Ciel, j'ai mis 1 !

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L'imposture - Je n'ai rien contre lelouch ; j'ai même apprécié certains de ces films (pas forcément les plus "ambitieux"). Mais là, c'est grave. Le film se veut "dégagé" et festif. Il se veut drôle, il n'est que lourdingue (il reprend même les gags éculés d'Aldo Maccione), vide au point que de très bons comédiens finissent aussi par devenir très lourds. Et surtout, sous couvert de "dégagement" sympathique, il développe des thèses aussi réactionnaires que niaises.

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Se voulait d'un érotisme branché à l'époque de sa sortie. Malgré un très bon chef op (qui n'avait hélas rien à défendre), il ne reste aujourd'hui qu'un clip totalement ridicule.

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Le décalage entre l'emballage, la vision (revendiquée ou non) d'un certain public et la réalité du film présenté. D'aucuns ont parlé de poésie, voire de beauté, de surréalisme (évidemment, l'alibi le plus classique ...) En fait on ne voit que des personnages qui marchent seuls (et mal) dans divers déserts, parfois habillés, parfois nus, parfois à cheval.
Et ce n'est même pas beau.

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Autre forme d'imposture - liée surtout au public, à la critique, à l'institution (les Oscars en l'occurrence), à l'image de Clint Eastwood metteur en scène (pour moi un grand mystère), au rêve américain (mais le public français adhère aussi). On sombre très vite dans la surenchère mélodramatique la plus insupportable, la plus caricaturale et la plus ridicule, des pires malheurs aux malheurs encore plus pires. Les acteurs, tous nuls, se parodient sans s'en rendre compte.

Si je l'avais revu récemment, j'aurais pu placer Rocky dans la même catégorie.

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La purge - Je n'ai pas mis de note en fait car j'ai vu le film il y a bien trop longtemps. Je ne l'ai même pas vu en fait puisque je suis sorti en cours de projection (ce que je ne fais jamais, mais je dors parfois) après mêtre demandé dix fois si j'allais sortir.
Cette expérience a peut-être provoqué chez moi une aversion définitive pour Carax - dont Holy motors, vu récemment, n'a pas réussi à me guérir.

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Navet classique - mais avec thème "sérieux" (l'Irlande en guerre) et gros casting. Après un prologue presque prometteur, on sombre dans le ridicule : scénario bâclé, personnages absurdes, comédiens à l'avenant.

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Autre navet classique, au-delà du ridicule. L'argument de vente était sans doute le casting et ses deux stars (Delon et Girardot) à poil ...

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Les fiascos ne sont pas inhabituels chez Vadim.
Mais celui-là est pour le moins immodeste :la rencontre de deux grands mythes, Don Juan et Bardot, Don Juan en femme, le dernier film de Brigitte Bardot. Les limites du ridicule sont franchies et tous les comédiens sont plus que nuls.
On peut comprendre que Brigitte Bardot n'ait pas souhaité aller au-delà.

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Ajouté pour la seule nécessité de placer dans la liste un navet tout à fait authentique (et même pas modeste).
Est-ce qu'on peut faire pire ?

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idem - dans l'immense ensemble des comédies à la française.
Quoi que - le scénario est tellement énorme (un singe qui se met à dialoguer avec Cantona et Villeret à cause de la chute d'une météorite) , Cantona et Villeret sont tellement mauvais (au-delà de ce qu'on peut concevoir), que le film tient peut-être plus du nanar que du navet.