Ocha no Eiga 2021

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Au besoin d’un fait à reconstituer s’entasse la crasse véreuse. Mortel réel où l’empreinte subsiste par l’emprunt sub(sis)tué. Cry Out.

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De truck en trac se réfère du road-movie des bannis, l’appeau en fer d’une rédemption au souffle létal. Le karma traque, l'apport de l’enfer

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Cygne noir d’étang pourri, l’homme qui rit en Very Bad cheap concentre du Monde la défaillance démasquée sans mascara. Le freak, c’est chic.

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Inquiétant, fantasque, surprenant & fascinant, le Mal déjoue le Bien, s’exhume, retentit & trouve profondeur. Du cinéma à suspense, Genèse.

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Misère de l’escroc à chérir le vol du plus pauvre. Son art niaque les crédules mais l’est-ce trop ronge… Sans retraite, moralité dévale huée

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L’enfer sur terre a la couleur du pétrole. Sueur d’ardeur & du souffle soufré de la Mort aux coeurs détroussés, l’abime de l'espoir corrodé.

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One Upon a Time Leone, Eastwood & more… Icons. Western sauce samouraï, splendeur héroïque sans nom : griffe inouïe d'une signature canonique.

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Au fil des corps, l’angoisse ronge les foyers. Folle enquête sur l’antre du prédateur sans visage, y faire taire l'horreur du Mal d’aurore.

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Nonchalant chatoie le chat pitre à la minette, félin pour l’autre, une strophe d’un bonheur sans chagrine. Chaleur charriée en catimini !

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Du possible à la pudeur poétique au contre-champ isolé, la mélodie enrobe le cœur nu de vœux désavoués. Ellipse en si du temps des nous est.

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Odyssée abyssale au fond létal. Du ventre du monstre d’acier à la survie aveugle, la sortie (iron)hic des destins décomprimés. Hapnotique.

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Sensualité mordante de la marginale dont on souhaite la peau. Coupable & désirable d’une vie non chaînée, l’étrangère aux us subit coutumes.

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Si la comté est origine du conte où se terre l’alliance pernicieuse, la voie commune s’aliène en quête fragmentée. Épique héritage magistral

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En perdition sur la route vengeresse, la fabrique de la perversion déroute les assoiffés de justice vers la fausse aire des maux néfastes.

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À l’heure déchue, le temps assassin les gouverne tous, ensanglantant décloitrés & armées. Heurts des dévoyés en détresse en détours enlacés.

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Délinquance confinée où le mâle s’étripe à extirper du Mal l’épinglé des cinglés. Une nuit en enfer au décompte infernal. Max Snake in Town.

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Latence épurée, transition éperdue vers l’esthétique des nues. Pronoms subjugués en accords fusionnés d’essence sensuelle, où point paroles.

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L’épique des cimes clôt la dialectique du Maitre & des possédés. Adieux & larmes au temps des choix des braves : royale se loge l’épopée…

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Télé(colo)scopie d’intérêts déviés dans le billard friqué, la partie se surjoue sans surprise sur les bandes saturées du club NY. Compacte.

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D’un collage d’emprunts surréalistes où la parodie sociale se ponctue de cruauté & de beauté, la poésie se pose à la limite du sens évidé.

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En la strate mentale, le dédale spatial enlace le lierre d’hier transcendant sciences. Fiction de l’obscure lumière familière, l’appât être.