Déchets d'élite
Attention cette catégorie n'est pas un cri du cœur contre des personnalités.
Malgré la première apparence je ne les insulte pas en les plaçant ici.
Liste de 10 personnalités
créee il y a plus de 7 ans · modifiée il y a plus de 7 ans
2. Divine (Harris Glenn Milstead)
Annotation :
Mon déchet préféré. Incarnation de la décadence. Il a fini par trouver le rôle lourd, ça se comprend, mais c'est regrettable ; sa mort l'a empêché de liquider son personnage.
3. Philippe Katerine
Annotation :
Extrêmement ambitieux et appliqué, mais dans un mode tranquille. Des flottements, forcément, mais fascinant globalement.
5. Michel Houellebecq
Annotation :
Assume l'image du type médiocre et quelconque jusqu'au-bout (malgré quelques sursauts d'orgueil). Cela dit il assume aussi son talent et sa sensibilité ; mais il porte avec 'insouciance' ses plaies, son corps délabré et son esprit usé.
6. Didier Super
Annotation :
Bouffon profond, mais n'a pas su se renouveler et s'est même fait terrasser.
7. Mickaël Vendetta
Annotation :
Troll sarcastique et cynique, soulignant l'abjection tout en montrant sa rentabilité donc sa légitimité. Malheureusement pour lui, probablement pas très réfléchi à long-terme : le manque de profondeur, la capacité limitée à avoir des coups d'avance, restent ; et demeurent un problème, quelque soit le jeu ou les manipulations. Costume de bouffon/ubermensch un peu trop glouton et peut-être pas adapté, donc.
8. François Hollande
Annotation :
J'ai toujours trouvé des contradictions "inextricables" chez lui, des pans entiers de personnalité cohabitant, pour un ensemble absurde et efficace à la fois.
Puis j'ai compris que le champion de cette catégorie, en restant pleinement DANS la société, c'était lui ; et que c'est peut-être le meilleur troll "nihiliste" qu'on ait jamais vu.
10. Lindsay Lohan
Annotation :
Sans choix ni maîtrise de sa part malheureusement.
Mais elle a commencé à tirer parti de ses errances, grâce à Schrader avec sa performance dans 'The Canyons'.
http://www.senscritique.com/film/The_Canyons/critique/29611047