Flop 20 films / 2016

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Incohérent, d'une stupidité abyssale et surtout extrêmement chiant, Assassin's Creed accompli l'exploit d'être encore plus fainéant que le jeu vidéo dont il est tiré. Manque plus que les bugs.

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L'archétype du film d'épouvante populaire moderne: jump-scares à gogo, CGI risibles... Insupportable.

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Au moins on rigole bien, l'ensemble frôlant parfois le nanar pur jus. La faute à une vision improbable de l'homme-singe et à une mise en scène qui part dans des délires incompréhensibles. Retenez bien le nom du réal', on le retrouve bientôt.

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Quand Spielberg se parodie lui-même. De la féerie de supermarché qui s'étale sur 2 heures d'ennui intersidéral. Plus jamais.

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Oh un Marvel Studios ! Quelle surprise. Arnaque commerciale surfant sur le succès apporté par des "fans" auto-proclamés n'ayant jamais ouvert un seul comic-book de toute leur vie, Civil War se fout de nous ouvertement. Des enjeux politiques réduits à une vaste blague et une photo grisâtre dégueulasse s'occupent en plus de donner un look "sombre et torturé" au long-métrage. Non merci.

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Victime d'un lynchage populaire injuste avant même sa sortie, on attendait quand même de pied ferme ce remake. Mais la communauté Youtube avait raison. Ghostbusters est une torture: pour assister à 2 heures de blagues pas drôles, autant aller voir un spectacle de Kev Adams.

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Une scène est super bien shootée, le reste est con et moche. Condenser une oeuvre de 4 heures en 2 heures 6, c'est déjà pas facile, mais en y incorporant des scènes d'actions dignes de Camping Paradis qui durent 30 minutes, ça devient impossible. Mention spéciale au happy-end le plus absurde de l'histoire du 7ème art.

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En allant voir Independence Day, on s'attend au moins à un peu de fun. Ce n'est même pas le cas ici: tout n'est que bla-bla soporifique agrémenté de money-shots nécessaires à la formation d'une bande-annonce. Bigger and Louder en théorie, mais pas en pratique.

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L’intérêt du film est très bien résumé par le jeu de mot subtil et original qui orne l'affiche.

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Le cas typique du blockbuster disposant de tous les atouts pour réussir, flingué par les ambitions commerciales de producteurs avares. Le résultat: un objet difforme violenté par les divers reshoots et remontages. Plus qu'une déception, un beau gachis.

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DC tente de lancer son "expanded universe". Ça se veut plus sombre, mais en fait c'est à peu près aussi hypocrite que le MCU. Pourtant bardé de bonnes idées (la séquence du cauchemar, Batman éreinté par son combat), le film transpire la nécessité de répondre à un cahier des charges imposé par Warner.

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"L'héritier de Spielberg". Une belle expression pour contourner le manque d'originalité d'un long-métrage insignifiant. Sitôt vu, sitôt oublié.

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Certaines scènes dansantes d’hommage sont super entraînantes . Dommage que le reste se vautre dans un humour bas de gamme. Comme quoi, casting de star plus cinéastes adulés n'est pas égal à chef-d'oeuvre instantané.

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Samuel L. Jackson est trop marrant. Voilà.

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Sujet épineux. The Revenant, très subjectivement, semble juste être une machine à Oscar. Pas d'émotion, pas de réflexion... Seule la technique compte. Alors oui c'est impressionnant, du moins assez pour remporter le maximum de statuettes. Le survival d'Iñarritu est un film taillé pour la compétition, un film sportif donc. Le sport est-il un art ? Beaucoup ont répondu oui, l'auteur de ce top n'est pas d'accord.

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Un sous-thriller doublé d'un sous-film d'action rempli de sous-twists. Pas désagréable à regarder mais franchement anecdotique.

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Malgré quelques bonnes idées sur le plan politique, le film tombe souvent dans la fantasy bas de gamme. Le genre semble bien voué à l'agonie après les deux trilogies de Jackson.

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Film très voire trop attendu, High-Rise échoue à adapter un roman qui semble difficile à porter à l'écran. En dépit de sa direction artistique presque parfaite, cet essai un peu prétentieux met maladroitement en scène une débauche formatée. Tant pis.

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La première moitié de cette séquelle est tout-à-fait réussie. On retrouve avec délice ces scènes de flippe interminables et surtout efficaces. Malheureusement, la suite s'inscrit dans un schéma d'un classicisme décourageant, enchaînant les clichés du genre.