Séries vues en 2017

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Je n'en attendais pas grand-chose et finalement ça se laissait regarder ! Par contre la thérapeute fait partie des pires godiches qu'il m'ait été donné de voir... (ce n'est pas tant le personnage que l'actrice...)

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Du coin de l'oeil, je ne suis pas très fan des psychopathes.

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On ne change pas une équipe qui gagne !

(Intégrale x 2...)

Non mais cette frayeur de Netflix qui annonçait retirer la série le 14 octobre ! Finalement elle est toujours là (et marquée nouvelle, ahah), je n'ai pas compris.

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Sacrilège, Netflix a retiré la série de sa programmation !

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J'avais peur que 13 épisodes ne soient de trop mais je suis en train de la rusher sévère.

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Testé un demi épisode, c'était nul.

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C'est drôle !

Et alors révélation, autant Camille Cottin m'insupportait dans Connasse, autant c'est assez jubilatoire de la voir dans ce rôle !

Par contre la deuxième saison se perd en s'attachant au destin des personnages dans l'agence (et en allant dans des directions parfois bien improbables...) et en oublie ce qui faisait le sel de la série, à savoir les rapports avec les acteurs. La structure un épisode, un artiste, un problème avec un fil rouge qui s'étire sur toute la saison était plus simple mais plus efficace.

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Diane Lockhart était LE personnage de The Good Wife, bien plus intéressante qu'Alicia Florick, avoir une série centrée sur elle me rend joie !

Verdict à la fin de la saison : ma joie n'est pas retombée, bien au contraire, c'est fabuleusement écrit, avec une liberté de ton réjouissante. La deuxième moitié de saison est un peu moins fine et plus spectaculaire mais sans que ce ne soit véritablement dérangeant. On apprécie le retour de nombreux personnages (Elsbeth !), on kiffe le féminisme et plus globalement le militantisme de cette série qui va à contre-courant des habitudes représentatives de l'industrie.

Ce qui est impressionnant, c'est que malgré les nombreux points communs avec The Good Wife, The Good Fight trace son propre chemin et est finalement dans une proposition assez différente de la série originelle. Tant mieux, j'en regrette juste d'avoir eu si peu de scènes au tribunal où les joutes oratoires étaient aussi jubilatoires que les techniques de manipulations utilisées pour arriver à ses fins. La bonne nouvelle c'est qu'une deuxième saison est d'hors et déjà sur les rails, et qu'elle bénéficiera cette fois de 13 épisodes. Hâte de voir ça !

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Bah oui, tant qu'à faire, je me refais l'intégrale, il y avait des épisodes que je n'avais pas vu et il me manquait deux saisons et demi, je vais en profiter pour compléter.

Il n'y a pas à dire, ça pète la classe et ça transpire l'intelligence. Et il y a tellement de personnages mémorables ! Par contre au deuxième visionnage Will me semble encore plus salaud, trop salaud pour avoir une véritable épaisseur. Et Kalinda est vraiment une tête à claque inexpressive, mais ce n'est pas nouveau.

(Bon pour le moment ça a été les quatre premières saisons, on verra plus tard dans l'année pour la suite).

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Je n'ai pas pu aller au bout du premier épisode, les acteurs noirs avec une peau très très claire, je trouve ça gênant par rapport au propos...

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Saison 6, c'est pas très très bon, c'est d'une qualité bien inférieure aux premières saisons.

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Vu un épisode, il faudrait que je persévère pour la suite, j'ai peur que ce ne soit un peu survendu.

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Saison 5

J'avais peur que ce ne soit un peu nul après le final de la saison 4, et puis finalement les scénaristes ont su rebondir et c'est drôle et jubilatoire bon sang ! (Litchfield Idol, sérieusement) On saute à pied joints dans le surréalisme et c'est bien vu, la série souffrait un peu de se trouver à cheval entre une visée réaliste et des situations abracadabrantesques, il y a plus de cohérence à se situer dans une logique de divertissement pure et à abandonner l'aspect documentaire (sans pour autant sacrifier le fond du propos).

Ok, je retire, le paragraphe précédent n'est valable que pour la première moitié de la saison, la seconde partie est un plantage magistral, on se demande comment les scénaristes s'y sont pris pour produire un résultat aussi mauvais. Je ne sais même pas si je vais finir la saison tant les derniers épisodes ont été regardés dans la douleur, ne me donnant aucune envie d'y revenir.

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Oh mon dieu Trudy fait du catch !

Je pensais que l'univers allait me rebuter et puis finalement non. La série accuse une baisse de rythme entre le 3e et le 5e / 6e épisode, la faute à une mise en place qui prend tout son temps, mais si on passe outre la suite est assez jouissive et je dois dire que j'ai été très déçue de constater qu'il n'y avait que 10 épisodes et que j'arrivais à la fin. Vous pouvez y aller, sortez nous une deuxième saison !

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Le chat faisait du binge watching, je me suis donc retrouvée à regarder la saison 2...

C'est une série pour ados, je ne vais pas râler sur les incohérences parce que c'est clairement assumé que les scénaristes s'en battent les steaks de la crédibilité. Reste que c'est suffisamment bien rythmé pour m'avoir poussée à y jeter un œil.

(Et finalement il y a des saisons que j'aurai à peine vues, mais je suis allée jusqu'à la saison 6)

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Ca se laisse regarder mais ça manque d'humour / d'une écriture intéressante / de personnages principaux fouillés / de personnages secondaires mieux caractérisés (rayez la mention inutile).

Oh tiens en parcourant cette liste, je m'aperçois que je n'ai pas vu les deux derniers épisodes, c'est dire à quel point ça m'a marquée...

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Paie ta déprime. Ce documentaire prend le contre-pied de bon nombre de séries policières qui filent à toute allure : au-delà du lent et minutieux travail d'investigation, il est surtout remarquable lorsqu'il s'attache à l'incidence d'une disparition sur l'entourage de la victime (le témoignage du frère d'une jeune disparue qui a dû identifier son cadavre est d'une horreur sans nom, on est loin des séries qui réduisent les macchabées au point de départ d'une intrigue conclue en 42 minutes). L'histoire est folle et extrêmement dérangeante, on n'en ressort pas complètement indemne.

Je m'arrête au bout de 2 épisodes, c'est beaucoup trop éprouvant à regarder, je crains que chaque épisode ne soit pire que le précédent.

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The Closer fait partie de ces séries péché mignon, dans le genre série pas prise de tête (parce que The Keepers est bien trop rude et qu'un peu de superficialité ne nuit pas). Je n'avais pas vu d'épisode de The Closer depuis un moment, je ne sais pas si c'est le fait que je ne l'ai trouvé qu'en français, pas en HD ou si c'est le début de la série qui fait ça, mais pour le moment je trouve que ça a un peu vieilli. A voir en poursuivant si cette impression demeure, auquel cas j'arrêterai sans doute assez vite..

Bon bah voilà, j'ai arrêté assez vite.

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Saison 1

Oui, je l'avoue, j'aime bien Castle (enfin surtout les deux premières saisons quand Beckett avait encore le cheveux court et les talons à une hauteur raisonnable). L'intrigue policière est assez grossière mais on regarde surtout pour le personnage de Castle, on ne va pas se mentir.

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C'est l'anti Tudors. Le budget n'est pas le même, l'optique non plus. On oublie le grand spectacle et on se concentre sur les dialogues entre les personnages. Le rythme est lent (un peu trop) et le casting est aux antipodes : ce n'est pas un mal pour certains personnages (je ne me suis jamais remise de l'actrice refaite qui incarnait la soeur du roi), les acteurs dans les Tudors avaient un côté trop propre sur eux, trop holywoodien qui nuisait à l'immersion. Mais c'était aussi le choix de personnages plus charismatiques : le cardinal Wolsey avait plus de prestance incarné par Sam Neil, Natalie Dormer était parfaite pour jouer une Anne Boleyn un peu garce là où Claire Foy semble terriblement fade... Je ne suis pas encore assez avancée pour juger de la véracité historique, j'espère qu'elle sera respectée car l'appréciation de la série va pas mal en dépendre.

Bon c'est tellement lent que je n'ai pas dépassé le stade du 1er épisode, mais je ne perds pas espoir de réussir à reprendre la série.

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Saison 1

Oui alors c'est totalement improbable comme visionnage de ma part... Le chat faisait du binge watching, je suis restée, je m'en étonne moi-même.

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Testé sans rien savoir de la série, je vais m'arrêter après 3 épisodes, j'ai vu suffisamment de séries pour ados pour l'année, je sature un peu. Et puis c'est lent, ça ne décolle pas, et la plupart des personnages sont profondément antipathiques (et pour certains sont super mal joués, oui la prof de musique c'est à toi que je pense, ton rôle est nul mais ce n'est pas une raison). Bref, ça ne donne pas envie.

J'ai jeté un coup d’œil de temps en temps jusqu'au final, ça reste dans la même veine, mouais.

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Saison 4

Les premiers épisodes servent à remettre la série sur les rails et sont donc moins bons mais on retrouve vite l'alchimie si particulière de Brooklyn Nine-Nine et c'est alors du tout bon. C'est d'ailleurs le drame quand on s'aperçoit qu'on est arrivé au 22e épisode et qu'il n'y en a plus d'autres. Les scénaristes ont été assez fins pour faire évoluer les personnages juste ce qu'il faut : le couple Amy / Jack ne parasite pas l'intrigue comme cela arrive si souvent quand la tension sexuelle se concrétise, le capitaine Holt reste un pince sans rire mais il y a plus de fantaisie dans son traitement ce qui apporte un nouveau souffle à son personnage et Gina est toujours là donc tout va bien !

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On me l'a vendue comme une série qui me ferait peur et que je ne devais pas regarder, forcément je n'ai pas voulu m'y frotter !

La reconstitution est classieuse, l'histoire débute très fort, malheureusement cela devient un peu brouillon après le 4e épisode. Le scénario explore plusieurs pistes mais certaines ne servent pas vraiment l'intrigue et semblent plus là pour faire du remplissage. La trame principale est plus diluée, au profit de l'histoire personnelle des personnages, mais cela s'avère moins percutant et l'on peine à retrouver l'intensité des premiers épisodes. C'est tellement frustrant, ça aurait pu être une grande série (surtout si elle s'était contentée d'une seule saison, là on sent que les jalons sont posés pour une suite tant la fin n'en est pas une).

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Saison 1

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Pris en cours de route, c'est bien prenant !

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Saisons 1 à 7