8102 smlif - J'dépasse les 100 c't'année les doigts dans le nez.

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Fatiguant ce film, au bout d'un moment il en serait presque douloureux. Presque. J'ai tenu jusqu'au bout en l'appréciant à peu près, c'est déjà ça.

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J'avais beaucoup aimé Bons Baisers de Bruges de McDonagh, et même si ce deuxième film me reste sympathique, c'est pas le même niveau. Le gros plus c'est les acteurs, qui s'éclatent bien dans leurs rôles (en même temps avec des dialogues aussi cool tu m'étonnes), après le truc qui m'a fait décrocher c'est l'aspect méta, des fois c'était bien géré, d'autres fois moins, ça a au moins le mérite de tenter un truc.

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Le méchant y a une bonne idée de base dedans mais après ça vaut pas tripette, la scène finale est dégueulassement illisible, et sinon les 3/4 du film on se fait chier entre deux moment gênants.

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Carré, je valide. Au même niveau que Bons Baisers de Bruges dans un registre différent (la colère remplace la tristesse). Dialogues toujours aussi mordants, pas de manichéisme, pas d'idéalisation, ça fait du bien.

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Quand tu le regardes avec une amie deux fois en cinq heures et que tu chiales de rire toutes les putains de larmes de ton corps, tu sais que t'as assisté à quelque chose de grand.

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J'aime pas les biopics en général parce que c'est limité par son sujet, et que dans les grandes lignes t'es pas surpris. Ben là c'est un peu le cas, tu sais ce qu'il va se passer même s'il se passe pas grand chose.
Mais les deux heures passent bien.
La non-inventivité du truc est bien équilibré par la bonne réalisation, la musique en mode éternelle ritournelle de la hype, et surtout par la putain de performance de Gary Oldman, complètement habité par son rôle.
C'est juste dommage qu'il n'y ait aucun enjeu, aucun réel poids autre que celui du biopic.

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J'y arrive pas, ce héros niais, ce piano doux, j'ai ni empathie ni implication, ce film me laisse rien et je me fais chier. J'ai même pas trouvé la force de terminer, ça veut tout dire.

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Bad trip simulator ; plans rapprochés, bruits omniprésents, montage violent, tout y est pour te faire passer un sale moment. Les mêmes effets que la came, en meilleur pour le corps mais en tout aussi sale pour le cerveau.
Sacré affiche ceci-dit.

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C'est donc ça du vrai cinéma français ? La vache, c'est bon. Y a une certaine poésie qui se dégage de l'ensemble, c'est splendide. C'est pas le film du siècle, mais quel bonheur.

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C'était sympa, sauf qu'au vu de la branlette intellectuelle à laquelle se livrent certaines personnes je m'attendais à ... autre chose ?
En l'état c'est bien, franchement c'est beau, y a une sacré ambiance, la bande-son colle parfaitement à ce trip dans l'étrange, les montées de tension sont bien gérées, mais perso je vois rien de plus.

La toute fin ne laisse pas trente-six mille pistes d'interprétations et ne m'a pas fait "réfléchir sur la vie et tout tu voaaaas". Après le phare, c'était assez basique et attendu ; une fin malheureusement bien trop banale qui cantonne le film dans la case divertissement, là où avec une petite touche de folie, d'intelligence, de surprise, un petit je-ne-sais-quoi de plus final, il aurait pu prétendre à beaucoup plus.

Ah oui, et bon, la cohérence au fond du fion sur pas mal de choses, mais alors que je déteste ça en général, sur ce film là ça m'a pas trop dérangé, sûrement grâce à cette espèce d'atmosphère mi-inquiétante mi-fascinante.

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Armstrong passe son temps a galérer pour maîtriser son bras en toc sorti tout droit d'un cosplay leaderprice (les petits bruits mécanique rajoutés en post-prod m'ont achevé ptn), les doubleurs sont en roue libre totale mais on peut saluer leur professionnalisme, c'est quand même le premier film que je vois où les types ont redoublés une tasse de café qui tombe, y a aucune cohérence dans les personnages, les dialogues et les situations, c'est à crever de rire et d'ennui en même temps.
La meilleure scène restera pour moi la première arrestation de l'ambulance, ou le type de la secte techno-futuriste détentrice d'armes nucléaires cachée dans la z.i de Los Angeles fait cramer le visage d'un clochard avant de rentrer dans un véritable dialogue de sourd avec l'insupportable ambulancier, pendant que dans le véhicule l'afro-américaine embrasse un extincteur et Armstrong chill as fuck répare sa prothèse du cul.

Excellent somnifère sinon, je conseille.

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Je m'attendais honnêtement pas à ce que ce soit aussi sympa ; ça bouge bien, c'est gentillet tout plein, ça file la patate, t'en ressors heureux.
C'est limité mais ça marche.

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Je partais confiant pour voir de la bonne baston, finalement j'ai eu du bon emmerdement.
Alors oui le réal a des idées visuelles, certains plans sont réussis même si bon globalement tu le sens le poseur (le sniping depuis la baignoire ou toute la scène de fuite au début dans le complexe).
Mais ce qui est plus affolant, c'est que les scènes d'action sont vendues pour être virtuoses et tout alors qu'en réalité, c'est loin d'être folichon putain. Même le faux plan séquence en vue fps du début que tout le monde suce est pas ouf du tout ; les mouvements sont pas crédibles, les ennemis attendent leur tout pour taper (dans tout le film d'ailleurs mais là plus que d'ordinaire), y a des raccords aberrants. Dès que ça passe en caméra extérieur c'est plus agréable, mais ça reste brouillon.
Niveau histoire, c'est vraiment nul. En gros on tente de cacher la niaiserie et la misère ambiante par dix mille twists de plus en plus débilos, les flashbacks sont confusants as fuck, globalement c'est du déjà vu pas intéressant.
J'ai trouvé Atomic Blonde largement plus réussi, ça veut tout dire.

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Je me disais que ça allait être de la merde, forcément inutile après le premier, et en fait ça va. Bon il a aussi la chance de passer derrière ma déception de cette nuit (The Villainess et ses combats dégueulasses), mais je me suis pas ennuyé une seule seconde sur les deux heures du film.
Et puis à partir du moment où y a le contrat, la paranoïa constante est bien rendue ; limite un habitant de New York sur deux est un tueur à gages, c'est grotesque mais qu'est-ce qu'on se marre niveau poings dans la gueule.

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La seule raison pour laquelle j'ai maté ce film, c'est Aubrey Plaza.
C'est ni vraiment mauvais, ni bon en fait, ça se suit sans déplaisir mais c'est convenu et attendu. La fin est sympa, le film a au moins réussi à capter la dégueulasserie ambiante d'instagram.

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Denzel Washington qui démonte du russe dans un Castorama, ça n'a pas de prix.

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C'est mignon, après ça va pas chercher bien loin. Les morceaux sont cool en tout cas.

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Ah ouais, ils ont pas mal craqué leur benouze chez Marvel là. Y a beaucoup de problèmes, c'est totalement con, mais tu t'emmerdes pas une seule seconde sur deux heures de film, et c'est quand même assez rare les blockbusters sans passage chiant à crever ou gros forçage émotionnel nul, bravo.

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La rupture de ton entre la fin de Ragnarok et le début d'Infinity War est tout simplement obscène, les persos sont traités n'importe comment, y a tellement d'imbécilités, d'incohérences et d'enculades spaciales qu'on est dans le haut du panier niveau "J'te prends pour un con" ("mais bon c'est pas grave, c'est des super-héros les mecs, c'est comme Harry Potter, c'est magique tu comprends ? A partir de la comment ça peut-être incohérent mdr" putain), y a des scènes illisibles t'as l'impression que ton écran est en braille (j'ai pas vu une seule des créatures qui attaque le wakanda en entier, juste des dents et des bras perso), les persos sont complètement cons (rohlala le combat Starlord - Iron Man - Dr.Strange - Spiderman vs Thanos, ils auraient pu finir le film ici mais les cacas nerveux on les connait hein, a propos le fait que Quill puisse tenir une pierre d'infini pendant quelques secondes on se le fout au cul ?), et je vais encore me répéter mais toutes ces paresses d'écritures m'ont achevées (en vrac, la bataille du wakanda en entier avec cette ouverture de barrière débile, la charge malgré l'avantage du terrain, les moults téléportations des héros qui te font 30km en petites foulées en moins de 15 secondes ou le pet misérable que fait le bris d'une pierre dans la forêt alors que bon dans les Gardiens si la pierre touche le sol toute la planète y passe, sinon ces connards de nains dans la forge qui ont le dispositif d'ouverture de secours le PLUS CON DE L'UNIVERS, eh les mecs on va mettre les manettes juste dans la trajectoire du rayon de l'etoile MDR, Vision la médaille d'or de la fragilité pour l'un des persos les plus puissants du MCU une inutilité pareille ça ne s'invente pas, Loki médaille d'or du temps à l'écran et de la débilité profonde heureusement que c'est le dieu de la fourberie qu'est-ce qu'il aurait tenté sinon rofl, toutes ces morts qui sont de toutes façons sans conséquences vu leur nombre et leur importance comme s'ils allaient laisser tout ce fric potentiel disparaître, et j'en passe et des meilleures franchement en prenant un peu de recul ça devient incroyable), je voulais faire une critique mais je vais être honnête la force m'a abandonné vu la biture que je me suis mise juste après la séance.

Sinon, le traitement de Thanos est à peu près réussi, et puis bon, ce plan final dans sa cabane au fond du jardin comme dirait l'ami Cabrel, c'est goldé.
Et Drax best perso du MCU personne ne mange ses chips avec autant de prestige.

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Pitoyable, je me sens sali après avoir vu cette merde EN ENTIER, EN ENTIER PUTAIN, LE SEUL TRUC DROLE C'EST UN MEC QUI A UNE BITE AUTOUR DU COU EN COLLIER, EN 1h40 DE FILM BORDEL.

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Ça n'a aucun sens, les faux raccords sont flagrants, c'est débilement stupide, incohérent et superbement dégueulasse niveau fx, on a des discours sur le pouvoir des sentiments (c'est les émotions comme dirait zidane), une gamine qui passe de rousse à asiatique pour finir métisse pendant que ses vêtements grandissent en deux heures avec elle, des chinois qui font du kung fu contre des putains de robots aliens, un alien dans un megazord, c'aurait pu être exceptionnellement nul et c'est juste emmerdant.

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Les personnages les plus bipolaires du game, un coup oui on peut tuer, un coup non, un coup ah je sais pas à quand bien même la purge est historiquement ancrée dans ma culture depuis que je suis né j'ai quand même une morale pré-purge lol.
Et ce gosse, ce putain de gosse, mais jpp de ses actions toutes plus débiles les unes que les autres, et personne ne prend la peine de lui coller une salade de phalanges alors que tout est de sa faute, et pourtant toute sa famille continue à le chouchouter. Au secours.

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Des fois c'est drôle mais c'est de la merde en vrai.

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C'est Drive en plus long, plus chiant et avec plus de japonais.

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Exceptionnel, on assiste à des réactions qui défient la logique à toutes les scènes, niveau tilt c'est pas mal, ça permet de tester sa résistance à la crise de nerfs pendant une heure trente.

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On retiendra uniquement Capitaine Wallace, hamster parti trop tôt, la scène où la baby-sitter se fourre un tampon en 3 secondes chrono devant un gosse de 11 ans, et celle où elle montre la sextape des parents aux trois gosses en bas âge.

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Cette vf de l'enfer putain, déjà que c'est pas fameux, mais quand les doubleurs s'y mettent, c'est douloureux.

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Niveau incohérences on s'enjaille bien, niveau lisibilité des scènes on est parfois presque au niveau Resident Evil Apocalypse, c'est convenu et bien con, mais franchement y a pire.

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L'ambiance pesante est superbement retranscrite par un travail de caméra bien foutu, les acteurs tiennent leurs partitions comme il faut malgré des dialogues pas toujours pertinents, et les montées en tension fonctionnent du tonnerre.
J'ai vraiment aimé The Invitation, malgré une fin pas folichonne, parce qu'il a réussi à capter toute mon attention ; j'étais vraiment dedans, et je sais pas si c'est au film en lui-même ou à des circonstances extérieures, mais le résultat est là.

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Ça volait pas haut mais tu passes un bon moment, dédicace aux sièges Dolby luxe que tu peux coucher, la tranquillité.