Personnification de la mort (version film)

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L'adaptation de ce roman de 1883 présente un personnage inédit : la Mort. Identifiée comme telle uniquement dans le générique de fin, il est en effet difficile de lui associer spontanément ce rôle tant son apparence diffère des représentations traditionnelles habituellement privilégiées. Pour cause, la Mort est présentée comme la soeur de la Blue Fairy (renommée en Wood Sprite dans le film ; celle qui donne la vie à Pinocchio), et toutes deux restent visuellement très proches. La première plus proche d'une sirène et la seconde d'un sphinx. Et un genre de masque qui cache toute expression du visage.

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Court-métrage d'animation d'une dizaine de minutes, on y retrouve comme son titre l'indique la Mort et son fils (qui s'appelle Michel), et les difficultés qu'a donc Michel à contempler sa future fonction et les responsabilités qui vont avec.
Côté visuel, on est sur un squelette, habillé d'un costume noir. Le tout accompagné d'un chapeau et d'une moustache qui lui donne une apparence générale plutôt élégante.

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Adaptation du livre, et donc du personnage de la mort qui existait déjà. C'est une histoire dans une histoire, et en version ciné, ça se traduit par une séquence de quelques minutes en animation 3D. Bref, la mort est noire - cape noire, capuche noire - squelettique, et ne parle pas (car voix off).

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La mort est seule. La mort est triste. La mort débarque sur Terre, emprunte le corps d'un personnage joué par Brad Pitt, provoquant probablement sa mort. La mort s'installe auprès d'un vieux riche pour apprendre, en le menaçant d'avancer sa mort s'il n'obtempère pas. Bref, la mort tombe amoureuse, pleure devant des feux d'artifice, blablabla c'est assez chiant en fait. Au final, on ne voit jamais son vrai aspect.

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La Mort apparaît dans un cimetière. Elle est habillée de noir, a une tête de mort, et une faux. Et elle s'adresse au personnage principal, qui se frotte les yeux et doit se demander s'il hallucine ou non.

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Un ticket magique permet à des personnages de films de sortir de leur monde et rejoindre celui de Last Action Hero. C'est le cas pour Le Septième Sceau et son personnage de la mort, qui va rencontrer les héros du film, discuter un peu, aider même, puis repartir sans prendre de vie, plutôt à la cool à vrai dire. C'est une réutilisation du personnage déjà créé donc il lui ressemble en toute logique et en tout point.

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Accrochez-vous.
1. Une statue représente la Mort : sablier dans une main, faux dans l'autre, cape, tête squelettique.
2. Le baron M. est allongé, immobile. La Mort est sur lui, et lui absorbe/vole sa vie (effet spéciaux : genre de halo lumineux sort de la bouche du baron). La petite fille arrive et fait fuir la Mort. Le sablier, encore présent, est renversé par la fille. Le baron va mieux. Etonnamment, les cheveux de la Mort sont - cette fois - rouges.
3. Le baron baisse la tête et évite le coup de faux de la Mort.
4. Le baron a abandonné tout espoir. Il joue aux cartes avec ses amis. La mort est autour de la table, va pour poser une carte, mais se fait une fois de plus chasser par la fille. Le baron lui dit un truc du genre : "vas-y sérieux, tu peux pas me laisser mourir tranquille, non mais franchement quoi, relou".
5. Retour à la statue du début. Le bad guy est posé juste à côté et snipe le baron. La statue se casse, et surgit de l'intérieur la Mort (sablier + faux). Un docteur, entièrement revêtu de noir, va pour soigner le baron. La fille est la seule consciente de ce qui va se passer et ne peut empêcher l'inévitable.
Mais. C'était un flash-back, mais pas vraiment. Le baron est mort, mais pas vraiment. Enfin, c'est pas clair. Le fait est est que le baron est très - genre très - vieux et a échappé, ou échappe, à la Mort depuis looongtemps.

Annotation :

Segment : «The Meaning of Life. Part VII. Death.»
La mort apparaît d'abord dans une séquence animée de Terry Gilliam. Grande cape noire, la faux, c'est bien elle. Puis, la mort, jouée par Mister John Cleese, habillée pareil, la cape pas tout à fait noire mais un genre de gris très abîmé, qui recouvre le squelette. Bref, la mort, frappe à la porte d'une maison. S'ensuit cette fameuse réplique de l'habitant qui demande s'il vient couper la haie. Ce à quoi, la mort répond : «I am the Grim Reaper. I am Death». La mort passe à travers la table. La mort dit «Fucking». La mort ne craint pas les balles. La mort emmène la troupe au paradis. Bref, on dirait pas, résumé comme ça, mais c'est évidemment très drôle. Et la seule utilisation du personnage dans un registre comique à ma connaissance.

Annotation :

La mort est représentée de manière traditionnelle : grande cape qui recouvre tout le corps, capuche qui cache le visage et grande faux. La seule différence, mais elle est de taille, c'est que la couleur du costume est entièrement blanche, et pas noire. La Mort apparait à plusieurs reprises dans le film, concluant celui-ci en venant chercher le héros qui vient de se faire zigouiller. La scène la plus notable étant le dernier plan du film, où l'on peut voir la Mort et le héros fraichement mort, s'éloignant en marchant dans une allée, le tout en exécutant une petite danse improvisée pépouze.

Annotation :

Woton's Wake est l'un des premier films de De palma. Un court de 27 minutes sans dialogue et en noir et blanc, relativement éprouvant à regarder et plutôt incompréhensible. A un moment du film, deux persos jouent aux échecs. D'un coup, ils se retrouvent poursuivant leur partie sur la plage, exactement comme la scène du "Septième Sceau". La fille - qui porte maintenant le même vêtement noir que la Mort dans le film de Bergman - joue, puis son adversaire s'écroule. Tout ça ne dure que quelques secondes, une séquence comme un rêve ou une hallucination.

Annotation :

La Mort joue aux échecs avec le personnage principal à intervalles réguliers tout au long du film. Elle est vêtue d'une cape noire qui recouvre tout son corps et d'une cagoule. Elle se présente comme étant "la Mort".

Annotation :

Ce film serait adapté d'une pièce de théâtre italienne. Ce film a aussi été remaké plus tard (Joe Black). La mort est triste, décide de passer 3 jours en compagnie d'humains. La mort tombe amoureuse, maudit sa destinée. Elle occupe le corps d'un prince fraichement décédé. On l'aperçoit toutefois avant ce changement. D'abord juste une grosse ombre noire. Ensuite, une figure humaine recouverte entièrement d'une cape noire. Avec, en bonus, un petit truc que j'ai encore jamais vu ailleurs, le fait que la mort (quand en mode Mort et pas humain) est un peu transparente. C'est rigolo.

Annotation :

Le héros du film rentre dans une grande pièce sous la ville de Metropolis. Une statue de la Mort (faux, cape, corps squelettique) s'y trouve, entourée de 7 autres statues qui représentent les 7 pêchés capitaux. Rien ne se passe pour le moment. Il remarque juste qu'il a peur d'Elle maintenant qu'il a trouvé un sens à sa vie. Plus tard, ça va pas fort pour notre héros qui est emporté dans un lit genre d'hosto et commence à avoir des visions. La même figure de la Mort apparaît très brièvement. Encore plus tard, toujours en mode hallu, la Mort prend vie cette fois-ci, joue de la flûte ce qui fait bouger les statues à ces côtés qui disparaissent ensuite. Enfin, la Mort se rapproche de la caméra, et donne 3 coups de faux dans le vide. Au dernier coup, ça cut sur notre héros avec un petit effet spécial de scratch visuel sur l'écran, comme s'il avait été touché. Pas tué, il s'effondre quand même.

Annotation :

La mort apparait dès la première scène. Entièrement vêtue de noir, le visage grave, zéro sourire, elle est représentée sous les traits d'un vieil homme blanc. Elle fait son taf de Mort et va chercher les gens qui sont sur le point de mourir. Elle semble assez blasée par son boulot. En mode pas ouf de witness plein de crimes et d'être détesté de tous. Intrigue : une meuf perd son mari, supplie la Mort de lui rendre. S'ensuit un deal pour le faire revenir, qui échoue. Nouveau deal : elle refuse de sacrifier un nouveau-né. Finalement elle meurt/se suicide, la tête haute, et la Mort les réunit.