Séries de BD poursuivies ou découvertes en 2016

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Lus en 2016 : tomes 8-9-10, donc fini.

Voilà qui marque la fin de l'intrigue principale de la BD "De Cape et de Crocs", qui s'illustre par des dialogues assez merveilleux et d'incessants combats d'épée ! Les aventures de MM de Maupertuis et de Lope de Villalobos y Sangrin sont assez fantaisistes, mais particulièrement délectables : la qualité d'écriture y est rare pour une bande dessinée.

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Lus en 2016 : tomes 1 et 2.

Je n'ai jamais été super fan des schtroumpfs de Peyo. Pour autant, j'ai beaucoup aimé sa série Johan et Pirlouit, que je trouve à la fois plus intelligente (les schtroumpfs, c'est quand même souvent très con) et plus intéressante ; les aventures de ces deux héros m'attirent davantage que celles des bonshommes bleus.

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Lus en 2016 : tomes 13-14-15-16-17-19-20-21.

Valérian et Laureline c'est une BD un peu à part. D'un côté, je trouve que chaque album pris séparément n'est pas forcément grandiose : les histoires ne sont pas toujours géniales, le dessin n'est pas toujours parfait, et l'on reste un peu sur sa faim.

D'un autre côté, en temps que série, je trouve ça complètement fou. Déjà, les deux personnages sont géniaux, j'adore Laureline et ses interactions avec Valérian, et ce petit couple se complète à merveille. Et puis il y a cette recherche continue de l'originalité, de la nouveauté, que ce soit en termes graphiques ou bien d'histoire. Les deux auteurs font vraiment preuve d'une inventivité permanente, qui fait de "Valérian et Laureline" l'une des séries de BD les plus intéressantes que j'ai pu lire.

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Lus en 2016 : tomes 15-16-17-18-19-20-21-22-23, donc fini.

Blueberry c'est un personnage sympa dans une série grandiose. Tout semble parfait dans cet album numéro 15, qui achève le cycle du trésor des confédérés : le dessin est l'un des plus somptueux que j'ai pu voir, les personnages sont à bout, tout est très sombre. Une pure merveille.

Fini le premier cycle avec le bizarre album "Arizona Love", qui revient une ultime fois sur la relation du lieutenant Mike Blueberry avec la tempétueuse Chihuahua Pearl... Les derniers albums font preuve d'une baisse constante en qualité, mais la série, qui connaît son apogée avec le cycle du trésor des conférés, est vraiment de bonne facture.

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Lu en 2016 : tome 7.

Ça par contre c'est clairement moyen. La série policière "Leo Loden" n'est pas vraiment géniale, c'est assez caricatural et les histoires sont plutôt mauvaises. L'album numéro 7 permet au toulousain d'adoption que je suis de reconnaître quelques lieux caractéristiques de cette belle ville, et de m'offusquer de certaines incohérences (non, quand on part du CNES on ne tombe pas dans la Garonne bordel...).

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Lu en 2016 : tome 2.

Dessin sympathique, le reste est un peu chiant. Il s'agit de l'adaptation en bande dessinée d'une fiction d'aventure et d'exploration, où des notables finlandais tentent de visiter l'une de leurs contrées les plus sauvages.

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Lus en 2016 : tomes 3-16-20.

Nathalie est un peu la petite sœur de Calvin, en moins marrante ou névrosée, mais quand même bien perchée. Petite fille aux rêves d'aventures et de découvertes exotiques, son quotidien n'est pas très calme pour ses proches, qui en font souvent les frais.

C'est léger et assez drôle, idéal pour se détendre. Les premiers albums étaient vraiment bien, par la suite ça se dégrade un peu.

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Lus en 2016 : tomes 1 et 2, donc fini.

Jolis dessins, jolie héroïne... Le premier tome est assez sympathique : original, bien dessiné, onirique. Le second est très décevant, car tout y est répétitif, absurde et lassant. Une série assez inégale, mais qui vaut surtout le coup pour les courbes (aguicheuses) de son héroïne.

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Lu en 2016 : tome 1.

C'est souvent le même genre de truc, ces histoires... Une espèce de voix-off torturée, un album où l'on ne nous donne pas grand chose à voir. Comme souvent, le dessin ne casse pas trois pattes à un canard. C'est assez médiocre.

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Lu en 2016 : tome 1.

BD d'aventures en Amérique pré-colombienne avec des espagnols à la recherche d'un trésor maudit des dieux aztèques. Il y a un personnage assez sympathique, le reste est quand même franchement moyen.

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Lu en 2016.

D'habitude, j'aime bien Gibrat, mais là, what the fuck ? C'est complètement débile comme truc...

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Lus en 2016 : tomes 1-2-3, donc fini.

J'avais très envie de lire Curiosity Shop depuis que j'avais découvert le deuxième tome un peu par hasard. Le dessin est vraiment intéressant, possédant un caractère très particulier, très personnel. Les personnages sont sympas, mais l'histoire est parfois assez peu claire. Cela reste une série attachante !

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Lu en 2016 : tomes 1-2-3, donc fini.

Même style graphique que le "Royaume de Borée", avec Terpant au dessin. C'est pas trop moche même si au final les personnages sont assez peu expressifs. L'histoire n'est pas hyper passionnante, mais il y a une certaine atmosphère.

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Lus en 2016 : tomes 11 et 12.

Jigounov, c'est un nom associé à Lady S et XIII, deux séries d'espionnage où se côtoient d'excellents albums et de très mauvais. On retrouve dans "Alpha" les thèmes du second, et c'est appréciable. Un album très verbeux, mais une intrigue intéressante et un dessin réaliste que j'aime pas mal. À continuer, même si j'aimerais surtout lire la première série.

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Lus en 2016 : tomes 22-23-24-25.

Jamais personne n'a dessiné les avions comme Hubinon, et les aventures de Buck Danny et de ses compères pilotes valent leur pesant d'or. Des paysages exotiques, des intrigues retorses et une belle dose de courage démontrée par nos aviateurs. Toujours un grand plaisir !

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Lus en 2016 : tomes 2 et 3, donc fini.

C'est dommage, j'aime bien le dessin de Gibrat, même si cet énorme fainéant fait toujours le même personnage masculin et le même personnage féminin. Ses histoires sont un peu décousues, et là où "Le Sursis" proposait véritablement quelque chose d'intéressant, on perd cet aspect-là dans "Mattéo", qui est plus banal.

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Lu en 2016 : tome 1.

Un dessin qui n'est pas trop moche, même si quand même très simpliste. L'histoire, quant à elle, n'a ni queue ni tête et ce n'est pas terrible.

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Lu en 2016 : tome 1.

Il se dégage de cette bande-dessinée une vraie atmosphère aussi particulière qu'intéressante. J'ai un peu de mal avec le dessin, qui est un peu trop brouillon à mes yeux, mais il faut reconnaître que ce n'est pas trop mal fichu, et qu'il y a parfois des cases vraiment magnifiques (d'autres sont hyper moches par contre...). Le plus intéressant, ce sont les personnages, et l'ambiance.

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Lus en 2016 : tomes 1-2-3-4-5-6-8-9-10.

Première série de Alpha, par Jigounov. Le premier tome était assez prometteur : de beaux dessins, une intrigue d'espionnage comme j'aime, et Paris. La suite laisse grandement à désirer. Non seulement les dialogues sont mal foutus (on n'y croit pas un seul instant), mais en plus l'histoire sombre dans le grand n'importe quoi jusqu'à un final absurde.

Cela dit, j'aime bien les héros badass et les histoires d'espionnage, du coup je vais sûrement continuer un peu. Cela reste, cela dit, à mille lieues en-deçà d'un XIII par exemple...

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Lu en 2016 : tome 12.

Tentative de revival de la série après un cycle (Plume aux vents) qui était déjà à mon goût de trop.
Après, j'aime toujours autant les personnages et les rapières et le dessin est splendide, comme d'habitude. Mais cette pauvre Ariane aurait gagné à être laissée tranquille, et le tome me paraît à la fois gratuitement violent et peu inspiré.

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Lu en 2016 : tome 19.

Même si cette numérotation française n'a pas beaucoup de sens, et de toutes façons je lis en anglais...

Un épisode un peu décevant sous certains aspects, pas trop mal par d'autres. Le dessin de l'arc avec Bufkin (le singe volant) est sympa, le reste est toujours aussi inégal selon les personnages. Je trouve la conclusion également un peu facile.

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Lu en 2016 : tome 24.

Une bonne reprise, pour une fois ! Une histoire plutôt pas mal ficelée, un dessin fidèle à Jacobs, des personnages pas mal vus (la fille spécialiste de Shakespeare qui tort un peu le cou aux gentlemen légèrement machos du reste de la série...), malgré quelques défauts (surtout un rythme mal géré, ça se termine trop vite et ça commence trop lentement).

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Lu en 2016 : tome 24.

Quelques révélations dans cet épisode, même si cette seconde série comporte le gros défaut de n'avoir aucun tome autosuffisant, il faut presque tout relire à chaque fois pour comprendre... On réutilise quelques personnages de la première série et c'est bien fait, le dessin est relativement propre, et je trouve que l'esprit original de XIII est bien respecté.

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Lu en 2016 : tome 17.

Natacha est une BD (et un personnage) que j'affectionne, et ce tome est de facture tout à fait honorable. Une histoire à huis-clos assez sympathique, même pour l'arachnophobe que je suis... Un dessin toujours piquant, comme son héroïne.