Place aux écrivaines

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Une oeuvre incroyable à lire d'urgence !

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Un petit roman obsédant

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Un pur moment de plaisir!

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J'ai ENFIN découvert la première partie de ce grand classique! Et je ne suis pas déçue !

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J'avais énormément aimé son premier roman Sourires de Loup, je ne suis pas déçue par De la beauté. Zadie Smith est une romancière géniale, qui sait raconter de vraies histoires. Ce roman foisonne de fantaisies, d'audaces. Je recommande !

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Quand on relit ce bouquin, on se rend compte à quel point il est sans doute moins question de cet Amant, que du personnage de la Mère et toute cette atmosphère de colère, de vide qui tourne autour de cette famille.

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La plume de Milena Agus est simple, limpide. On lit très facilement ce court roman où il y est en réalité question d’amour. De l’amour fou. Certains passages sont vraiment inattendus, comme les scènes de sexe assez crues entre la “grand-mère” et le “grand-père”. Il y a quelque chose de l’ordre du décalage dans la construction des personnages.
On ne peut s’empêcher de rire parfois en lisant leurs histoires. Milena Agus livre ici un roman assez attirant dont l’atmosphère m’a fait penser parfois, à celle des contes de fées.

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A Nice, Mourad, le jeune narrateur au caractère introverti est l’observateur attentif du quotidien de son entourage familial. Autour de lui, on trouve Mina et Dounia, ses sœurs qui ne s’entendent pas très bien et ne partagent pas la même conception de la vie. Dounia fait des études longues et se lance en politique après avoir claqué la porte du domicile familial. Mina se marie assez jeune et fonde très vite son propre foyer. Il y a aussi, la maman, une bonbonne d’Amour à elle toute seule, qui est d’ailleurs l’un des personnages les plus drôles du livre.
Quant au « Padre », ce cordonnier amoureux des vieilleries devenu renfrogné suite à son AVC, il n’a de cesse de faire comprendre à son seul fils, son adage : un homme ça ne pleure pas… Il s’en passe des choses au sein de la famille Chennoun et Faiza Guène clôt ces épisodes touchants, parfois burlesques, par la mort du père, le Padre. Il réussit à fermer les yeux après avoir retrouvé et vu une dernière fois sa fille Dounia.

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Avec Les Douze Tribus d'Hattie, Ayana Mathis a montré qu'elle savait décrire les sentiments, l'état des âmes. Ses personnages possèdent une force et une profondeur sans nom. [...] En somme, ce roman parle d'amour et du combat pour arriver à aimer sans détruire. Et c'est justement Hattie, la mère, ce personnage au rôle complexe, qui symbolise ce sentiment.