Jeux terminés

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2008
Sur ma p'tite DS lite blanche toute neuve. Ce que je l'ai explorée, cette région !

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2009
En vrai je mytho un peu, parce que j'ai jamais fini de récolter les 56.000 essences de chaque type là, ça m'a saoulée. Mais c'que j'aimais pêcher sur ce jeu... Avec le recul, j'me dis que j'aime ça, les jeux de pêche, malgré moi... Faudrait que j'en fasse une liste.

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2009

Torché en deux jours pour cause de pluie au camping, avec ma touche B qui buguait là et les filatures impossibles... Meilleur jeu de la licence, et de loin. Par contre, mon cœur saigne encore de jamais avoir pu date Violette... Dieu sait que je lui en ai offert, des cadeaux !

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2009

Ouais, ouais, on reconnaît les bons bails. J'ai passé tellement de temps sur cette licence dans mes années collège. Et aujourd'hui j'dois reconnaître que c'est un peu grâce à Mama si je sais me faire cuire une omelette, alors bon...

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2010

Bouclé à la va-vite en une aprèm chrono. En même temps, la Team Rocket, c'est un peu des boloss... Du coup, j'en garde pas un souvenir mémorable. J'me souviens que j'étais méga hypée d'explorer deux région (parce que ouais, j'avais jamais visité Kanto ni Johto...) et au final la partie Kanto était tellement osef que j'étais un peu triste... /fin de la séquence émotions/

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2012

MON MEILLEUR JEU POKEMON EVER.
En vrai, j'suis tout le temps déçue depuis la G5... J'me rappelle encore la capture de mon petit Munna dans la ruines, ou l'entraînement drastique de mon Kungfouine sur la route victoire... Ce château enfoui qui me prenait la tête, là, et l'époque où on avait encore de vraies grottes labyrinthiques dans les régions pokémon !
Bref, y'a des gens qui pleurent pour un remake G4, moi je demande juste une compil N&B full HD.

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2014

Oui, j'ai passé 3 ans sur le jeu, parce que j'avais pas encore la 3DS pour jouer aux opus suivants. Je dealais des évolis capturés dans le jardin caché de Volucité, sur la GTS pendant mes vacances. Je m'occupais avec amour de ma petite galerie marchande... J'étais super heureuse de cette suite bien menée, et déçue que cette belle initiative ne soit jamais reconduite par Gamefreak.

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2015

Bon, j'ai grave pris sur moi pour pas le boucler en une journée. J'me suis restreinte à une arène par jour pour le faire durer toute une semaine. J'garde globalement un bon souvenir de cette Génération 6 super kawaii.
Même si le jeu est beaucoup trop simple et expéditif, Kalos est l'une des mes régions préférées (non, je n'suis pas chauvin...) et les bestioles de la G6 ont presque toutes une petite place dans mon cœur. Des opus qui auraient grandement mérité une suite, mais bon... On rêve encore d'un retour à Kalos...

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2017

Le début de mon histoire d'amour avec cette grandiose licence d'Intelligent System.
Faut savoir qu'à la base, j'ai acheté la cartouche en occase chez Micromania, parce que j'étais grave un pigeon à l'époque. J'ai commencé le jeu en mode "Oh, trop sympa ces petites maps de combats là ! Allez, 10-15min, parfait pour aller faire caca !" (Oui, VRAIMENT !). Et j'ai fini par rager dessus pendant de belles après-midi à maudire tous mes ancêtres sur les annexes monstrueuses.

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2017

J'ai passé quelques années sur ce jeu après avoir expédié Pokémon X fissa. Comme j'avais pas joué aux jeux originaux, j'ai découvert Hoenn sur cet opus 3DS et j'ai vraiment appris à apprécier la G3, qui était jusque là la génération pokémon que je détestais le plus (je confesse que j'éprouve toujours une haine viscérale envers Balbuto et Kaorine, mais bon...)
J'y ai joué pendant des plombes, parce que les mécaniques de shasse me plaisaient davantage que sur X/Y... et le pompon c'est que j'y ai jamais chopé un seul shiny, alors qu'ils venaient à la pelle dans l'autre Safari des amis...

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2018

Je me suis lancée dedans juste après Awakening, mais les 5 premiers chapitres de tutoriel ont eu raison de ma patience et je m'en suis vite lassée, jusqu'à retrouver un vif attrait pour la licence sur le jeu mobile, et revenir sur cet opus. Là, j'ai avancé, apprécié et... j'ai accidentellement supprimé ma sauvegarde.
Du coup, j'ai fait contre mauvaise fortune d'une pierre deux coups (comment ça cette expression n'existe pas ?!) et j'ai acheté en démat' les deux versions complémentaires. J'ai attaqué en parallèle Héritage et Conquête pour vraiment mesurer les changements et les liens entre les deux jeux et j'avoue que c'est surtout grâce à ce parallèle que j'suis l'une des rares personnes à défendre l'opus Fates.
Bon après, Héritage reste à mon sens relativement lambda, surtout parce qu'une fois Ryoma dans l'équipe, il gère les maps tout seul. J'crois que j'ai jamais rencontré aussi peu de difficulté sur un FE, mais des fois c'est reposant aussi de n'pas rager en masse...

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2018

Y'a eu quelques jours cet été-là où cette petite pépite pouvait être obtenue gratuitement contre des points Nintendo. Je savais pas du tout ce que j'achetais, mais j'suis instantanément tombée amoureuse du gameplay de ce petit jeu. Je l'ai maté en 2-3 jours, mais je mentirai si j'disais qu'il ne m'a pas donné du fil à retordre et qu'il n'a pas hanté mes nuits blanches...

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2018

Ouais, c'est rare de finir un jeu mobile. Pour le coup, j'ai failli ne pas le finir, tellement les casse-tête tous pareils commençaient à me gaver. J'comprends toujours pas la petite hype qu'il y avait autour à l'époque, parce que même l'histoire n'était pas folichonne. Et, en plus, avec leurs p'tit carrés de couleurs là, bah je n'sais toujours pas hacker un smartphone...

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2019

Au bout d'un moment, j'ai quand même abandonné le délire de jouer Héritage et Conquête en parallèle, tellement ce dernier me donnait plus de fil à retordre. A partir du chapitre 15, j'ai commencé à pleurer chroniquement du sang. J'ai imaginé un plan diabolique pour pallier à l'absence d'exploration en farmant sur les annexes. J'ai mis 150 ans à débloquer tous les marmots en montant mes soutiens via une seule et unique petite map dlc gratuite... BREF. Tout va mieux, je trace mes routes cahoteuses jusqu'au dernier chapitre. Et là, ceux qui savent... savent comment on se fait entuber. Pas de bol pour moi : j'ai écrasé ma sauvegarde. J'ai recommencé ce combat final un nombre hallucinant de fois, en restant coincée à mon même point de sauvegarde au milieu d'la bataille. Bon, au bout d'un moment, j'ai pété un plomb et j'avoue que j'ai ressorti la cartouche pour péter sa gueule à Takumi seulement un an plus tard.

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2019

P'tite soirée tranquille devant ce petit FPG joliment designé. Bon, faut avoir envie de lire, mais l'histoire est plutôt chouette.

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2019

Bon. Plus gros désappointement de ma vie. Ce jeu a tout d'même réussi à me convaincre qu'il fallait que j'arrête d'acheter n'importe quoi sur l'e-shop sous prétexte que c'est pas cher.

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2019

Ce fut plié vite, vu que le post-game est pour ainsi dire inexistant. C'est dommage parce que le jeu est tout mignon, et que ça aurait été l'occasion de nous faire une compil Kanto/Johto plus poussée que HGSS (déso-pas-déso les fans).
Le seul truc "chouette" c'était la compatibilité avec Pokémon Go (qui se fait désirer sur le Home). Enfin, en théorie, hein. Parce qu'en pratique, il me faut 15 ans à chaque fois pour arriver à connecter mon téléphone à la Switch et vice-versa... Autant dire que pour 20 p'tit meltan, j'ai grave la flemme.

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2020

Magnifique remake, plein de personnalisation, qui m'a fait découvrir et aimer la licence. J'ai abandonné le jeu après avoir complété le scénario, car les dernières strates du dernier niveau offraient décidément une difficulté trop élevée à mon goût.

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2020

Si tard, oui. J'avais déjà commencé et plié Let's Go depuis un bail et commencé E/B. En vrai, j'ai rallumé ma cartouche juste pour transférer mes pokémons sur ma version Ultra-Lune. Et là... bah j'me suis rendue compte que je n'avais jamais attrapé Necrozma. Voilà, vous savez tout. C'était une anecdote chiante, autant que ce jeu et son imbuvable motisma-dex...

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2020

J'me suis vraiment laissée embarquée par ce petit Rogue-like à la difficulté savamment progressive et à l'humour doucement subversif. Ma note aurait facilement pu compter un point de plus, si la fin n'était pas aussi téléphonée et en totale contradiction avec le ton global du jeu.
Le scénario terminé, le mode défi offre encore de jolis challenges.

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2020

Vrai chouette survival-plateformer avec plein d'idées de gameplay sympa : la gestion jour/nuit et, surtout, l'absence d'arme du personnage qui force l'interaction constante avec l'environnement, pour se dissimuler, piéger les ennemis ou les pousser à s'entretuer.
Les chapitres sont tous bien pensés et les environnements variés. Le final m'a fait froid dans le dos... Certains regretteront peut-être l'absence de scénario autour de cet astronaute muet.

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2020

Un petit craquage dont je ne regrette rien. L'intrigue est délicieusement glauque. je crois que je suis tombée sur la "bonne" fin... Ce qui me laisse franchement présager le pire pour la "mauvaise". J'aurais réellement plaisir à recommencer ce jeu d'ici quelques années et quelques flanchements de mémoire.

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2020

Pour un petit titre aussi bon marché, le jeu tient ses promesses et occupe facilement quelques heures avec ses casse-têtes bien dosés.

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2020

Quelques phases de survie/rapidité franchement compliquées à gérer pour la noob que je suis. Je ne sais même pas quel fut mon plus gros pétage de plomb, entre la grotte, le musée ou l'asile...
Je suis franchement frustrée par l'impression que mes choix ont eu peu d'incidence sur la fin. Il doit en exister quatre ou cinq, et je n'ai clairement pas la motivation de recommencer le jeu pour les explorer toutes.

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2020

Un vrai jeu old-school avec des graphismes adorables, un gameplay fluide et précis, une vraie difficulté — contrebalancée toutefois par les bonus octroyés à mesure qu'on perd un même combat de boss. Si j'ai pu lire quelques complaintes à ce propos, je trouve personnellement que c'est un juste milieu entre un jeu bien corsé et un jeu pour certains impossible à finir. Si vous voulez galérer, après tout, ne prenez pas les potions, et basta.

Les différentes zones offrent toutes de vrais changement de gameplay et aucune formes du perso, même parmi les premières obtenues, n'est jamais laissée pour compte. La complétion du 100% est rude, mais néanmoins possible (la preuve, même moi j'ai réussi !)

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2020

Merci le confinement pour m'avoir fait découvrir cette petite pépite, et incontestablement le meilleur jeu coopératif auquel il m'ait été donné de jouer.

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2020

Une belle expérience un tantinet gâchée par le portage bugué sur la Nintendo Switch. Je ne saurais que trop vous recommander la version PC, plus adaptée au point'n'click.
Un magnifique jeu dont le seul défaut est son incomplétude : ce premier volet appelle inévitablement un second, et laisse sur le coup une sale impression d'inachevé.

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2021

La jolie alliance du plateformer et du jeu de rythme. Idée séduisante pour un jeu tout en douceur, en difficulté-zéro. J'avoue que ça m'arrange, parce que le rythme et moi, ça fait deux. Si ma progression avait été contrainte à mes performances, je n'aurais sans doute jamais fini le jeu. Mais je suis quand même surprise que la difficulté ne soit pas ajustable, pour les joueurs qui aimeraient un peu plus de challenge.
Une petite dizaine d'heures suffisent amplement pour boucler ce titre indé. Le scénario est chou, la bande-son de qualité (mention spéciale pour la musique du Hibou). Le manque global de difficulté et la fin précipitée minent un peu l'expérience.

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2021

La très belle (vraiment !) suite du précédent. La fin laisse la porte ouverte au troisième opus, mais se suffit également à elle-même. Certaines énigmes sont toujours aussi farfelues et casse-tête... Ce maudit avion me fait encore grincer des dents. Les paysages glaciers sont un peu moins variés que dans l'opus précédent, mais le village des Youkols offre un dépaysement assez inédit pour sa part.

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2021

Un jeu Pokémon très moyen qui enterre la vague sensation d'exploration déjà bien tabassée en 7g. La linéarité est le maître-mot à Galar, région tout en longueur entièrement balisée. L'époque où je pétais un câble, perdue dans la forêt de Vestigion, dans le Mont Couronné ou sur la Route Victoire me manque, vous pouvez pas savoir ! ... Les terres sauvages sont trop plates (voire monotones) pour vraiment compenser, même si j'apprécie l'initiative.
Cela dit, le jeu très moyen est sauvé par de très bons DLC, qui eux rendent un peu justice à l'exploration perdue et introduisent un simili-système de quêtes dont on espère qu'il perdurera. Couroneige et son antre dynamax ont vraiment rendu la coop online fun. Et c'est quand même le comble, que j'me sois cent fois plus amusée à compléter mon dex sur les DLC qu'à suivre le scénario du jeu principal, non ?