Film vus du 12 juin 2014 au 12 juin 2015

Annotation :

(perdre une critique au moment d'appuyer sur enregistrer c'est rageant)
En gros c'est un énième mauvais film de genre français qui ne comprend pas son sujet, qui l'aborde avec un oeil distant et intrigué par cette nouvelle mode du 21iem siècle que sont les jeux en réseaux. L'esthétiques du jeu est cool mais la réalisation est plate l'acteur principal et un légume nul cuit à l'eau.

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Drôle, beau et palpitant du début à la fin. Inventif à chaque minutes. Stimulé par le rythme effréné, l'histoire fuse et passe de situations en situations avec un véritable art de la transition. C'est génial.

ps: Je ne rêve pas il y a la musique de James Bond ?!

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Encore un excellent scénario signé Charlie Kaufman, comme toujours la structure est complexe mais sert tout à fait cette histoire passionnante, celle de la vie d'un créateur d'émission télévisé tueur pour la CIA à ses heures perdus. Le scénario est bon c'est après tout sans surprise, mais il est étonnant de noter la réalisation inspiré de George Clooney, soucieux de faire ses preuves en tant que réalisateurs dès son premier film en nous en mettant plein la vus (presque du cabotinage de réalisation) donnant- comme souvent avec les films écrits par Kaufman- un côté fou, dynamique et coloré. Ça bondit, ça tourne, ça change de couleur, ça surexpose, et ça déballe plein d'idée de mise en scène qui viennent chatouiller l’œil du spectateur.
On sent tout de même que c'est un (bon) premier film, et que certaines idées sont la pour être la sans vraiment de justifications ou d'intentions concrètes. Mais ça colle au film, ça marche est on est ravis d'être pris dans cette aventure étonnante.

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Thriller Paranoïaque ou Coppola nous immisce dans la vie d'un personnage- Harry- un quadragénaire taciturne, un héro complexe et torturé, en proie aux doutes et défaillant sous le poids de ses propres responsabilités. Ce qui frappe c'est la solitude profonde dégagé par le film, aussi bien par la musique et sa mélodie mélancolique joué par un unique piano. Par sa réalisation, dressant certain plan lourd de sens, laissant notre héros seul, dans un San Francisco, gris, fantomatique magnifiquement photographié. Et son acteur (Evidemment), un Gene Hackman au sommet de son art qui réussi à porter les ambitions du film. C'est une oeuvre impressionnante, l'une des plus importantes du papa Francis qui signe ici, un énième chef d'oeuvre.

8.5/10

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Un film de récit. Des dialogues cinglants écrits à la perfection et une intrigue théâtrale, cynique et grinçante pour notre plus grand plaisir. Mankiewicz nous surprend sans cesse avec de nombreux bons retournements, tous inattendus et satisfaisant. Le film brille par sa maîtrise, aussi dans sa réalisation, que sa narration ou ses personnages.

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Dans la veine de Mud ou et encore plus des Géants, Mean Creek nous plonge dans un autre monde ou les enfants paraissent vivres seuls; dans une nature sans adultes les laissant livrés à eux mêmes. Deux points font à mon sens la grande réussite du film, réellement prenant du début à la fin.
Premièrement les acteurs, j'ai rarement vus des enfants joué aussi bien, allant jusque à des scènes de larmes ou de pétages de plombs, il reste authentiques du début à la fin, parfaitement crédible et, plus que simplement justes, ils portent le film à la perfection. Mention spécial pour Scott Mechlowicz (celui avec un problème au pénis) qui dégage une aura magnétique, une vrais charisme parfait pour son rôle de leader.
Deuxièmement les enjeux, et le doutes constant autour de leur intérêt. On prend vite en pitié la victime de la vengeance des autres enfants, avant que le film s'amuse à joué avec ce sentiments. Projet de vengeance qui sera constamment remis en question par les personnages. Ici pas de méchants, juste une histoire de gosse normaux, qui risque de mal se terminer *tadam*.
Pour conclure, le film vaut sacrément le détour et, bien qu'il s'essouffle un peu dans son dernier quart il n'en reste pas moins excellent, fidèle à ses cousins cités plus haut dans la critiques (Mud et Les Geants pour rappelle, que je vous conseils aussi fortement).

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Un biopic sauce Burton au meilleur de sa forme. Un Johnny Depp parfait en Ed Wood qui dresse un personnage touchant et passionnant. Un rêveur qui croit en lui et en son travail au combien mauvais soit il. Ed Wood nous partage cela, sa passion, son admiration pour Bella Lugosi l'acteur oublié que le jeune homme tente de faire briller à nouveaux sans y parvenir. Pour au final le ridiculiser dans de mauvais films.
Ayant trouvé le film sur sa fin un peu longué, je lui reconnais tout de même une formidable humanité dans ses personnages, ses thèmes et une très bonne réalisation.
Et je saurais désormais, qu'aussi génial pourra me paraître mon travail, il se peut que ce ne soit en fait, qu'une vaste merde sans intérêt

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revu

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Un rythme et un humour décapant. Parfait dans l'écriture (retournements, quiproquos, jeux de dupes) et dans sa réalisation. Un film qui mérite bien son statue de chef d'oeuvre.