Les plus belles relations entre parent et enfant au cinéma

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10 ans de la vie d'Hana qui a rencontré un Homme-Loup et pour lequel elle vouera chaque minutes de son existence pour ses enfants spéciaux.

Comment ne pas l'aimer ? Peu importe les difficultés, peu importe son épuisement, peu importe l'opinion des autres, elle reste debout pour pouvoir élever seule ses deux enfants pour qu'ils grandissent en sécurité des regards et dans le bonheur.
Eux finiront par choisir leur nature...

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Le lien émotionnel entre Cooper et sa fille Murphy est si fort qu'il a bien failli me faire pleurer.

Non seulement la relation entre eux est très forte, Interstellar montre que malgré les milliards d'années lumières de distance, l'amour d'un père pour sa fille restera la valeur la plus puissante au point de réaliser l'impossible.

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Des centaines de fois que cette histoire m'a ému et vous a émus.

Marin, père surprotecteur qui essaye tant bien que mal d'élever son fils handicapé à la suite d'un événement tragique. Et Nemo qui souhaite grandir comme les autres enfants et qui veut prouver à son père qu'il faudra un jour qu'il lâche prise et le laisser vivre sa vie.

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Je le place parmi un de mes préférés. La relation maternelle qu'entretien Ripley et la petite Newt tout au long du film et qui se construit bien au-delà du lien du sang.

Avec Ellen Ripley qui apprend que sa fille est morte sans avoir pu la voir grandir et qui voit Newt seule vers qui elle va donner son amour maternel. Tout du long cette relation se construit de manière fluide jusqu'au dénouement où Ripley va jusqu'à affronter ses pires cauchemars pour la sauver.
Et à la fin lorsque Ripley finit par sauver Newt, j'ai eu envie de verser une larme lorsqu'elle l'a appelé "Maman".

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Mary Poppins, cette histoire porte en couleurs et en musique les plus beaux liens parentaux et est même beaucoup plus subtil qu'il n'y paraît.

Les Enfants Banks étant complètement délaissés par un père trop occupé par son travail et une mère trop occupée par ses activités de suffragette jusqu'à ce qu'arrive Mary Poppins qui leur donne toute l'attention qu'un enfant mérite.
Le quatuor Bert, Mary Poppins, Jeanne et Michael devient par la suite la figure familiale parfaite entres individus rêveurs. Mais le film ne s'arrête pas à cette figure idyllique trop parfaite pour durer.
George Banks finira par comprendre par la suite que ses enfants finiront par grandir et qu'il doit profiter du temps avec eux avant qu'il ne soit trop tard pour leur donner tout son amour.

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Ce film est reconnu comme l'un des plus tristes au monde et c'est notamment grâce au lien très fort entre la boxeuse Maggie Fitgerald et Frankie Dunn son entraîneur.

Maggie pousse non-seulement Frankie a se lancer dans son rêve, mais lui finit par lui donner ce dont elle a toujours manqué, et quand on voit la famille de dégénérés qu'elle a eu toute sa vie, cela prend tout son sens.
Et le lien père/fille est monté à tel point que la fin déchirante est sans aucun doute l'une des plus tristes de tout le cinéma, grâce à ce lien fusionnel.

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Guido est juif et il finit déporté avec son fils et sa femme dans un camp de concentration.
Comment ne pas être insensible devant cette histoire ? Guido pendant tout le film fait tout tant bien que mal pour maintenir son fils dans un climat positif en sachant qu'ils pourraient mourir.
Et au milieu de ça, Dora décide de se laisser déporter pour pouvoir les accompagner dans ce sort funeste.

Le film aurait pu miser sur une ambiance de désespoir mais il reste constamment sur une ambiance de monde merveilleux à l'image de Guido excentrique et joyeux pour pouvoir maintenir son fils dans le bonheur, mon dieu que c'est beau !

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En voilà un film qui perturbe autant qu'il émeut tant il part dans presque tous les extrêmes d'une relation parentale.

Diane qui retrouve son fils Steve qui souffre de troubles de l'attention et d'hyperactivité, ce qui le rend très violent et leur relation entre les deux est très difficile.
Entre les engueulades qui menaçaient de finir aux mains à chaque fois et leur relation qui pouvait se finir tout comme il pouvait déborder en bien comme en mal, avec Diane qui peut à tout moment se servir d'une loi pour se débarrasser de lui. ça en fait une relation à la fois perturbante et pourtant très immersive. Il est tout simplement impossible de ne rien ressentir devant une telle relation.

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Gran Torino, l'un des meilleurs films de Clint Eastwood n'a pas démérité la relation père/fils entre Walt Kowalski et le jeune Thao.

Walt Kowalski était un homme grognon et qui avait pour famille une bande de requins sans amour et irrespectueux. Il était surtout un raciste viscérale jusqu'à ce que les circonstances vont le faire connaître la communauté Hmong et Thao qui va devenir le fils qu'il aurait aimé avoir et lui combler sa solitude et le guérir de ses préjugés.

Bon sang que ce film offre en drame avec cette relation minimement drôle et très riche et généreuse en émotions de toutes sortes.

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Bouh et Sully, sans doute celle qui m'a le plus marqué étant petit.

Bouh qui croise Sully en gros nounours et qui finit par s'attacher à lui comme une peluche et Sully qui est tellement terrifié qu'il en devient plus mignon à ses yeux.

Leur lien affectif se construit jusqu'à inventer un mensonge de lien de parenté et devenir par la suite tellement fort que Bouh voit Sully comme son protecteur, ce qu'il finit par devenir.
Et quand vient la fin, on est tellement ému qu'on en est que plus attristé quand ils apprennent qu'ils ne se reverront probablement plus jamais.

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L'histoire de Kramer contre Kramer est certes basique mais son cas doit être très répandu, mais elle est raconté avec énormément de passion.

Après le départ de sa femme, Ted Kramer se retrouve à devoir élever seul son fils Billy qu'il ne connaît pratiquement pas à cause de son travail qui lui prenait tout son temps. Malgré les difficultés et les contraintes, il finit par s'y habituer jusqu'à retrouver une vie stable sans la mère. Jusqu'au retour de celle-ci.
On pourrait croire à ce moment-là que le film se contenterai de la diaboliser vu qu'elle a abandonné pendant longtemps son enfant à cause de son mari, mais non. Les deux en viendront à faire une guerre juridique uniquement pour l'avoir pour se rendre compte que c'est la chose la plus nocive pour Billy.

On ressent toute la sincérité des personnages, que ce soit Billy, Ted et Johanna et la fin est tellement déchirante malgré son côté ouvert que le film fait ressentir presque toute les émotions possibles dans ces situations conflictuelles que l'on est tous capable de subir.

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Ren avait fait le choix d'être seul et l'ours Kumatetsu l'avait choisit pour devenir son disciple pour prouver sa propre valeur.

Ce qui commençait par une relation houleuse basée uniquement sur l'intérêt personnel va finir par devenir une relation père/fils entre le Garçon et la Bête qui ont toujours vécus seuls.
Cette relation qui mise autant sur l'émotion pousse plus tout de même vers l'humour sympathique. Car malgré la vision qu'on a d'un lien père/fils idéalisé, le film contrebalance en étant une relation père/fils globalement moqueuse et bruyante. Et pourtant ça marche.

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Vous connaissez l'histoire, on la connaît tous et ô combien elle est belle dans le fond.

John Connor qui n'a jamais connu son père et sa mère incarcérée grandit seul pour voir en son protecteur le Terminator son père de substitution. Et c'est justement ce qui marche autant, qu'une machine insensible puisse détenir des émotions au contact de son protégé.

Si vous avez vu la fin
SPOILERvous savez que ce n'est pas une machine tueuse que l'on voit mourir, c'est bien plus que çaSPOILER

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Pour un film qui ne semblait pas apporter plus que ce que l'affiche veut dire, la relation maternelle entre Lilo et sa grande sœur Nani est surprenante de réalisme.

Aucun parents et Lilo se trouve sous la tutelle de sa sœur qui peine à pouvoir l'élever convenablement et qui bataille contre les services de l'enfance pour ne pas perdre sa garde.
Et aussi incroyable que ça puisse paraître, si on enlève l'intrigue avec l'extra-terrestre qui se lie d'amitié avec la petite fille, le réalisme de cette situation rendrait ce film très crédible. Combien de familles ont vécus ces difficultés dans ce cas présent ?
Chacune des situations qu'elles vivent entre elles sont normales, crédibles et naturelles dans une situation de crise. A t-elle point qu'on en vient à vouloir que le film se concentre intégralement sur ça.

Mais je pense que sans Stitch dans l'histoire, cette dernière aurait été trop dur à supporter, ce qui est dommage car cela aurait rendu ce film unique.

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La relation entre Kubo et sa mère.

Tout est d'avance montré, un silence omniprésent le matin. Sa mère est catatonique la journée et souffre de pertes de mémoires depuis un violent choc à la tête qui l'a rende d'autant plus attachante et triste avec Kubo qui s'occupe d'elle avec amour.
Et quand vient la nuit, elle redevient normale et conte à son fils les exploits de son père comme si de rien n'était avant de se rendormir et de continuer ce cycle encore et encore.
C'est d'autant plus triste quand on se rend compte que ça fait écho à la maladie d'Halzeimer. :'(

Puis vient la relation entre Kubo et ses parents de substitution: Scarabée et Madame Singe. Quand vient la scène du bateau, on ne voit plus des personnages d'histoires fictives mais de véritables personnages au caractère des plus humains.

C'est encore mieux quand on se rend compte qu'ils sont plus que des parents de substitution pour Kubo...

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La relation entre Carl et Russell qui fait beaucoup penser à celui d'un enfant avec son grand-père est construite tant est si bien sur la longueur de l'intrigue que grâce à l'introduction du film qui lui donne énormément de matière.

Carl vit seul et reclus sans Ellie avec qui il voulait un enfant, tentative qui s'était soldé par un échec mélancolique.
Et Russell qui contrairement à ce que l'on croyait au début, est presque aussi seul que lui avec ses parents absents.
Ils finiront par former une famille complète, drôle, insolite et qui a participé à faire de ce film l'un des émotionnels de Pixar.

Annotation :

L'histoire d'un père qui prend le risque de finir en prison ou tué pour que son fils puisse accomplir sa destinée, et ce malgré le fait qu'il soit différent.

L'histoire de Midnight Special avec ses gros trous a un peu de mal à être immersif mais ne fait que rendre la relation entre Alton et ses parents que plus attachante et crédible.
On ressent toute leur ignorance, leur détresse et leur amour dans ce récit.

"J'aime me faire du souci pour toi" Disait Roy à son fils.

Annotation :

La relation entre Mowgli et sa famille d'adoption a été beaucoup plus exploitée dans cette version.

La meute a peur de le perdre, et Raksha sa mère n'en est que plus attristée et attristante devant le départ de son fils. Cette scène de départ a réussit à capter ce qui en fait une scène déchirante et Raksha en donnera tout au long du film avec son regard apeuré des dangers de la jungle pour Mowgli.