Les bons plans de 2020

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Un classique de la comédie d'action des 80's avec comme producteurs Bruckheimer et Simpson. J'ai kiffé putain.

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Sûrement le meilleur film d'"horreur" populaire que j'ai vu depuis looooooooongtemps

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Aaaaah c'était pas mal, à 2 doigts d'être parfait

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QUI d'autre que Pixar peut sortir une suite 9 ans après le dernier opus et toujours être aussi bon et frais ?

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C'est nul à chier. Genre dès les 20 minutes de début du film.
A partir de là, ça se regarde comme le nanar le pus cher de cette année.

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L'immersion est vraiment bonne notamment grâce à de jolies performances de la plupart des acteurs. Very cool.
1 blague ré-usée (pas très drôle en plus) mais sinon le sujet est traité avec justesse (même si ça fait beaucoup pour un jour mais bon c'est un film, on a pas le temps)

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Plutôt brillant.
J'ai trouvé intriguant comment l'absence de musique se faisait ressentir.

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Comme pour son précédent film, mon premier ressenti est "j'ai rien compris".
Ce qui est intéressant, mine de rien, ça force mon esprit à rentrer dedans

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Beaucoup de surcadrage, un sound design et une BO soignée.
L'atmosphère qui en résulte est franchement captivante.

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Comment j'ai bien aimé.
Les regards face caméra quand les personnages énumèrent tous les propos les plus viscéraux qu'ils peuvent envers une personne d'une autre couleur de peau, ça en impose. C'est représentatif de comment tous les personnages de couleur et d'horizons différents ont intériorisé des attitudes envers les uns et les autres.
Je n'ai pas tout à fait compris le personnage de Sal.
Pendant une bonne partie du film, il est en opposition à son fils (qui lui est ouvertement raciste) et il nous montre même qu'il est sensé avoir compris qu'ils vivent tous ensemble dans ce quartier et qu'ils doivent apprendre à partager cet espace en paix.
Est-il sensé représenter une institution et c'est la raison pour laquelle c'est le seul du quartier à prendre parti pour la police à la fin du film ?

Bravo au design producer, c'était sympa de voir un Brooklyn très afrocentrique d'avant la gentrification.

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Très convenu comme comédie romantique mais les dialogues sont bien écrits, faut dire.
J'aurais plus aimé qu'ils ne finissent pas ensemble, histoire d'avoir enfin un film qui traite d'une relation amicale entre 2 personnes hétéro du sexe opposé mais bon, c'était évident dès le départ.
Le 3e acte arrive à être drôle, ce qui n'est pas le cas en général donc bon point pour ça aussi.
Maya Erskine est très drôle aussi.

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[Critique à chaud]
Putain de bordel de merde que c'est bon de voir un film qui a l'air aussi résolumént féministe aussi bien par son scénario que par sa mise en scène !
En général, j'ai du mal à rentrer dans des films qui se présentent comme féministes/alter-mondialistes parce qu'ils présentent un élément que je trouve un peu contradictoire avec le reste du film mais là non !
Tout depuis le départ me laisse m'investir à fond dans la résolution finale, que ça passe par des messages un peu dilués comme l'annonce subtile du mariage forcée d'un des personnages principaux, à la recherche de la représentation parfaite d'un moment grâce à la peinture, de l'amour maudit entre 2 femmes à une époque où les relations homosexuelles sont tout simplement non envisageables au long terme vu leur incongruité (ce qui nous rappelle qu'à l'époque où se film est réalisé, ce genre de relation comporte toujours un certain tabou).
En plus, ce message résolument féministe transparaît également dans la mise en scène en adoptant un point de vue plus subtil dans la représentation de l'amour lesbien que d'autres films auparavant, en ne montrant que la passion entre 2 personnes sans alimenter le besoin très machiste de voir 2 femmes se peloter; mais aussi en faisant la part belle aux réactions des personnages aux situations, avant de changer de plan.
Bref, j'ai vraiment eu l'impression d'être sur une autre planète pendant le visionnage de ce film et c'était une expérience assez forte et inoubliable pour que je me mette à stalker sa réalisatrice donc gros point pour ça, gros bravo des 2 mains à la Orson Welles

Annotation :

Joli mindfuck, ça j'ai beaucoup aimé.
C'est dommage de jouer autant sur la méta mais de ne pas y aller jusqu'au bout.


(Faut vraiment que j'arrête de regarder ses films, ça me laisse dans un état terrible)