Journal d'un dévoreur de J-RPG

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Découvert sur le tard via la ressortie Switch j'ai vite compris d'où lui venait son aura si particulière. Il faut dire que la proposition sort des sentiers battus et a une véritable identité. Ajoutons à cela un systéme de combat atypique à base de cartes et une DA tout aussi personelle et on obtient un jeu assez unique dans le monde pourtant tres balisé des JRPG. Si vous êtes en quête d'un JRPG différent il faut l'essayer. C'est un jeu de son époque et il peut sembler un peu archaïque sur certains points mais c'est un jeu qu'on oublie pas.

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LE JEU de la génération ps4 pour moi. Il y a une alchimie qui relève du prodige entre sa DA, sa durée de vie, ses boss, son système, ses musiques. Comme si l'équilibre parfait avait été trouvé. La pierre philosophale des souls-like.

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Comme le jeu de base, l'extension vient encore polir le joyaux brut. En lui apportant ses plus beau combats de boss via 3 zones toutes plus réussies les unes que les autres, la version compléte de Bloodborne fait passer le titre original de chef d'oeuvre à intemporel. (oui c'est la foire aux superlatifs).

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Pas totalement fini mais fait en grande partie. Il a fini par me tomber des mains. Pas un mauvais jeu. Il fait partie de ces JRPG très centrés sur leur système de combats. J'ai pour ma part toujours eu un peu de mal avec la série des Bravely mais je ne peux m'empêcher d'essayer chaque épisode malgré tout.

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J'avais 11 ans quand j'y ai joué pour la première fois et c'est probablement une de mes premières rencontres avec le genre. Je l'avais vu chez un ami et c'est son esthétique qui m'avait d'abord séduit. Puis je me le suis pris. Et repris sur psp. Et juste d'écrire ce petit texte me donne envie de le refaire.

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Je l'ai découvert très tard, en 2018 sur ma 3DS. Et c'est fou comme il passe bien même aujourd'hui.

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On retrouve déja dans ce Dark Cloud l'ADN des futurs level-5. De l'exploration, du crafting et de la gestion de villes/villages. Tout été déja la mais avec peut être une certaine maladresse.

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La version plus maitrisée du concept que fut Dark Cloud. On passe d'une 3D un peu anguleuse au Cell Shading qui restera un élément cher au studio pour ses futures productions (Rogue Galaxy, Ni No Kuni).

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L'essai confirmé apres un Demon's Souls qui avait déja tout en lui mais sans la maitrise. Le jeu qui a changé l'industrie. Un des plus gros impact sur ma vie de joueur.

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Version remasterisé du chef d'œuvre avec plus de 8 images par secondes dans le hameau du crépuscule.

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Injustement boudé. Un bon Souls mais à qui il manque justement le soupçon d'âme et de cohérence qu'insuffle Miyazaki à ses jeux. Mécaniquement c'est bien mais il n'a pas le parfait équilibre. Ici des boss inutiles et la des zones moins inspirées. Un bon jeu. Mais pas plus.

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La version conspuée du vilain canard de la fratrie. Un rééquilibrage discutable de l'original auquel s'ajoute ses 3 excellentes extensions, un boss final supplémentaire etc. C'est toujours un bon jeu. Mais toujours pas plus non plus.

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Mécaniquement c'est le meilleur souls. Plus souple, riche, beau, complet. Quand on a découvert le premier d'abord on a plus d'affect pour celui de la découverte. Mais si vous voulez vous lancer c'est peut être une bonne porte d'entrée plutôt que se heurter à la rigidité du mythe fondateur qu'est Dark Souls 1.

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Premiére extension de DSIII avec son boss mythique.

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Point final de la saga aux décors renversants et renversés. Conclusion parfaite à la plus grande saga de dark fantasy du JV.

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La découverte de Disgaea à sa sortie fut un choc. Pour un accro au levelling comme moi, c'est un peu la terre promise. Monter ses persos mais aussi n'importe quoi d'autre ! Ses armes, ses armures, ses sorts. Sans parler de cette joyeuse troupe loufoque. C'est ainsi qu'est né mon amour de la série malgré des hauts et des bas.

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J'avais pris beaucoup de plaisir à retomber dans du disgaea sur ma vita. Surtout que pendant plusieurs années je n'en avais pas fait ayant fait l'impasse sur le 3. Un très bon épisode. Mon 2éme favori après le 1.

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J'ai detesté. Le disgaea en mode automatique avec une gueule de jeu mobile. Rien ne m'a accroché sur cet épisode.

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Je ne l'avais pas beaucoup aimé sur ma ps3. Apres un Odin Sphere enchanteur celui la m'avait paru dénué de scénario et peu palpitant. Il m'aura fallu attendre la version ps4 pour m'y plonger à fond. En vieillissant j'ai mieux cerné ce récit fantasy tres cohérent, ce choix de narrateur omniscient et ces personnages muets donnant un coté conte / jeu de role à l'ensemble. Le gameplay reste malgré tout un peu bordélique. Un bon Vanillaware.

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Je ne l'avais pas beaucoup aimé sur ma ps3. Apres un Odin Sphere enchanteur celui la m'avait paru dénué de scénario et peu palpitant. Il m'aura fallu attendre la version ps4 pour m'y plonger à fond. En vieillissant j'ai mieux cerné ce récit fantasy tres cohérent, ce choix de narrateur omniscient et ces personnages muets donnant un coté conte / jeu de role à l'ensemble. Le gameplay reste malgré tout un peu bordélique. Un bon Vanillaware.

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Dragon's Dogma... "La réponse japonaise à Skyrim". Forcément avec ce genre de communication ce fut une douche froide. Un jeu très curieux, un peu étrange. Il ne s'ouvre que lorsque l'on fini le jeu une première fois. La première run est peu palpitante et même pénible. Puis à la fin les systèmes s'ouvrent et le jeu gagne en intérêt. Mais l'intérêt des joueurs lui s'en est allé. Un jeu cassé.

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Grace à son extension c'est tout le potentiel caché de DD qui apparait au joueur. En allant pioché allégrement dans Dark Souls via un donjon labyrinthique peuplé de boss bien costaud, c'est toute la richesse de con potentiel qui se dévoile. Cette version est une belle note d'intention pour un DD2 qui serait mieux maitrisé et permettrait enfin au vilain petit canard de prendre son envol.

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Comme beaucoup il fut ma découverte de la saga. J'avais 17 ans et j'ai passé 100 heures à retourner le jeu dans tous les sens. Une aventure gargantuesque, belle, riche... Un grand JRPG de l'ère ps2. Une version switch et je replonge.

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Je n'avais pas fait de DQ depuis le VIII. Et il ne m'a pas déçu. J'y ai retrouvé tout ce que j'aimais mais au gout du jour. Ce qui tombe bien car c'était précisément ce que je voulais. Une aventure surprenante. Traditionnelle mais avec des twists audacieux et de grands moments.

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Je l'ai tellement aimé que je l'ai refait sur switch... Le rêve de Satoru Iwata de voir DQXI arriver sur Switch a été réalisé, comme pour rendre honneur à sa mémoire.

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Une idée et un concept original pour un rpg aussi soporifique que les pires Tales Of et des pics de difficultés passant de promenade de santé à enfer.

Annotation :

L'occasion de découvrir cet ancien épisode dans sa meilleure version. Classique mais charmant.