Films vus en 2019 (+ avis)

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2 décembre - VOSTFR

Je trouve la réalisation assez amateur parfois. Caméra qui tremple, mouvement très rapide, cadrage, montage assez médiocre, fond vert mal incrusté. On dirait du Marvel tellement c'est mal filmé (coucou Scorsese).

Mais le psychiatre est énorme, et le retournement de situation est pourquoi pas intéressant, mais pas renversant.

Bref c'était sympa, pas grand chose à dire, ça tient la route, mais loin d'être une claque.

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25 octobre

Une sorte de Bruno Dumont wtf, assez délirant (du Ma Loute en fait quand j'y pense).

On dirait un vieux qui découvre la vie, un vrai teen movie je vous le dit moi.

Au début le film te fait croire à une ascension énorme. Et puis... t'as ça... étrange. C'est le contraire d'une déception. On en attend énormément, et finalement, on a juste un film très simple. Et c'est encore mieux.

Et la musique incroyable, de l'espèce de synthwave des années 80 mais de nos jours vous voyez. Moi non plus je vois pas. Mais ça appuie bien l'émotion du film. Incroyable tout de même. Et puis y a un personnage gay qui chante du Zaz. Alors je valide forcément.

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22 octobre - VF

Wtf le délire avec Claire Chazal. Mais sinon c'est drôle c'est frais, parfois complètement délirant, dans la lignée des Pixar, je recommande.

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15 octobre - VOSTFR

C'est le Evil Dead de Gregg Araki, c'est dégueulasse, ça part dans tout le sens, et c'est hétérosexuel (quelle idée...). Oui c'est même lui qui le dit dans le générique du début.

Bref, une fin particulièrement immonde. Sinon un film gregg arakiesque, plein de petites péripéties absurdes, dans une ambiance futile et supreficiel. Pourquoi pas.

Mais c'est un cinéma qu'il m'est difficile de pleinement apprécié, j'aimerais beaucoup un virage à la Mysterious Skin dans la suite de sa filmo.

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9 octobre VF - Cinéma

Un film coup de poing qui fonctionne bien. Une descente en enfer cohérente et par palier, c'est crédible, allié à cette petite pincée de folie et de nonsens de certains passages, rendant le tout assez jouissif, sans en faire trop et en laissant son personnage vivre.

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1 octobre - Cinéma

Casting réduit, pas d'hommes (à part personnages secondaires). On se retrouve un peu sur du Naissance des Pieuvres. Mais non.

Le film est très calme et plutôt lent, il n'y a même pas de musique. On dirait limite un premier film. Tout est très millimétré (trop peut-être). La relation évolue excessivement lentement.

J'aime beaucoup les traits fins de Noémie Merlant, l'actrice qui joue la peintre. Adèle Haenel quant à elle est transposé au rang de déesse par la même personne qui lui a donné son aura. Elle n'a pas besoin de jouer, elle a juste besoin d'être là. C'est fou.

Et si au final on a quelques musiques très rares, mais qui marquent.

Bref, un film un peu trop millimétré et froid, mais pourquoi pas.

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18 septembre - Cinéma (VF)

Encore un film dans l'espace :o

Malgré de bonnes idées (la Lune devenue un site touristique), j'ai pas totalement accroché. Je trouve certains passages un peu pathos, d'autres scènes assez ridicules (le combat de véhicules lunaires, aucun sens ce truc). Je trouve que de tous ceux que j'ai vu, c'est peut-être celui qui s'approche le plus de 2001, dans le sens où il ne se passe pas grand chose, beaucoup de silences, de pause. On le regarde bien plus qu'on ne l'écoute. La fin est assez étrange, on s'attend à un truc assez fort, et au final elle est assez banale étrangement.

Bref, plus de questions que de réponses, mais une histoire pas inintéressante, qui se veut un minimum profond, mais surtout assez minimaliste au final. Pas facile de mettre des mots sur ce film étrangement, il est factuellement bien, mais me laisse pantois.

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31 août

Quelques scènes bien faites, notamment la cabane de totireli, la foule...

Sound desgin tout pourri, musique tout pourri, malgré une envie de donner une atmosphère oppressante/grandiloquente.

Une fin un peu original, mais au final, c'est juste la même chose, mais avec des transitions plus limpides entre les chapitres. Je ne pense pas qu'il apporte quoi que ce soit au livre. Qui n'apportait déjà "rien" (mais de quelle manière !)

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18 août

Un film détonnant. Je connais assez mal cette époque, mais l'ost est fascinante, ça transporte, il y a même de la musique 8 bits, le montage est bien fichu, une tension sexuelle excitante mais aussi un peu louche. Mais je dois dire que ça reste tout de même du film assez spécial, pas facile d'y trouver son compte.

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17 août

Assez fou ce film, porté par ce Patrick incroyablement fou, cette Marie Trintignant impassible mais sensible. Une bonne découverte.

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10 août - VOSTFR

Complètement absurde mais assumé. Du pipi, du caca. On est dans du 999 le jeu, mais adapté en film complètement perché.

Bref, ça m'a l'air soit profond, soit gratuit, on pourrait se demander à quoi ça sert au final. Mais en tout cas c'est original, et les péripéties amusantes.

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30 juillet

Si on s'intéresse un tant soi peu à la scène électro parisienne, il me semble judicieux de se pencher sur ce film. J'y ai appris beaucoup de choses, que ce soit sur Radio FG, le garage, les cheers, Radio Nova, etc.

Mais, le film a un style assez particulier dans le sens où il est plutôt timide, il reste juste dans le ton, naturaliste, très monotone. L'acteur principal réussi à merveille de reproduire cette non-émotion, tête de mec banal, avec ses soucis banals. Quant à Macaigne, il fait son Macaigne, et c'est tout ce qu'on lui demande. Et le film est très long, on voit une évolution qui n'évolue pas. Mais ça reste beau. Juste beau.

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18 juillet

Satirique, poétique, et drôle. Un film pour les grands enfants, un casting assez incroyable, qui nous donne une magnifique fable qui ne mange pas de pain, sur la solitude et la dépression.

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24 juillet

Début assez étrange, pas d'intro, le mec a déjà décidé d'envoyer chier dès le début. Clairement un film destiné à Dupontel, qui semble parfait pour ce rôle. Un plaisir assez malsain à suivre ce trop-honnête homme dire ses 4 vérités à tout le monde. C'est un délire qui me botte bien, d'envoyer chier tout le monde. Et le coup d'Ilona Mitrecey m'a bien fait triper. Le twist final justifie cela d'une manière plutôt intelligente je trouve, même si c'est un peu risqué, j'aime bien.

Bref, il y a un côté film dramatique français très marqué, mais le tout reste émotionnellement crédible, Dupontel fait son Dupontel, et ça fonctionne, la fin clot de manière réussie.

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21 juillet - VF

Film détonnant, avec un discours horriblement stoïque, et des images d'archives utilisés jusqu'à la rupture de morale. Une magnifique critique de la société et de son fonctionnement et de ses aspirations nonsensiques.

Bref, j'y applique mon pouce préhenseur vers le haut.

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18 juillet - VOSTFR

Ça se veut assez drôle et sans prise de tête, ça se laisse regarder. Mais du mal à trouver l'intérêt sur le long terme. Heureusement qu'il y a la dernière partie, ça renverse le film et ça déconne un peu plus (et ça parle même d'homophobie c'est fou).

Bref, même s'il se laisse suivre, je le trouve trop long pour ce que c'est, et pas vraiment pertinent.

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13 juillet

Mignon, naïf, peut-être un peu convenu ? Quelques répliques piquantes, les personnages sont attachants, le côté gamin est plutôt bien rendu avec ces acteurs débutants, ça marche bien je trouve.

Bref, toujours un peu de mal à vraiment accrocher à du Gondry. C'était sympa, mais convenu. Une fin assez tristonnante (entre triste et étonnante tavu).

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13 juillet - VOSTFR

Aborder un sujet comme ça serait forcément voué à être critiqué, et c'est le cas. Je pense regarder d'autres films sur ce sujet pour me prononcer sur la pertinence de celui-ci. Je trouve néanmoins qu'il reste intéressant sur la transidentité, la transition, le regard des autres, sur la prise d'hormones, et ce que cela a pour conséquences.

Et au-delà du sujet en lui-même, on sent véritablement la solitude, l'introspection dans la tête de la danseuse, c'est assez lourd, les scènes sont parfois gênantes. Elle est en constante garde, on sent qu'elle étouffe constamment. Avec cette musique très lancinante. Bref, ça reste assez horrible, et la fin on ne peut plus "neutre", aucun émotion apparente, la vie semble continuer... mais où ?

PS : Et puis c'est fou, le père on dirait Joaquin Phoenix vous avez vu ?

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12 juillet - VF

Stitch comment il est trop mignon <3
Et le couple gay extraterrestre me fait toujours marré, ainsi que les différents passages de violence gratuites. Malgré ça, le film ne vole pas haut, se veut assez court et inintéressant. Et la fin est d'une connerie sans nom. Dommage.

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1 juillet (Cinéma)

Après un "Au Poste" grand public, Dupieux retourne son blouson et tombe sur un concept bien plus silencieux, et ce dès le générique. On attend que le film commence, mais il ne se passe rien. Alors on observe attentivement. Dujardin a l'air de s'être intégré à son rôle tel un détraqué passif. Le film se veut assez calme, mais son rythme est étrangement suffisamment soutenu pour pas tomber dans l'ennui total.

Quelques moments bien drôles, des scènes bien placés, des répliques bien lancées.

Bref, Dupieux n'est pas revenu dans l'humour facile à la "Au Poste", on se retrouve dans une expérience calme et reposante marqués par des pics d'intensité, et malgré mes quelques réserves, ça reste un bon petit film sans prise de tête et sans prise de position.

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27 juin - VF (Cinéma)

Étonnante surprise que ce Toy Story 4. Pas vraiment fan des 3 premiers, je les ai bien aimé, mais ils ne m'ont pas marqué.

Mais celui-ci prend la saga à contre-pied, on est limite dans un anti Toy Story, un Toy Story en roue libre. Il casse de nombreux codes de la série, les thématiques sont étonnantes, nihiliste, ode au libertinage et à la dépravation, avec une place importante à la notion de conscience, avec ces personnages qui font leur crise existentielle. La VF est incroyable, probablement meilleure que la VO (même si c'est pas mon style de dire ça) ne serait-ce que pour le personnage québécois, à chaque fois qu'il parlait la salle était en délire, assez étonnant de voir ça. D'ailleurs le film est super bien foutu, le chat incroyablement bien rendu. Et le rythme ne s'arrête jamais, c'est une dinguerie.

Bref, le meilleur Toy Story et de loin, avec le meilleur personnage de la série, j'ai nommé Fourchette.

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24 juillet

Le remake d'un sketch des Nuls, mais étonnement pas super intéressant.
Quelques répliques qui fonctionne bien, un passage comédie musicale amusant, mais le film ne tient pas la route sur la durée. Bref, un concept sympa qui n'est pas utilisé à bon efficient.

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25 juin

Assez énigmatique, naturaliste, avec ce côté légèrement absurde et franchouillard. On observe les gens et les discussions, et on devine ce qu'il s'y passe (bon parfois on comprend rien).

Très années 50, avec les inventions bizarres, les bruitages de boutons, un sound design très cheap, mais burlesque.

On dirait l'inspecteur Clouseau avec son imper (comme un air de plagiat d'ailleurs).

Bref, sympathoche, un brin burlesque, mais ça a légèrement mal vieilli, un peu trop longuet. Et dans le genre burlesque on trouve bien mieux après. Mais il se veut plus calme et plus "capter sur le vif", sans "montage". Ça reste assez étranger pour moi, et assez chiant.

J'aime bien la critique de HORIZOON, un film peut-être intéressant pour ce qu'il est, mais pas forcément intéressant à regarder :
https://www.senscritique.com/film/Mon_oncle/critique/57216318

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4 juin - VF

Typical film nul à suspense. Tout est téléphoné et grossier (le mec voit des chiffres, et il se dit "452552, mais oui, ça se situe pile là où je suis sur mon gps !"), mais on veut le fin mot de l'histoire, qui est... meh.

Mais big up à la scène du métro, qui fait très Destination Finale, mais aucune éclaboussure de sang évidemment, restons familial.

Bref, je ne vais pas énumérer toutes les facilités scénaristiques, mais ça reste bien drôle à regarder quand on est bourré. C'est pour ça que je lui mets un ♥, car son intérêt est collatéral.

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29 mai - Cinéma

On a un concept potentiellement sympa, avec un casting incroyable tout de même (et des petits nouveaux vraiment prometteurs comme le personnage principal)... mais patatra. C'est nul, que des banalités, une intro bien trop longue, comme tout le film, il ne semble jamais finir, on se fait chier, le rythme est mort. Des faux raccords vraiment trop voyant (LES CHEVEUX), du cliché de langage de djeun qui n'est pas du tout crédible chez la fille de riche, tout est téléphoné sans putain de sens, le mec embrasse comme un dieu alors qu'il est puceau, et la meuf qui reste ici car elle trouve un vieux boulot tout pourri, et fait ses adieux d'une manière osef. ET ON FINIT SUR UN REGARD CAMERA ! NON ! Il s'enlise dans les clichés c'est d'une dinguerie. Et non la blague finale sur la caravane accrochée à l'eurostar ne m'atteindra pas.

Bref, c'est quoi ce gâchis d'acteurs et d'actrices là, honteux.

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21 mai - Cinéma

Déjà, étonné d'avoir vu le gros logo d'Universal au début du film, mais passons.
La salle était pratiquement vide (2-3 autres couples), mais le film était déjà sorti depuis quelques semaines, mais passons.
Comme malheureusement attendu, le film allongent les clichés et les remarques de gros beaufs gays, mais passons.
Le scénario est parfois teinté d'incohérence, genre l'équipe devient super forte d'un coup alors que ce sont des grosses merdes, mais passons.
Les moments de water polo sont incompréhensibles et mal filmés, mais passons.

Passons, passons, passons, car bordel de merde ça reste étonnement un très bon film, on finit par rentrer dans le côté un peu grossier et rentre-dedans du film, la clichéitude reste cohérente avec son côté comédie populaire. Le peu de spectateurs dans la salle donnait au final une ambiance bon enfant, et ça riait beaucoup. Ca m'a parfois rappelé les Charlots, notamment quand ils courent tout nu dans les champs, ce côté un peu hippie. Et le personnage de la trans est magnifique je l'adore.

J'ai eu peur que le film finisse de façon plutôt pessimiste, mais finalement le bouquet final est réussi et bien amené, ça fait du bien.

Bref, un feel good movie réussi, malgré son cliché très présent, qui continue de montrer la follophobie ambiante quand on regarde les retours...

Après ne nous méprenons pas, ça reste assez borderline niveau cliché, et peut donner une mauvaise image de la communauté, comme le dit si bien Warguerite :
https://www.senscritique.com/film/Les_Crevettes_pailletees/critique/193868093

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13 mai - VF

Superbe générique de l'histoire d'une balle. Très/trop satirique. Après vu que je l'ai regardé d'un oeil je me souviens plus de grand chose. Mais ça avait l'air pertinent, avec un bon casting, et bien drôle. Pas de note, car je sais pas ce que ça vaut.

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11 mai - VOSTFR

On reste dans du Gregg Araki maison, après The Living End, ici nous suivons une petite bande de jeunes queers à Los Angeles ("la capitale de l'isolement"), qui se cherchent après avoir été abandoné par leur parents. Une espèce de film "anti-romance", où rien n'est idyllisé, les relations compliqués.
On suit plusieurs points de vue, sur l'a priori différence entre le sexe et l'amour, sur le lien entre rester ensemble pour ne pas souffrir de solitude.

Une vision du monde gay des années 80. Beaucoup de choses ont changé, et pourtant c'est toujours la même chose.

Bref, un bon film indé fait avec des bouts de ficelles, qui fait un peu pub pour le safe sex, ça reste parfois assez archaïque à regarder, mais ça fonctionne plutôt bien. Un petit air de Gaspar Noé avec les intertitres qui nous parlent directement aussi. Et le casting fonctionne bien, notamment avec James Duval.

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9 mai - VOSTEN

Le concept est assez con, mais il faut avouer qu'il est bien mis en place, et le minimalisme ne le trahit pas. Très étrange la morale du film, ça part d'un coup comme ça, mais pourquoi pas, j'approuve.

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8 mai - VF (Cinéma)

Un film assez/trop classique, qui ne se démarque que pour ses références à Pokémon. Pikachu a parfois de bonne répliques, les bulbi sont mignons. Quelques bonnes scènes d'action age de glaciennes. Et la fin est assez bien joué. Des bons remix aussi. Mais à part ça, on reste sur notre faim, et le scénario est vraiment de ce qu'on peut attendre d'un vieux blockbuster pourri à la con.