Pour quelques minutes de plus...

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Version Unrated avec 19 minutes en sus.

Cette version longue dite "non-censurée" (le montage ciné l'était déjà, mais bon) n'est pas vraiment indispensable, rallonge encore un peu plus poussive d'une comédie grasse qui tirait déjà pas mal sur la durée. D'un autre côté, les vingt minutes supplémentaires sont là pour densifier un peu plus certains côtés éludés de l'intrigue - pas les romances à deux balles et c'est un bon point - ainsi que proposer plusieurs nouveaux gags graveleux et osés, rendant le film de McFarlane un peu moins fade et futile dans ses transgressions. On retiendra surtout les rencards successifs d'Albert dans le premier acte, le personnage absurde du docteur, le running gag de la petite fille en quête d'un amant ainsi que le second braquage de Clinch qui rapproche un peu plus cette comédie d'un vrai western... Bref, cette version Unrated d'ALBERT À L'OUEST ne comblera pas les détracteurs de son manque flagrant d'énergie, tandis que les plus ouverts apprécieront ses ajouts incisifs et ses nouveaux personnages malgré la longueur imposée.

http://shawshank89.blogspot.fr/2014/10/version-longue-million-ways-to-die-in.html

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Version longue avec 16 minutes en sus...

"D'un certain côté, les détracteurs de la version cinéma originale ne verront en rien changer leur opinion face à cette "Extended Collector's Edition", ça c'est un fait. Mais d'un autre côté, cette nouvelle version à le mérite de gommer quelques défauts qu'avait la version originale, ça aussi c'est un fait et il faut le reconnaître. Il faut tout d'abord parler de l'ouverture alternative, longue introduction aux conditions de Jake sur Terre. L'ouverture de la version ciné était très chaotique dans son montage car mettait en parallèle l'arrivée de Jake sur Pandora à un flash-back où il apprenait la mort de son frère. Du coup, dans cette version longue le spectateur entre plus doucement dans le vif du sujet, tout en en apprenant plus sur le personnage principal et le contexte quasi-apocalyptique qui l'entoure. Cette ouverture instaure donc une bien meilleure phase d'exposition... À travers cette version, c'est aussi le scénario qui gagne un peu en densité, notamment pour deux personnages qui se retrouvent bien agrandis : tout d'abord Grace qui, de par une meilleure définition de ses déboires passés (le massacre de l'école), devient un personnage beaucoup plus fragile et peut-être même maternelle envers Jake en qui elle se voit ; et Tsu'Tey qui se retrouve mieux traité à la fin du film, lâchement abandonné du scénario dans la version ciné mais qui trouve enfin ici une fin juste. Quelques détails oubliés refont aussi surface dans cette version comme l'explication de la lévitation des montagnes Hallelujah, ou encore la révolte des Na'Vis qui donne une raison bien plus plausible pour que les Hommes attaquent l'Arbre Maison aussi violemment... Bref, les fans seront aux anges de voir AVATAR plus complet (mais pas trop non plus), grâce à une poignée d'aspects mineurs dans la version ciné qui deviennent ici fondamentaux. Pas de quoi jeter la version ciné à la poubelle, mais c'est bien là un montage que bon nombre de spectateurs pourront qualifier de définitif."

Lien vers l'analyse : http://shawshank89.blogspot.fr/2013/03/version-longue-avatar.html

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Version longue Unrated avec 20 minutes en sus...

"La version longue non-censurée de THE COUNSELOR appuie encore plus profondément le parti-pris déstabilisant et imparfait de la version cinéma : du bavardage, du pessimisme et de l'ambiguïté de fond. Ce nouveau montage ne se réconciliera donc pas avec ses détracteurs, bien que des ajouts en ouverture et en fermeture ainsi que quelques lignes de dialogue plus violent et sensuels rendent le film plus cru, radical et sexy. On retiendra toutefois que d'autres suppléments et modifications tentent de rendre le métrage un peu moins dirigiste et plus "profond" (l'implication de Malkina moins évidente, le rêve de Laura, la double-morale sur l'antique destin tragique du monde, etc.). Agrémenté de quelques nettes scènes inédites tantôt opportunes, tantôt futiles, THE COUNSELOR conserve et accentue au bout du compte sa perplexité maladroite, une version longue qui conviendra certainement aux adhérents de l'œuvre nihiliste de Cormac McCarthy."

http://shawshank89.blogspot.fr/2014/09/version-longue-counselor-cartel.html

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Director's Cut avec 30 minutes en sus...

Nom d'un petit diablotin, Daredevil n'est finalement pas si mauvais que ça ! Garni de trente minutes inédites amplement bénéfiques, cette Director's Cut a le mérite d'améliorer le film à tous les niveaux. Le scénario se révèle un peu plus fouillé et beaucoup moins expéditif, mêlant notamment toute une sous-intrigue d'abord dispensable puis essentielle pour rendre palpable l'emprise du Caïd ; nous découvrons de nouveaux personnages tandis que les existants sont plus étoffés ; les scènes d'actions ont un rendu plus violent ; la dose d'humour est améliorée à travers les personnages de Bullseye et Franklin tournés un peu plus en dérision... Mais la force principale de ce nouveau montage est qu'il rend le film beaucoup plus pessimiste, de Matt qui se retrouve en sérieux duel avec sa foi jusqu'à sa relation amoureuse avec Elektra beaucoup plus ambiguë, en passant par le discours final très noir sur la nature inhérente du Mal... Sans conteste, la narration globale du film y gagne, plus souple et étoffé, parfois plus logique. Ce qui n'efface pas non plus bien sûr les nombreuses fautes de goûts et le charisme d'huître de Ben Affleck, d'impardonnables tâches indélébiles. Mais il ne fait aucun doute que, au demeurant perfectible et branlant, Daredevil ressort grandi de cette Director's Cut, affichant les volontés bien plus louables de Mark Steven Johnson qui furent au bout du compte passablement charcutées lors de la sortie en salles.

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http://shawshank89.blogspot.fr/2015/03/version-longue-daredevil.html

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Director's Cut avec 20 minutes en sus...

"Avant tout, cette Director's Cut n'est peut-être pas la version à "découvrir", dans ce cas-là il est nettement conseillé de voir le film pour la première fois dans sa version cinéma. Car ce nouveau montage se veut beaucoup plus explicite que l'original, où les nouveaux indices sur le voyage temporel et la relation Donnie/Frank donnent des réponses beaucoup plus concrètes. Et c'est peut-être ce qui donnait du charme à la version cinéma, les nombreuses questions que l'on se posait... Ainsi certains fans peuvent peut-être être déçus par cette Director's Cut, comme d'autres peuvent être beaucoup plus satisfaits. Car malgré tout, cette nouvelle version est amplement supérieure au montage cinéma. Plusieurs personnages sont nettement plus développés et donc plus charismatiques (notamment Eddie, le père de Donnie, ou encore le professeur Pomeroy), le changement de chansons utilisées ici et là nettement plus efficaces, et au gré des nombreux ajouts et une structure nouvelle en chapitres, la narration gagne grandement en fluidité et en compréhension... Le mystère qui entourait la version cinéma se dissipe au profit d'une meilleure oeuvre filmique. À vous de voir quelle version est la plus appropriée."

Lien vers l'analyse : http://cineredemption.canalblog.com/archives/2011/09/21/21966716.html#comments

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https://shawshank89.blogspot.fr/2017/05/version-longue-evil-dead.html

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Version longue avec 12 minutes en sus...

La version longue de The Frighteners est, selon les dires de Peter Jackson himself, plutôt un "Fun Cut" qu'un "Director's Cut". Loin de changer drastiquement les choses tel un Seigneur des Anneaux, c'est en effet une façon de définir ce nouveau montage, les quelques ajouts ici et là poussant un peu plus loin les deux caractères majeurs du film : la comédie et l'horreur. Derrière les caméos, quelques gags inédits nous sont ainsi présentés, petits bonbons à effets spéciaux non-négligeables qui améliorent notamment la relation entre Frank et ses fantômes. L'agent Dammers se voit aussi plus fouillé, ses nouveaux monologues densifiant la folie palpable du personnage et notre malaise devant l'ambiguïté de ses anecdotes. Cette nouvelle version pousse donc un peu plus les limites du genre invoqué, rendant le film un brin plus cru, notamment l'essence du duo de tueurs Johnny et Patricia qui atteint ici un degré quasi-érotique. Loin d'être "indispensable" en face de la version salles, la version étendue de The Frighteners à le mérite d'être plus fun et pousser plus loin les ressorts maléfiques, ce qui finalement pousse l'œuvre vers le haut.

Lien vers l'analyse : http://shawshank89.blogspot.fr/2015/05/version-longue-frighteners-fantomes.html

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Version longue avec 16 minutes en sus...

"Ridley Scott lui-même l'a dit franco : cette version longue n'est pas sa Director's Cut. Dans un sens on le comprend, le film dans sa version originale est déjà une grande et franche réussite, difficile de la rendre encore meilleure. Les ajouts auxquels ont assiste dans cette version longue sont tout de même pour le moins intéressants. Plusieurs d'entre eux sont d'ailleurs issus des scènes coupées du premier dvd. Dommage que certaines d'entre elles soient absentes de cette version inédite, notamment une scène où l'on pouvait voir Maximus assister au massacre d'une mère et de son fils dans l'arène romaine, ou une scène où Maximus perçoit la mort de sa famille d'une manière très originale... Enfin bref. L'atout majeur ici, à mes yeux, est le personnage de Commode bien mieux développé (plus fou, en proie aux doutes, provoquant quasimment de la peur envers son père Marc Aurèle). Une sous-intrigue politique inédite le concerne aussi, intéressante et légère, mais les scènes inédites concernant ceci casse énormémement le rythme général du film. Les autres ajouts sont intéressants, surtout pour les fans (Maximus passant à l'infirmerie, la scène d'exécution très bien mise en scène, la colère de Commode envers la statue de son père, etc.), mais sont finalement loin de livrer une autre dimension supérieure du film. N'importe quel fan de GLADIATOR sera ravi face à cette version longue, même si elle enlève quelque peu le dynamisme du récit. Pas indispensable, mais agréable à regarder pour compléter l'expérience."

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Version longue dédiée à la TV avec 10 minutes en sus...

"Destiné à la télévision outre-atlantique, ce montage plus long de dix minutes ne rajoute pas grand chose de transcendant, hormis un développement plus poussé du rapport de Loomis avec Michael Myers, et le caractère d'adolescente de Laurie. Ce dernier point se veut finalement très facultatif face aux séquences supplémentaires avec le Dr Loomis, qui viennent éclaircir certains points passés trop inaperçus dans le montage original - le rapport docteur/patient entre lui et Myers, sa lutte pour l'enfermer, et surtout les causes de l'évasion. Ce sont d'ailleurs dans ces scènes que l'on commence à entrapercevoir certains points qui seront développés plus tard dans le remake de Rob Zombie... Pas une version indispensable, donc, faute à de nettes cassures de rythme dans la première partie, mais indéniablement payante pour tout bon fan qui se doit."

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Version longue avec 13 minutes en sus...

Cette version longue de THE HOBBIT - AN UNEXPECTE JOURNEY est loin d'avoir la portée de celles offertes pour la trilogie du Seigneur des Anneaux. Une dizaine de minutes supplémentaires sur trois heures de film, cela reste assez discret. Reste que les quelques petits suppléments ont de quoi combler certains fans, offrant deux chansons supplémentaires ainsi que des petits plus non négligeables : la scène du marché de Hobbitebourg qui offre une meilleure (ré)introduction dans le monde des Hobbits ; les multiples ajouts à Fondcombe qui densifie un peu plus la relation irrespectueuse et peu confiante entre Nains et Elfes, ainsi que l'amour naissant bien plus clair de Bilbon pour la ville des Elfes ; ou encore de micro-ajouts mettant un peu plus en avant la place de l'Anneau et du retour de Sauron au sein de l'intrigue... Rien de bien solide pour rendre cette version concrètement supérieure à la version cinéma, les ajouts faisant surtout office de bonus pour les afficionados, mais il reste que ce nouveau montage offre vraiment une expérience un peu plus grisante et complémentaire.

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Version longue avec 25 minutes en sus...

Oubliez la sympathique politesse des ajouts d'Un Voyage Inattendu, la version longue de La Désolation de Smaug est un nouveau montage bien plus pertinent que celle de l'opus précédent. Délivrant deux nouveaux moments de bravoure grisants - la traversée de la rivière dans la Forêt Noire & le combat entre Gandalf et Thrain - il s'agit surtout d'une nette glorification de la galerie des personnages et des intrigues. Beorn est beaucoup plus présent et concret dans le premier acte, pour le plus grand plaisir des fans dans une nouvelle scène jouissive ; le maire de Lacville et son serviteur Alfrid échangent beaucoup plus sur leur politique véreuse et profiteuse, faisant planer une ombre un peu plus épaisse sur Bard et les habitants ; ou encore l'ajout horrifique et émotionnel du personnage de Thrain, père de Thorin, qui clarifie enfin la question de la carte et la clef d'Erebor tout en installant la menace imminente de Sauron. On regrettera seulement l'absence de scènes supplémentaires concernant le grand Smaug ou encore le Nécromancien... Au demeurant moins généreuse que les versions longues du Seigneur des Anneaux, ce nouveau montage reste tout de même avec certitude une version indispensable, garni d'ajouts utiles et de nouvelles images superbes (le cerf blanc dans la Forêt Noire), histoire d'assimiler encore un peu mieux les intrigues et dangers avant l'ultime affrontement dans La Bataille des Cinq Armées.

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Cette version longue de La Bataille des Cinq Armées est une toute petite déception, piètre remède espéré contre le montage cinéma plutôt anarchique de ce troisième opus. On aurait espéré plus de fluidité dans le premier acte, plus d'interaction entre le futur duo Saroumane-Sauron, des seconds couteaux plus consistants (notamment Beorn et sa participation à la bataille, toujours aussi discrète)... Mais pour cette version longue, Peter Jackson a misé la majorité de ses suppléments au cœur de la Bataille des Cinq Armées, nous offrant un nouveau panel de créatures et de moments de bravoure absolument grisants, les compagnons de Thorin se révélant beaucoup plus présents au sein du combat. On appréciera avant tout l'ajout des chars nains, qui laisse place à des scènes d'action particulièrement efficaces et bourrées d'idées... Parmi les autres ajouts plutôt bien sentis, on retiendra Gandalf recevant le bâton de Radagast (un petit trou du montage cinéma dorénavant comblé), ainsi que les funérailles de Thorin, Fili et Kili, grand moment d'émotions qui rend un ultime hommage bouleversant à ces personnages perdus, essentiel pour conclure l'aventure... Moins riche qu'espérée, ce nouveau montage de La Bataille des Cinq Armées nous propose toutefois son lot de surprises bien placées, réservant quelques gerbes de sang mais aussi quelques larmes.

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Il faut d'abord dire que c'est un plaisir non-dissimulé de découvrir ce monument pilier du cinéma dans son intégralité, avec les scènes perdues que feu Sergio Leone voulait intégrer à son montage. Ces scènes inédites ont beau été intégrées dans des conditions difficiles, dans une qualité visuelle et sonore nettement moindres, c'est une petite jouissance de cinéphile de découvrir ces quelques minutes en plus. Certes il n'y a rien de transcendant dans sa matière inédite, discrète sur plus de quatre heures de métrage, mais il est évident qu'elle solidifie un peu plus l'intrigue épique de ce film malgré de menues cassures de rythme. De la jonction un peu plus appuyée entre les temporalités à la relation ambiguë entre Noodles et Deborah, en passant par le développement plus épais de Max sénateur et du chauffeur de Noodles, cette version longue de Once Upon a Time in America n'est certes pas indispensable pour capturer la substance essentielle de l'œuvre de Leone, mais elle aide potentiellement à mieux le faire à travers quelques nouveaux segments forts : l'ajout le plus représentatif restera au final la représentation d'Antoine et Cléopâtre avec Deborah, où le lent zoom sur le visage de Noodles dans le public reflète avec émotion son premier regard sur la jeune Deborah dansante, ultime réminiscence du passé qui dit tout des enjeux de ce chef d'œuvre immortel.

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Version longue avec 14 minutes en sus...

"La version longue de King Kong a beaucoup à envier à celle du Seigneur des Anneaux du même réalisateur. Nous n'avons pas vraiment d'améliorations dans le rythme du film, ni même dans le scénario, bien que de petits trous soient comblés (la folie croissante de Denham, Jimmy face à la mort du capitaine...). Peu conséquents en terme d'utilité, les ajouts de cette version sont surtout à considérer comme "bonus" - le réalisateur le dit lui-même. Hormis des suppléments vraiment mineurs (les plans inédits de la capture de Kong, ou ceux de la poursuite dans New York), nous avons de nouveaux moments de bravoure vraiment plaisants à voir, comme le prouvent la première attaque de dinosaure qui concrétise la peur de la jungle hostile, ou encore la scène dans les marais qui est vraiment prenante, exagérée mais jouissive... Les fans seront aux anges de voir ces ajouts épiques, mais aussi frustrés de voir si peu d'ajouts - les scènes coupées dans les bonus de l'édition collector proposent 40mn inédites qui auraient grandement poussé le film vers le haut. Cette version longue n'est donc pas indispensable, mais reste à voir pour ses quelques nouveaux morceaux aguicheurs."

http://shawshank89.blogspot.fr/2014/08/version-longue-king-kong.html

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Director's Cut avec 48 minutes en sus...

On peut le dire, la Director's Cut de KINGDOM OF HEAVEN est un nouveau film à part entière, largement supérieure à la version cinéma originelle. Avec 45 minutes de rajout au compteur, le film gagne de tous les côtés : dans la fluidité narrative, la complémentarité scénaristique, le développement des personnages et de leur psychologie, de l'action et de la violence... À côté de modifications mineures ici et là, ce sont surtout les multiples ajouts majeurs qui améliorent le film : la première partie du film en France où le deuil de Balian et sa place dans sa ville natale se veut beaucoup plus précise et émotionnelle ; le triangle amoureux Balian/Sybille/Guy densifié ; le rôle du jeune Baudouin V, premier successeur du roi lépreux qui devient après sa mort un véritable déclencheur psychologique pour le personnage de Sybille ; les apparitions presque mystiques du chevalier hospitalier comme métaphore de la lutte spirituelle de Balian ; et aussi le sort de Guy de Lusignan et du maître fossoyeur, personnages totalement abandonnés à leur sort dans la version cinéma... Complémentaire en tous points, cette Director's Cut est "le" véritable KINGDOM OF HEAVEN, la version qu'il faut voir absolument pour apprécier le film à sa juste valeur.

Lien vers l'analyse : http://shawshank89.blogspot.fr/2014/02/version-longue-kingdom-of-heaven.html

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Version longue avec 23 minutes en sus...

Défini plus tard comme le Director's Cut par Luc Besson, le montage salles de Léon était à la base prévu pour l'exploitation internationale. Il n'est donc pas étonnant de voir que la totalité des scènes qui furent coupées concernent uniquement la relation ambigüe entre Léon et Mathilda - de la relation de l'enfant face au meurtre prémédité jusqu'à sa romance avec un adulte en passant par la consommation d'alcool, de quoi défier tout puritanisme. Il est évident que ce nouveau montage peut provoquer certains spectateurs, mais il est tout aussi évident que les limites atteintes dans ces scènes inédites finissent par supprimer toute l'ambiguïté probablement dérangeante du montage original. Nous y perdons certes le mystère autour de Léon, son histoire et sa technique, mais c'est pour mieux amener l'empathie que l'on a pour ce personnage et son duo avec Mathilda. Cette version longue de Léon est par conséquent à privilégier à la version cinéma, dont la nette subversion décuple sa sensibilité et son universalité.

Lien vers l'analyse : http://shawshank89.blogspot.fr/2015/06/version-longue-leon.html

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"Mimic est une plaie béante dans mon existence, c'était perdu d'avance"... C'est un fait assez connu, le grand Guillermo Del Toro s'est battu corps et âme pour imposer sa vision dans le film commercial qu'est Mimic, mais Miramax et Bob Weinstein ont été plus fort que lui. Le montage cinéma demeurait d'une radicale efficacité, mais il est quelque peu décevant de voir que cette Director's Cut, retournée dans les mains de son cinéaste 14 ans après, ne parvienne pas à aller au-delà. L'élément inédit majeur de ce nouveau montage concerne le couple de Susan et Peter qui cherchaient à avoir un enfant, quête impossible dans la version originale mais qui devenant ici concrète, remaniement boostant le potentiel émotionnel des enjeux de ces personnages. L'ultime réplique de Peter à la fin du film, "Nous allons avoir un bébé", se débarrasse alors de toute absurdité... Ceci mis de côté, rien de beau à se mettre sous la dent, ne serait-ce qu'un meilleur développement de l'intrigue dans le premier acte avec l'abris des immigrés chinois et le métier de Susan. Les détracteurs de ce film mineur de Guillermo Del Toro ne changeront pas d'avis avec cette Director's Cut. Se rapprochant discrètement des intentions originelles du réalisateur, elle aura probablement de quoi ravir les fans avec un développement plus poussé des personnages et quelques agréables images inédites sublimées par la remasterisation.

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http://shawshank89.blogspot.fr/2015/04/version-longue-mimic.html

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The Godfather : A Novel For Television se révèle être un très joli complément pour les (nombreux) aficionados de la trilogie du Parrain. Difficile de l'envisager comme une version définitive, une référence, car elle évente les nombreuses scènes de violence et essuie quelques menues mais notables disparitions quand on connaît bien les montages originaux, dans le but de faire de ce montage homérique de 7 heures un morceau rythmé de télévision.

Mais il faut toutefois dire que ce travail inédit effectué par Coppola en 1977 nourrit encore plus son oeuvre devenue culte, offrant des suppléments qui la densifient un peu plus. Il y a la relation entre Michael et son père Don Corleone qui est plus étoffée, avec leurs dialogues inédits (leurs têtes-à-têtes se faisant finalement assez rares dans le montage original), et de surcroît leurs actes de vengeance plus complets (pour le premier le meurtre des hommes de Don Ciccio, qui a tué sa mère, pour le second le meurtre de Fabrizio, qui a tué sa première femme Apollonia), un jeu d'échos et de filiation qui rend leur relation bien meilleure. D'autres ajouts poussent l'oeuvre un peu plus vers le haut, comme les magouilles du jeune Vito à New York, le rôle de Sonny qui prend plus à cœur les affaires après la tentative d'assassinat de Don Corleone, les événements un peu plus riches lors de la fête de Michael au début du second opus...

D'autres suppléments sont un peu plus dispensables, tendant parfois au simple bavardage, mais ne crachons pas dans la soupe : A Novel For Television est un morceau de choix pour les fans. Ce montage alternatif a beau éluder dans la forme pure, il densifie aussi beaucoup dans le fond, la psychologie des personnages phares, leurs enjeux et leurs influences. Déplacer au tout début la période flash-back du jeune Vito Corleone à New York est un choix plutôt fascinant, la chronologie en un bloc s'avérant être un outil aussi efficace que son parallèle à Michael dans la version originale du Parrain II. Même si elle ne peut définitivement pas remplacer les montages sources, cette version étendue pour la télévision les complète efficacement dans leur nature profonde : une ode fleuve à la famille.

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http://shawshank89.blogspot.fr/2016/06/version-longue-godfather-novel-for.html

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Version longue avec 5 minutes en sus...

La version longue de RANGO n'est pas du genre à offrir moultes nouvelles joyeusetés essentielles. Verbinski offre globalement dans cette nouvelle version des ajouts microscopiques qui aurait pu causer tort à la classification du film, avec quelques nouvelles répliques et images assez salaces. Il faut néanmoins retenir que ce montage est (un minimum) supérieur à la version cinéma, en plusieurs points : l'aspect ridicule et absurde du personnage de Rango qui est légèrement accru, tandis que le complot qui tourne autour de sa personne devient un peu plus claire dans la première partie du film. Mais on retiendra surtout la nouvelle fin, concluant de bien meilleure manière le métrage dans un déluge de clichés du western, et nous amenant à quitter cet univers de manière beaucoup moins brutale et plus légère, l'envie de Verbinski de faire survivre un genre y devenant beaucoup plus palpable.

Lien vers l'analyse : http://shawshank89.blogspot.fr/2014/01/version-longue-rango.html

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Director's Cut avec 16 minutes en sus...

"Cette Unrated Director's Cut de ROBIN DES BOIS ne sera pas la version qui changera l'avis des détracteurs de la version originale. Ca c'est un fait, on n'y trouve aucun changement de rythme ni de récit littéralement renversé. Mais, bien qu'elle ne change pas énormément de choses, elle a le mérite de réparer certaines erreurs et de combler des vides. Le vide principal était, comme beaucoup l'avaient remarqué, la présence des enfants sauvages dans le récit. Qui sont-ils, d'où viennent-ils, quel est leur rôle dans l'histoire, et bon dieu que font-ils dans la bataille finale ? Des questions que l'on se posaient dans la version cinéma et auxquels nous trouvons (plus ou moins) des réponses dans cette version. Les deux ajouts majeurs sont ainsi centré sur ce fait. De plus, quelques éléments supplémentaires rendent plus crédible le scénario, comme Godfroy qui envoit ses hommes suivre le fameux "Loxley" (alors que l'idée ne lui traverse même pas l'esprit dans la version ciné), ou encore le rôle de William dans le passé de Robin (et qui livre ainsi bien plus de consistance au personnage de William Hurt, plutôt superficiel dans la version ciné)... Bref, il est clair que s'il y a une version à avoir c'est bien celle-là, elle ne décrédibilise en rien le film, l'améliore en certains points du scénario, mais sans non plus l'éléver au rang de chef d'oeuvre. Les spectateurs qui ont aimé la version cinéma seront ravis par cette Director's Cut."

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Director's Cut avec 16 minutes en sus...

"Autant être franc, cette version Director's Cut de KING ARTHUR donne un film toujours aussi médiocre, quoique divertissant. Mais avec ses 16 minutes supplémentaires, il a le mérite de combler quelques trous que nous avait laissé la version cinéma terriblement frustrante par moments. Ainsi la Director's Cut est avant tout une version "unrated", nous livrant une avalanche de plans sanglants en plus lors des scènes de combats. Les deux combats majeurs du film (l'attaque des Pictes au début du film, ainsi que la grande bataille finale devant le mur d'Adrien) gagnent donc beaucoup plus en bravoure, en violence et en chaos, la multitude de plans supplémentaires et d'actes cruels rajoutés renforçant un montage plus dynamique et tellement plus jouissif. C'est un supplément vraiment honorable. De plus, certains passages gagnent nettement plus en crédibilité, notamment l'ouverture inédite sur Arthur jeune (injustement coupé au montage original car lui préférant la scène sur Lancelot... c'est le personnage principal tout de même !) ou bien la relation entre les divers protagonistes un peu plus fouillé (le triangle amoureux Arthur/Lancelot/Guenièvre, ou bien la relation père-fils des Saxons Cerdic et Cynric)... Ainsi KING ARTHUR gagne quelque peu en crédibilité, le rendant plus dynamique et un poil plus fouillé scénaristiquement. Bien que le film de Fuqua demeure maladroit et fragile, cette version est celle qui doit être préférée."

Lien vers l'analyse : http://cineredemption.canalblog.com/archives/2011/02/22/19935323.html#comments

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https://shawshank89.blogspot.fr/2016/11/version-longue-ghostbusters-sos.html

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Version longue avec 30 minutes en sus...

"Pas aussi incontournable comme le seront les deux opus suivants, cette nouvelle mouture de LA COMMUNAUTE DE L'ANNEAU reste une version indispensable pour les fans du film original. En effet, on assiste à des ajouts pour le moins mineurs sur un film si dense, mais toutefois intéressants, comme un meilleur développement des personnages (le train de vie des Hobbits, le passé et le destin d'Aragorn), plus d'humour et aussi un peu plus de violence. Le seul ajout que l'on pourrait qualifier de "majeur" est la scène de remise des cadeaux à Caras Galadhon, de par sa poésie mais aussi et surtout de par son utilité scénaristique, livrant quelques explications concernant certains détails à venir dans les deux prochains épisodes (la lumière d'Elendil de Frodon ou les pains elfiques, entre autres). Au final, cette version longue fournit un meilleur rythme narratif que la version cinéma, moins rapide, plus fluide et plus complet. Mieux que la version originale sortie en salles, donc ? Certainement."

Lien vers l'analyse : http://shawshank89.blogspot.fr/2013/07/version-longue-lord-of-rings-fellowship.html

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Version longue avec 44 minutes en sus...

"Cette version longue du second épisode est définitivement LA version à voir, riche en compléments scénaristiques importants tout comme en éléments humoristiques ou violents. Les personnages secondaires sont plus fouillés, comme Gollum et sa personnalité complexe mieux étudiée (on en aurait presque de la pitié pour lui ici), ou encore Faramir rendu plus humain et compatissant. Les aventures de Merry et Pippin est également bien plus développée, rendant une large touche légère à l'ensemble du film originellement très lourd. Ce nouveau montage est aussi parsemé tout le long de ses trois heures et demie de nouveaux détails essentiels rendant la version cinéma presque désuète. Peter Jackson a du en avoir gros sur la patate pour couper tant d'éléments. Seuls quelques plans gores et violents supplémentaires sont assez dispensables. Mais ne boudons pas notre plaisir, car le tout est bien plus dense et fluide que l'ancien montage, avec son lot de nouvelles scènes fortes."

Lien vers l'analyse : http://shawshank89.blogspot.fr/2013/08/version-longue-lord-of-rings-two-towers.html

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Version longue avec 50 minutes en sus...

"Tout comme celle de l'épisode précédent, cette version longue est LA version indispensable de ce RETOUR DU ROI. C'est tout d'abord un atout indéniable au niveau du scénario, donnant moultes réponses à de gros trous de la version cinéma (le destin de Saroumane, l'affrontement Gandalf/Roi Sorcier), livrant des portraits plus approfondis des personnages et leurs sentiments (plus de pitié pour Faramir, plus de compréhension face à la folie de son père Denethor), et nous donnant un bon lot de scènes fortes supplémentaires (la mort de Saroumane, l'évasion des Montagnes Hantées, Frodon et Sam enrôlés de force dans l'armée du Mordor, la Bouche de Sauron...). Mais cette version longue est aussi d'une amélioration indéniable car rend l'ensemble du métrage beaucoup plus fluide, la version cinéma étant par moments un vrai chaos narratif, cherchant à développer trop de choses en trois heures seulement. On se rend compte désormais à quel point le sacrifice de certaines scènes a dû être difficile pour Peter Jackson. Mais justice lui est désormais rendue... Bref, il est tout bonnement impossible de revoir la version cinéma après celle-ci. Un must-have qui conclut encore mieux cette magnifique saga."

Lien vers l'analyse : http://shawshank89.blogspot.fr/2013/08/version-longue-lord-of-rings-return-of.html

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Version longue américaine avec 24 minutes en sus...

" Malheureusement indisponible en France, la version longue méconnue de THE SHINING est pourtant une version à voir absolument si vous êtes fan. Certains des ajouts parviennent à rendre plus explicite le côté fantastique du film, au détriment de certains qui regretteront peut-être la dimension moins abstraite et retenue de la chose. En effet, on assiste à de nettes développements de la "maladie" de Danny - on l'on assiste même à des cas de "possession" dans deux scènes inédites - ou encore le petit ajout où Wendy voit des squelettes fantomatiques à la fin du film. Ceux qui appréciaient le côté plus implicite de la version courte européenne peuvent être déçus, mais ce n'est pas non plus le jour et la nuit. Des ajouts développent également un peu mieux les personnages de Jack et Wendy, ainsi que celui de Dick nettement plus approfondi, deux larges scènes inédites le montrant beaucoup plus déterminé à protéger la famille des esprits qui habitent l'hôtel. Sa mort sous le coup de la hache de Jack n'en devient que plus percutante... C'est un véritable gâchis de ne pas avoir sorti cette version en Europe. Certes il n'y a pas de quoi changer l'avis des réfractaires premiers, mais elle complète l’œuvre de manière bien habile. À voir."

Lien vers l'analyse : http://shawshank89.blogspot.fr/2013/08/version-longue-shining.html

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Director's Recut avec 23 minutes en sus...

"Pas grand chose de foncièrement innovateur à se mettre sous la dent pour cette Director's Recut de SIN CITY, juste quelques moments supplémentaires qui rajoutent une bonne petite dose de fun et de complémentarité dans ce monde de brut. Mais ça ne va pas plus loin, la majorité des minutes supplémentaires allant dans les génériques de fin accordés à chaque segment. Les fans du film seront aux anges de découvrir ces morceaux inédits innocents qui permettent d'en savoir un poil plus sur certains personnages... Quant à la division en quatre histoires séparées, pourquoi pas, mais dans cette optique le seul chapitre non-touché "The Customer is Always Right" (introduction et conclusion même de la version cinéma) perd ici tout son sens et son intérêt à se retrouver remonter. Bref, plus bonus qu'autre chose, mais c'est toujours sympathique."

Lien vers l'analyse : http://shawshank89.blogspot.fr/2013/09/version-longue-sin-city.html

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Version longue avec 17 minutes en sus...

"Cette fructueuse version longue de SUCKER PUNCH n'a certainement pas de quoi nouer de nouveaux liens positifs avec ses détracteurs. Mais les fans - comme moi - seront aux anges puisque cette version (Director's Cut à ne pas douter) est en tous points supérieure à la version originale. Beaucoup de ses ajouts sont assez discrets, notamment dans les scènes d'actions garnies de nombreux plans (parfois quasi-subliminaux) et scénettes densifiant l'action et la virilité des situations fictives. Mais on peut aussi noter de gros morceaux inédits essentiels, comme l'impressionnante séquence musicale du premier acte (loin d'être aussi inutile et gratuite que dans le générique de la version ciné, car mettant en scène en parallèle la routine du night-club), et surtout la séquence avec le mystérieux High Roller (personnage absent du montage original alors qu'il y était cité à maintes reprises) donnant un sens puissant à la conclusion qu'on ne pouvait sentir dans la version en salles, densifiant la message final sur la notion de "liberté" nettement plus rapproché au critère sexuel et à la maturité... Plus bad-ass, plus fun et surtout plus logique, cette version longue est sans conteste le montage à préférer pour les amateurs du film fantasmo-geek de Zack Snyder."

Lien vers l'analyse : http://shawshank89.blogspot.fr/2014/02/version-longue-sucker-punch.html

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Version longue avec 17 minutes en sus...

"Cette version longue de WALK THE LINE n'a rien de foncièrement transcendante, mais les 17 minutes supplémentaires permettent toutefois d'améliorer et densifier certains détails essentiels et pourtant bâclés dans la version cinéma : la montée du succès de Cash, la culpabilité envers la mort de son frère, et son addiction à l'alcool et à la drogue. Cette version longue, moins "censurée" et encore plus proche de son personnage principal, ne peut être que meilleure face au montage cinéma original."

Lien vers l'analyse : http://cineredemption.canalblog.com/archives/2012/06/03/24398642.html

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Director's Cut avec 24 minutes en sus...

"Zack Snyder nous livre ici une Director's Cut honnête, rendant le film un poil plus fluide et surtout plus complet au niveau du traitement des personnages : un comportement plus sadique du Comédien, une psychologie plus complexe du Dr Manhattan, une frustration plus forte du côté du Hibou, une ambiguïté plus dense et plus crédible chez Rorschach, et même un Nixon à l'image nettement moins reluisante. Mais il faut le dire, on ne trouve quand même que des ajouts discrets éparpillés ici et là tout le long d'un film de trois heures, consistant essentiellement à du rallongement de dialogues, des plans plus longs et des ajouts d'images chocs. Notons toutefois à plusieurs moments des ajouts majeurs, comme l'incrustation des agents gouvernementaux chez Dr Manhattan, le meurtre brutalement ironique de Hollis Mason et ses conséquences sur le Hibou... Cette Director's Cut n'est pas vraiment indispensable (hormis aux fans hardcores bien sûr), la plupart des ajouts passant assez inaperçus pour les non-connaisseurs. Mais il faut avouer que c'est un net plus au niveau du rythme et du traitement des protagonistes."

Lien vers l'analyse : http://shawshank89.blogspot.fr/2013/03/version-longue-watchmen.html