Pictures (2015)

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11 janvier

Vu en rentrant d'un périple en Thaïlande. Ce qui explique mon décollage tardif au niveau des films cette année. Et aussi la note, parce que bon, faut pas déconner non plus.

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24 janvier

Confirme tout le bien qu'on en dit. Une idée de départ qui forcément séduit d'emblée tandis que la réalisation fait la part belle à Jim Carrey, parfait dans le rôle. Les pubs incorporées dans le show sont de véritables trouvailles. Un film juste et sans prétention.

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25 janvier

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27 janvier

Un grand représentant de la force insidieuse des films japonais.

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28 janvier

Le vrai cinéma, celui qui fait battre le cœur.

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29 janvier

Au cinéma

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31 janvier

Au cinéma

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31 janvier

Revu.

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1er février

Mon premier De Palma… Et pas le dernier !

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2 février

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3 février

Bah mince, j'ai été déçu par un Charlot ! Sans la scène finale, ç'aurait été 6 !

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4 février

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5 février

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6 février

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7 février

L'amalgame Nietzsche/crise d'adolescence, mutisme et tout le tralala, ça par contre, non. Le Gai Savoir doit faire partie de ces rares livres qui te font profondément aimer l'humanité.

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8 février

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9 février

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10 février

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10 février

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11 février

Revu. Rien n'a changé. Les trois enfants islandais sont toujours là, à nous regarder.

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14 février

Je partais avec un a priori négatif sur Truffaut, mais pour un premier film, c'est tout de même assez puissant. C'est un régal d'entendre le jeune Léaud après avoir vu La Maman et la Putain - la séquence chez le psy (apparemment improvisée ?) est impressionnante et démontre tout le talent du jeune acteur. Et puis, Paris à cette époque, ça donne envie. Et cette fin. Le plan-séquence au bord de la route. La plage. La nouvelle vague, littéralement, et le regard.

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15 février

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16 février

Ouais franchement, à se demander si ce ne sont pas mes éclaireurs qui ont pris une grosse cuite et oublié ce film... Y'avait une bonne idée à la base, ça fait marrer tout le monde un tigre dans la salle de bains etc, mais l'ensemble reste plus embarrassant qu'autre chose, à cause d'un drôle de rythme et de persos plats ou tout simplement irritants.

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18 février

Au cinéma

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19 février

Ah mince alors, qu'ai-je manqué ? Y'avait tout pour me plaire, mais ça m'a touché par intermittence. Et puis à chaque fois que je vois un film de gangsters, mon esprit a le malheur de prendre automatiquement le Parrain comme point de référence, et alors j'ai toujours l'impression que tous ces films du genre qui l'ont suivi n'en sont que de pâles imitations. La De Palma touch que j'avais vraiment appréciée dans Blow Out, je l'ai retrouvée seulement à la fin, dans cette course poursuite magnifique. Sinon, je dois dire que le scénario, Sean Penn et Penelope m'ont laissé assez froid tout le long.

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20 février

Super efficace, ce petit objet. Et beau. J'aime ce merveilleux titre, qui semble prendre tout son sens seulement une fois que le film est fini.

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25 février

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25 février

Au cinéma.

Ce film est un bordel tellement rationnel, qui a tous les airs du Vrai, qu'il en devient fascinant. J'étais presque déçu que ça se finisse si vite. Immersif au possible, il y a un côté vraiment mythique, et en même temps très terre-à-terre (c'est le cas de le dire), qui se dégage de ce truc. Comme un rêve éveillé. Un de ces rêves super chelous que tu fais parfois, mais comme tous les rêves, quelque chose qui tient la route et qui fait que tu y crois. En sortant de la salle, j'ai pris le dernier métro, les gens faisaient tous un bruit atroce, un désordre pas possible, et alors pendant un instant j'ai cru que j'étais encore sur Arkanar. Il était peut-être pas si fou, le Guerman.

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26 février

Au cinéma.

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26 février