Faire un Top 10, faire un Top 10... Mais bordel, comment veux-tu que je fasse un Top 10 Jeux vidéos quand y'en a 100 que j'aimerai foutre dedans ?!

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La série des Baldur's Gate ne pouvait pas ne pas me plaire : il s'agit tout de même de mon genre préféré (le RPG) dans un univers que je cotoie en tant que rôliste (Les Royaumes Oubliés) avec une durée de vie faramineuse, une histoire épique, et une profondeur de jeu inégalée. Sans hésiter, BGII reste pour moi le meilleur jeu vidéo de tous les temps.

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Baldur's Gate possède un charme que j'ai rarement vu dans un jeu vidéo. Si l'histoire de BGII peut déplaire tant elle paraît démesurée (après tout, on est dans le schéma un brin classique de "sauver le monde" cumulé au fait que votre personnage devienne un dieu... Rien que ça), celle de BG premier du nom se montre plus intimiste, moins disproportionnée, et peut-être plus surprenante. Ses nombreuses références aux Royaumes Oubliés (on y croise tour à tour Elminster et Drizzt, parmi d'autres) en font un véritable cadeau pour les rôlistes d'AD&D doublée d'une déclaration d'amour à un univers qui n'en finit pas de nous emporter dans les aventures les plus fantastiques qui soient.

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Que peut-on dire de plus sur FFVII qui n'ait pas été déjà dit ? La réputation du soft parle d'elle-même. S'il est - et de loin - mon FF préféré, mention spéciale aux opus PS1 dans leur ensemble qui ont emmené la série dans des stratosphères insoupçonnées. Dommage hélas que la fusion avec Enix n'ait pas permis de faire perdurer ces moments de grâce vidéoludiques.

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S'il ne devait y avoir qu'un seul jeu à citer sur Snes, ce serait celui-là. Squaresoft était jusque-là connu par les quelques fans de l'import pour sa série des Final Fantasy, et il a fallu attendre Mystic Quest pour découvrir en Europe la qualité incroyable de leurs softs. Secret of Mana reste l'un des plus grands joyaux de leur couronne : beau, long, magique, prenant, envoûtant, surprenant... Un jeu dont je n'ai pas peur de dire qu'il fut parfait.

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DAoC représente deux années complètes de ma vie. Champion hibernien sur le serveur Ys (entre autres identités adoptées), premier de la classe à avoir atteint le fameux rang 10L, cette chevauchée épique me laisse à la fois de merveilleux souvenirs (batailles PvP sans égales, rencontres IG et IRL) et en même temps de terribles blessures (le MMORPG a ses effets nocifs sur la vie sociale...). Il n'en demeure pas moins que ce jeu reste dans son genre le meilleur de tous. Chapeau bas Mythic !

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Etant né en 1980, impossible de passer à côté de la révolution "Super Mario Kart". L'un de mes meilleurs souvenirs de gosse. Quel pied ce fut de voir s'affronter tous les personnages de la mythologie Mario dans des courses de kart endiablées durant lesquels le meilleur pilote n'est pas toujours le plus rapide mais aussi le plus sournois. Un grand jeu, qui n'a jamais trouvé son égal dans les versions suivantes.

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Diablo II est à l'instar de Diablo un véritable petit bijou. Impossible de ne pas y rester collé des heures durant tant ces jeux brillent pour leur système de loot, leurs niveaux aléatoires, leur diversité, leur ambiance, leurs musiques, la qualité du gameplay... Un must have éternel.

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En trois mots : une baffe monumentale ! Qui aurait pu prédire qu'un jeu estampillé "Batman" atteigne un jour de tels sommets tant niveau gameplay que réalisation ? Sans parler de l'histoire, particulièrement inspirée et prenante ! Arkham Asylum est l'un des meilleurs jeux sortis sur PlayStation 3 et mérite amplement la note maximale. Si ce n'est plus.

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J'aurai beaucoup de mal à vous dire que je préfère Diablo II à Diablo tant chacun regorge de qualités qui leur sont propres. Si je dois donner un net avantage à Diablo sur un point, ce serait sur l'ambiance : celle de Diablo, gothique à souhait, est certes moins variée que celle de Diablo II, mais elle me parait mieux maîtrisée car plus approfondie. L'un dans l'autre, ces deux jeux restent des tueries inoubliables. Que Diablo III aille se rhabiller !

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De Warcraft à Warcraft III, Blizzard a su me captiver à travers une saga m'ayant scotché tant pour son gameplay que pour ses histoires, histoires intrinsèquement liées à un univers heroic fantasy dont je suis un fervent adepte. Warcraft II reste à ce jour la référence ultime du jeu de stratégie en temps réel et mérite amplement sa place au sein de ces colonnes.

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Assurément l'un des meilleurs jeux (sinon le meilleur ?) sortis sur PS3. Tout en Red Dead Redemption rime avec "perfection" : l'ambiance, le gameplay, la durée de vie, l'intérêt du online, les quêtes annexes... Pour peu que l'on soit un mordu de western, l'immersion est totale. Une très grande réussite qui me fait dire qu'il y a très clairement un avant et un après Red Dead.

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Grand Theft Auto V est-il le jeu vidéo parfait ? La question mérite de se poser tant le dernier-né de l'écurie Rockstar impressionne par sa richesse, sa grandeur, le foisonnement des activités annexes, sa durée de vie, ou même son aspect technique. En comparaison, GTA IV et Red Dead Redemption paraissent être de simples esquisses, les ambitions affichées n'étant clairement pas les mêmes. Chapeau bas donc pour cette petite pépite, assurément l'un des jeux les plus impressionnants de la 7ème génération de consoles même si quelques défauts sont à déplorer ici et là, à commencer par le scénario un brin trop convenu et caricatural. Cependant, cela reste à n'en point douter bien peu face à ses immenses qualités. Et que dire de GTA Online et de ses braquages ultra-prenants ? Sur PS4, le jeu est un vrai régal malgré de trop longs temps de chargement.

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Les qualités de Guild Wars et des stand alone qui l'ont complété sont telles qu'il me faudrait écrire un mémoire sur le sujet. Disons tout simplement qu'il est la suite logique de Diablo en plus grand, plus diversifié, plus généreux. Il ne lui aura manqué qu'un système PvP digne de ce nom pour figurer tout en haut de mon panthéon.

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Les jeux de combat ont été un de mes dadas toute mon adolescence. Entre les Dragon Ball Z (Snes), les Tekken, les Mortal Kombat (Megadrive), etc., longues ont été les après-midis passées à fritter des potes sur mon écran cathodique. Si Killer Instinct (Snes) restera pour moi le plus révolutionnaire de tous (grâce à son système de combos mémorable), mon coeur balance malgré tout du côté de SoulBlade sur lequel j'ai pris un pied monstrueux et reste donc à mes yeux LA référence ultime.

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A une époque où la Formule 1 était l'un de mes sports favoris (vous savez, ce temps béni où Bernie Ecclestone n'avait pas sapé le règlement avec ses trouvailles grotesques, où Damon Hill et Michael Schumacher se tiraient la bourre pour le titre, et où les jeux de Formule 1 étaient de qualité), Formula 1 97 est arrivé pour combler toutes mes attentes, me scotchant des semaines durant devant ma PlayStation. Après avoir vibré devant le PC de mon père en jouant aux deux premiers Grand Prix de Geoff Crammond et MicroProse, la sortie de Formula One premier du nom sur la boîte grise de Sony fut celle qui me fit décider de ranger définitivement la Super Nintendo au placard pour passer à l'ère 32 bits. Et, malgré ses quelques défauts, le jeu de Bizarre Creations et Psygnosis ne me déçut pas un seul instant. Sa suite, forte de ses améliorations, n'allait pas contredire cet état de fait : vous comprendrez tout le bien et l'amour que je porte à ces jeux en les indiquant dans ce Top décidément bien trop étroit pour y mettre tout ce qui ébranla mon âme de gamer.

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Son système de combo ultra-intuitif et ultra-novateur ainsi que sa bande-son mythique font de Killer Instinct l'un de mes jeux de combat favori. Rares ont été les jeux sur lesquels j'ai pris autant de temps à apprendre chaque coup afin de le maîtriser à la perfection. Killer Instinct peut se targuer de m'avoir donné l'envie d'y parvenir.

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Même si je n'aime plus du tout les jeux de plates-formes aujourd'hui, il serait injuste de ma part de ne pas citer Super Mario World dans ce Top tant ce jeu m'a scotché, émerveillé, et qu'il a été en son temps une révolution sur de nombreux points (encore que je trouve Super Mario Bros. 3 plus novateur). J'y ai passé un nombre incalculable d'heures à le faire, le refaire, et le rerefaire, et je doute retrouver un jour un jeu de ce genre qui me fasse le même effet. Tout simplement mythique.

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Visuellement daté du fait de ses cinq années de développement, Dragon Age : Origins a pourtant tenu la promesse d'être le plus illustre successeur des Baldur's Gate. Dotée d'un scénario passionnant, d'un univers moderne et pour le moins original, la série de BioWare est à ce jour ce qui se fait de mieux en matière de JDR occidentaux, en compagnie bien évidemment de The Witcher. Bien sûr Dragon Age II s'est avéré très décevant côté gameplay, mais Dragon Age Inquisition a relancé la machine de plus belle, et je ne peux que vous enjoindre à jouer promptement à ces jeux si d'aventure la fantasy est votre credo.

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Il ne manquait pas grand chose pour faire de Dragon Age : Inquisition le jeu de rôle parfait. Une histoire moins convenue, une customisation de Fort Céleste plus poussée, une influence plus marquée sur l'univers par rapport aux choix du joueur durant l'aventure principale ou optionnelle (quêtes, jugements, etc.), le concept du Conseil de Guerre plus travaillé et ouvrant à davantage de quêtes et d'embranchements... Il n'empêche qu'en l'état le jeu est assurément ce que j'ai vu de mieux depuis Baldur's Gate 2 et donne furieusement envie de voir débouler un Dragon Age 4. BioWare est sur la bonne voie avec cet opus et, vu le désastre que fut Dragon Age 2, cela tient du miracle.

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Mon jeu PS2 préféré, tout simplement. Là où FFX et FFX-2 ont failli, DQVIII a su me surprendre et me prouver que, parfois, c'est effectivement dans les vieux pots que l'on fait la meilleure soupe. De fait, malgré la rigidité de son gameplay daté et la candeur du scénario, la magie opère et donne à la série ses lettres de noblesse en Europe. Sinon plus.

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J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans MGS3 lors de sa sortie. Déjà et avant tout parce que j'avais acheté DQVIII en même temps, et qu'un RPG a toujours eu la priorité dans mes goûts perso'. Mais une fois passé outre la complexité du gameplay, MGS3 a été une véritable claque tant ce jeu dispose de l'un des plus grands scénarios de jeu vidéo. La fin reste l'une des plus mémorables que j'ai jamais connue, et le frisson qu'elle procure n'a trouvé que trop rarement son égal.