Films russes et soviétiques (vus ou revus depuis 2017)

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Le film le plus populaire en Russie, longue et belle comédie sentimentale et musicale teintée de mélancolie.

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Ce film a un titre française, La Prisonnière du Caucase, je ne vois pas pourquoi il a disparu de la fiche SC.
Jolie comédie, bien rythmée et franchement drôle.

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Autre film de la série des aventures de Chourik. Les comédies de Leonid Gaidai sont des réussites

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Mélange de comédie et de mélancolie, c'est sympa mais quelques problèmes de rythme

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LA véritable belle et monumentale adaptation du roman de Tolstoï.

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Drame psychologique très intéressant

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La vie quotidienne du Kolkhoze, et une méthode cinématographique assez proche du néoréalisme

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Film tout en subtilité, description délicatement inquiète de la vie d'un village au bord d'un lac, dans le nord de la Russie

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Plan-séquence unique pour une réflexion sur l'art et l'histoire

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troisième partie de la trilogie sur le pouvoir politique, après Taurus et Moloch

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Dernier film de Tarkovski

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Deuxième court métrage de Tarkovski, et déjà une belle réussite

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L'été russe, la musique, un sentiment de liberté, mais un sentiment vite étouffé dans un cadre toujours trop rigide.

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Adaptation d'un conte de Pouchkine et une très belle utilisation des effets spéciaux

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Joli dessin animé de l'époque soviétique

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Film fantastique gothique très surprenant dans la production soviétique, mais qui nous offre de très belles images et une ambiance digne de la Hammer

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Superproduction réussie dans son genre

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film d"horreur et de SF plutôt sympathique.

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Film d'horreur

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Plongée dans un monastère isolé dans le Nord de la Russie

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Lounguine est sans doute le cinéaste qui a le mieux décrit les bouleversements sociaux de la Russie dan ces terribles années 90.

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Ascension et chute d'un Oligarque.

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Les films sur la Seconde Guerre Mondiale constituent une production très à la mode actuellement en Russie (aidée en cela par le pouvoir en place). Voilà un film tout à fait officiel mais pas dénué de qualités.

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Film de SF et surtout d'action très bourrin mais qui parvient à nous maintenir sous tension pendant une durée assez conséquente. Le scénario est du grand n'importe quoi, c'est rempli d'incohérences, mais ça fait le taf si vous aimez les pan-pan-boum-boum. Et l'extraterrestre est sympa.
A noter, pour ceux qui apprennent le russe, que le film, en VO, est très utile pour apprendre insultes, gros mots et jurons en tous genres.

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Difficile de retrouver l'auteur du formidable Homme à la caméra dans ce film lourdement démonstratif et paradoxalement "bavard". Le principe reprend celui de La Ligne Générale d'Eisenstein, en beaucoup moins bien. Il s'agit de glorifier les réalisations des Soviets en moins de dix années d'existence (et en passant glorieusement sous silence la Guerre Civile et le "Communisme de guerre"). De temps en temps on reconnaît ce travail sur le montage, cette volonté de faire naître quelque chose chez le spectateurs, mais cela retombe généralement.

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Quels changements depuis Soviets, en avant !
Vertov maîtrise presque totalement son film, aussi bien sur le plan technique (ses réflexions sur le montage et le rythme sont arrivées à maturité) que sur le propos du film, certes propagandaire mais nettement plus passionnant qu'auparavant.
La 11ème année (sous-entendu : depuis la Révolution d'octobre) est une oeuvre à la gloire des progrès techniques accomplis par les Soviets depuis leur arrivée au pouvoir. Barrage hydro-électrique, mines, coopératives agricoles (la collectivisation des terres sera bientôt à l'ordre du jour)...
Le film illustre le fameux propos de Lénine : "le communisme, c'est le pouvoir des Soviets plus l'électricité"

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Une suite moins bonne que le premier épisode, surtout à cause d'une longueur excessive ; le film est trop long, trop lent à démarrer, les scènes d'ouverture s'étirent inutilement.
Mais une fois que c'est parti, c'est plutôt réussi. Visuellement, c'est une belle réussite, les trucages sont magnifiques. Et le film repose ensuite sur deux idées bien exploitées, la manipulation des nouvelles technologies et le "dôme aquatique".
Il y a aussi l'intelligence de faire une suite très différente du premier.

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Encore le genre de film dont on ne soupçonnerait pas l'existence en URSS : une comédie musicale. Loin de tout réalisme, ce film joyeux nous présente un pays où tout est gai et serein. C'est rempli de stéréotypes mais le charme fonctionne à fond. Il y a, de plus, un côté farcesque assumé. Les numéros musicaux sont sympa mais pas forcément mémorables.
Là où ça devient abyssal, c'est quand on se rend compte que ce film, avec son image toute joyeuse de l'URSS, est contemporain des grandes purges staliniennes. La légende prétend d'ailleurs que c'était le film préféré de Staline, qui en avait envoyé une copie à Roosevelt. Imaginer le Petit Père des Peuples se bidonner sur ce film entre deux exécutions sommaires, ça crée une sorte de paradoxe étrange.

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C'est quand même impressionnant qu'un film de qualité, signé par un cinéaste important, ne sorte même pas en salles et passe automatiquement au DTV.
Bratstvo ("fraternité" en russe, l'équivalent du shakespearien "band of brothers") est un bon film qui parvient à embrasser les différents problèmes liés à l'évacuation des troupes soviétiques d'Afghanistan. C'est donc un film de guerre, mais aussi social, politique, etc., qui échappe à toutes caricatures.