bourlez questionne l’autorité de l’hétérosexualité comme norme sociale. Il s’inspire de Butler pour souligner que l’inconscient est un site micropolitique façonné par le langage et les normes, et que l’on peut y faire émerger l’“agency” — la capacité d’agir, de résister, de refaçonner ces normes

4. Singularité et transformation du dispositif analytique

Il critique les pratiques psychanalytiques qui invisibilisent les sujets queer et invite à réinventer le dispositif analytique lui-même. Il ne s'agit pas d'uniformiser, mais pour détecter dans l’incomplétude du sujet une puissance d’agir qui repolitise la cure

5. Pas de « safe space » mais un lieu de transformation

Même si certains patients cherchent un analyste "qui leur ressemble", Bourlez rappelle que l’analyse ne doit pas être un espace de confort ou de validation identitaire. Le but est plutôt de déstabiliser, d’ouvrir à la transformation : "je est un autre"