TOP DIVERS : Les répliques de films cultes

Annotation :

- Ça va faire trois quart d'heure qu'il a la tête dans ses spaghettis.
- Comment ça ? Personne à vérifié s'il respirait encore ?
- J'suis quand même pas débile, à moins qu'il s'oxygène à la sauce spaghettis, il respire plus du tout.

- Crime passionnel.
- Ouais, une passion qui a laissé des traces sur le mur...

- Inspecteur ? Inspecteur ?! IINSPECTEUUUUUUUUUUR !!! Vous me cherchiez n'est-ce pas ?

- Dites-moi, si par hasard je me coupais un mamelon je serais couvert par les accidents du travail ?
- Je suppose que oui, si vous aviez le culot de faire une déclaration pareille je vous en paierais un tout neuf, de ma poche.

- Ernest Hemingway a écrit : "Le monde est un bel endroit, qui vaut la peine qu'on se batte pour lui" ... Je suis d'accord avec la seconde partie.

- Il y a sept péchés capitaux. La gourmandise, l'avarice, la paresse, la colère, l'orgueil, la luxure et l'envie. Sept. Tu peux t'attendre à cinq autres meurtres.

- C’est plus facile de tomber dans la drogue que d’affronter la vie, plus facile de piquer ce que vous avez envie que d’essayer de le gagner, plus facile de battre un enfant que de l’élever. L’amour par contre, ça demande des efforts, du courage.

- Imaginez la volonté qu'il faut pour tenir attaché un homme pendant un an. Pour lui couper une main et s'en servir pour laisser des empreintes digitales, pour lui enfoncer des tubes dans les orifices. Il est méthodique, précis et pour couronner le tout, patient.
- Vous voulez dire qu’il est barge, ouais ! C’est parce que ce fondu a une carte de bibliothèque qu’il a le cerveau de Yoda !

- Je suis allé chez vous ce matin, après votre départ, j’ai essayé de jouer au mari, de goûter la vie d’un homme ordinaire, ça n’a pas marché. Alors, j’ai emporté un petit souvenir...

- Il n’y a rien de mal à ce qu’un homme prenne du plaisir dans son travail. Moi-même je ne rejette pas mon désir de rejeter chaque péché contre son pécheur.

Annotation :

- Les souvenirs sont malléables, ce sont des interprétations, rien de plus. Ils ne font pas le poids face à la réalité.

- J’oublie toujours, de t’oublier.

- Ça craint quand même ton problème au cerveau, tu confonds la liste des course avec la liste du teinturier et tu te retrouves à bouffer ton slip au petit déjeuner.

- On ne retrouve que des détails, tous ces p’tits rien dont on parle rarement, et on revit certains moments forts même si on n’a pas vraiment envie. C’est tout ça mis ensemble qui restitue une présence. Et on prend conscience du manque, et de la haine qu’on ressent pour celui qui a tout détruit...

- C'est pas parce que je les oublie que mes actes n'ont pas de sens.

- Je sais que, quand je ferme les yeux, le monde ne s’arrête pas de tourner.

- Il faut que je crois qu’il y a un monde en dehors de mon esprit, il faut que je crois que mes actes ont encore un sens même si je les oublies... Je dois croire que lorsque je ferme les yeux le monde est toujours là. Est-ce que je crois que le monde est toujours là ? Est-ce qu’il est toujours là ? Oui ! On a tous besoin de souvenir pour savoir qui on est... je suis pas différent des autres.

- Souviens toi de Samy Junkys.

- Juste une photo... pour pas t’oublier.

- Tu te mens à toi-même pour être en paix. Y a pas de mal à ça, tout le monde le fait.

Annotation :

- Le coup le plus rusé que le diable ait jamais réussi, ça a été de faire croire à tout le monde qu'il n'existait pas.

- Le vieux Macdonald avait une ferme, IHA IHA OH, et dans cette ferme il flinguait des mecs BADABOUM BADABOUM BAM.

- Comment on tue le diable d'une balle dans le dos ? Et si on rate ?

- Tu sais ce qui se passera si tu retournes en taule ?
- J'enculerai ton père sous la douche et je m'ferai un sandwich. Alors tu m'emballes connard ?

- Keaton me disait souvent: " Je ne crois pas en dieu, mais j'avoue qu'il me fait peur parfois." Oui, et bien moi je crois en dieu mais la seule chose dont j'ai peur, c'est Keyser Sose.

- Je vous prie de m'excusez mais...allez tous vous faire mettre.

- J'ai un ringard à l'hosto qu'est prêt à se barrer sur une patte tellement il a peur de Soze.

- On peut convaincre tout le monde qu’on a changé mais jamais soi-même.

- Quand une rumeur ne meurt pas, c’est que ce n’est pas une rumeur.

- Vous croyez que vous arrêterez Keyser Söze ? Vous croyez qu’un caïd de ce genre passe à deux doigts de l’arrestation et sort sa tête à la fenêtre ?

- Et d’un coup, fiou ! Il s’envole.

- Ce soir, un keuf m'a mis le doigt dans le cul.
- On est déjà vendredi ?

Annotation :

- On est une génération d'hommes élevés par des femmes. Je ne suis pas sûr qu'une autre femme soit la solution à nos problèmes.

- Avec le canon d'un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.

- La capote, c'est le soulier de vair de notre génération. On l'enfile quand on rencontre une inconnue, on "danse" toute la nuit, et puis on la balance.

- Maintenant une question de protocole : pour passer je vous présente mon cul ou bien ma queue ?

- Je le sais, parce que Tyler le sait.

- Avec l'insomnie, plus rien n'est réel. Tout devient lointain. Tout est une copie, d'une copie, d'une copie...

- Cette gonzesse, Marla Singer, n'avait pas de cancer des testicules. C'était une menteuse.

- Tyler, vous êtes de loin l'ami à usage unique le plus intéressant à qui j'ai pu parler.

- Issue de secours à 9000 mètres d'altitude. Hum hum. Illusion de la sécurité.

- Il y a un adage qui dit qu’on fait toujours du mal à ceux qu’on aime mais il oublie de dire qu’on aime ceux qui nous font du mal.

- Vous n’êtes pas votre travail, vous n’êtes pas votre compte en banque, vous n’êtes pas votre voiture, vous n’êtes pas votre portefeuille, ni votre putain de treillis, vous êtes la merde de ce monde prête à servir à tout.

- On a frôlé la vie !

- Félicitations tu vas bientôt toucher le fond, c’est bien.

- Pourquoi il y a des masques à oxygène pour les passagers ?
- Pour pouvoir respirer...
- L’oxygène, ça vous fait planer. Si une catastrophe survient on prend de grandes inspirations paniquées et on devient rapidement euphorique, docile, on accepte son destin.

- Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.

- Sur une durée suffisamment longue, l’espérance de vie tombe pour tout le monde à zéro.

- C’était de toute beauté. Nous revendions à des femmes riches la graisse qui provenait de leurs fesses.

- La pub nous fait courir après des voitures et des fringues, on fait des boulots qu’on déteste pour se payer des merdes qui nous servent à rien !

- C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut.

- Tu me baises puis tu me snobe. Tu m’aimes puis tu m’détestes. Tu te montres sensible puis tu te conduis comme un parfait salaud. C’est une bonne description de notre relation Tyler ?!

- Tu m’as rencontré à un moment étrange de mon existence.

- Mon dieu ! On ne m’avait plus baisé comme ça depuis l’école primaire.

Annotation :

- On ne peut pas soigner ce que l'on a pas d'abord étudié !
- QUEL GENRE DE VIRUS !?
- La fureur.

- Donc première leçon, ne jamais se déplacer seul sauf s'il n'y a aucune autre solution. Seconde leçon, ne sortir que pendant la journée sauf s'il n'y aucune autre solution. Demain on t'accompagnera, on ira voir tes parents morts tous ensembles, d'accord ?

- Un kangourou entre dans un bar et commande un Gin Fizz. Le barman lui dit : c'est 10 livres. Le kangourou paye et boit son verre.
Le barman lui dit :
- Bah dis donc c'est pas souvent qu'on voit des kangourous dans ce bistrot.
Le kangourou dit:
- Ça ne m'étonne pas, 10 livres un Gin Fizz...

- Avec infiniment d'amour nous t'avons laissé dormir. Nous dormons maintenant avec toi. Ne te réveille pas.

- Et voilà, c'est vraiment une idée à la con. vous savez pourquoi ? Parce que c'est évident que c'est une idée à la con !

- Oh cool du valium, non seulement on aura plus de problème pour arriver à s'endormir mais si on se fait attaquer au milieu de la nuit, ça nous sera égal.
- Deux chacun ?

- Non moi je trouve qu'il a pas tort, quand on regarde toute la vie de la planète, nous, je veux dire l'être humain, est là depuis deux battements de paupières, donc si ce virus nous emporte tous, ce sera ça le retour à la normalité.

- Qu'est ce qu'on fait ?
- C'est le chemin le plus direct pour traverser le fleuve.
- Non non non non, on prend le chemin indirect, le chemin qui est bien dégagé et ou il n'y a aucun tunnel...

Annotation :

- Quand on est gamin, on dit : "Mon père, il sait tout faire !" Passé 10 ans, on dit : "Mon père, il sait presque tout faire." Arrivé à 15 ans, on dit : "Mon père, il m’casse les couilles." À 20 ans, on dit qu’c’est un con. À 25 ans, on dit : "Finalement, mon père il était peut-être pas si con que ça." Et à 30 ans, on dit : "Putain, si seulement mon père était là..."

- J’ai peur en avion... J’ai toujours eu peur en avion. Pour qu’un avion se crash, il faut une succession d’emmerdements qui dépasse l’entendement. Une loi des séries d’emmerdements qui dépasse toutes les lois, y compris la loi de Murphy, la loi de l’emmerdement maximal.

- Des fois on peut tirer des traits bien droits à travers les trous de plusieurs tranches de gruyère. C’est comme ça... c’est suisse.

- C'était la lettre de ma vie et j'avais décidé que cette nuit là je serais Chateaubriand ou rien. Bon c'était pas du Chateaubriand mais c'était pas rien.

- La femme de ta vie, tu sauras qui elle est sur ton lit de mort.

- C'est des boeufs nourris à la bière et massés toute leur vie, le rêve.

Annotation :

- Cette chanson "like a virgin" tu veux que je te dise de quoi ça parle ?
- ça parle d'un fille qui est mordu pour un mec qui a une super queue. Cette chanson c'est une métaphore sur les grosses queues.

- Où est Brown ?
- Il est mort.
- Et de quoi ?
- A ton avis crétin ?!

- Et là, une minute après l'alarme, y'a 17 flics qui tombent du ciel avec des armes pour la chasse à l'éléphant !

- Écoute, si j'étais branché sur les mecs, j'oserais même pas te refiler à un pote.

- A ta place, moi, je prirais pour que ça finisse vite, mais ça faut pas y compter.

- Et toi, t'as tué du monde ?
- Juste des flics...
- Pas des vraies personnes ?
- Juste des flics...

- Ça glousse comme une volée de pucelles dans un dortoir.

- C'est la grande tristesse quand un pauvre gars entre en prison avec la peau blanche et qu'il en ressort en parlant nègre. Tu sais pourquoi ? C'est à cause de tous ces paquets de sperme de black que tu t'es fait pomper dans le cul, ça t'est monté au cerveau et tu recraches par la bouche.

- Pourquoi monsieur Pink ?
- Parce que t'es une pédale !

Annotation :

- Si tu savais comme moi te servir d'une savonnette, ta serviette aurait pas l'air d'un tampax !

- Peut-être que ta méthode de massage diffère de la mienne mais je t'assure que toucher les pieds d'une fille et glisser la langue dans le sanctuaire des sanctuaires, c'est vraiment pas du même ordre !

- Garçon, du café !
- J'suis pas un garçon j'suis une fille.

- Si Butch se réfugie en Indochine, je veux un gonze dans chaque bol de riz prêt à lui plomber les molaires.

- Fabienne, cette montre c’était celle de mon père. T'as une idée de ce qu'il lui en a couté pour me donner cette montre ? Je te raconterai plus tard mais il en a chié !

- Ringo, t'ouvres ton sac en plastique. Trouves-y mon larfeuille.
- C'est lequel ?
- Celui où il y a écrit "Bad mother fucker".

- Excuse-moi, je vais rentrer chez moi faire ma crise cardiaque.

- Le soir du combat tu sentiras comme une piqûre d'insecte. C'est l'amour propre qui te turlupinera. L'amour propre tu l'emmerdes. L'amour propre fait mal. Il ne sert jamais à rien. Il te faut t'en débarrasser.

- Voila ! Tu dois y retourner, lui dire adieu, ce fut une délicieuse soirée. Tu fous le camp tu réintègres ta caisse... Tu rentres tu t'branles une ou deux fois et tout sera dit !

- Je serai là le temps de dire "tarte aux myrtilles"
- Tarte aux myrtilles
- P'tet pas si vite...

- C'est à une demi-heure d'ici.
- J'y suis dans dix minutes.
Et neuf minutes trente sept secondes plus tard...

Annotation :

- Où on va ?
- Au Mexique.
- Y'a quoi au Mexique ?
- Des Mexicains.

- Purée de couille de con Pitt... Personne t'a dit que la bouffe au micro-ondes ça tue plus vite qu'une balle ?

- Ton mieux, il ferait bien d'être vachement mieux que ça, sinon, c'est toi qui va te sentir vachement plus mal.

- Merde ! J'ai jamais dit "Sauve-moi" !!!
- Mais on s'en balance Ducon vu qu'il te reste tout juste deux seconde à vivre !

- Qu'est-ce qui se passe ici ?
- Heu on fait un concours du plus beau bikini et c'est toi qui a gagné.

- Ça c'est c'que j'appelle un putain de show !

- Vous êtes quoi alors ? Un pasteur qui a perdu la foi ? Ou un combattant qui met ses couilles au service du ciel ?

Annotation :

- Dire que j’avais flingué personne depuis 1984.

- Alabama, où est notre coke et où est Clarence ? Il rentre dans combien de temps ?
- Oh vous devez vous tromper d’chambre. J’m’appelle Saddy. On a pas d’coke ici, mais y’a une machine à Pespi près de l’ascenseur.

- Toute cette putain de famille, faut la finir.

- Oh, ça fleur le hamburger par ici. Dis moi, c’est lequel le plus maouss des hamburgers que t’as ici ?
- Le plus maouss ? Le double Chili Cheesy Burger.
- Alors tu m’en donnes deux bien méchants.

- Je suis l’Antéchrist. Je ne suis pas de très bonne humeur. Vous direz aux anges du ciel que vous n’aviez jamais vu le mal aussi nettement incarné que dans l’homme qui vous a exécuté. Je m’appelle Vincent Coccotti, je suis le conseiller de Monsieur « Blue » Lou Boyle, l’homme que votre fils a cambriolé.

- J’t’aime bien Clarence... depuis toujours... et pour toujours.

- Vous savez, les siciliens sont des menteurs nés. Les meilleurs du monde. Je suis sicilien. Mon père était le champion toute catégorie des menteurs siciliens. À ses côtés j’ai appris tout jeune l’art de la pantomime.

- C’est quoi le titre de c’film ?
- C’est la... c’est la suite de « Morts sans médaille ».
- Ah ouais ?!
- On a pas encore de titre... mais euh Joe a eu une idée ?
- Euh... « Morts sans médaille... 2 ».
- : ... Ah ben il s’est cassé l’fion là. Mon pénis a plus d’goût qu’ce gland.

- Si je mange rien, c’est que j’ai pas faim. Si je m’assoie pas, c’est que je reste pas. Si je regarde pas, c’est que j’ai déjà vu ce film, y’a sept ans. Ça s’appelle The Mack, avec Max Julien, Carol Speed et Richard Pryor. Et j’ai aucune crainte, juste du dégoût.

- Vous direz aux anges du ciel que vous n’avez jamais vu le mal aussi nettement incarné qu’en la personne qui vous a exécuté.

Annotation :

- Hé, Terry, faits-moi plaisir, vire-moi de là ces tuyaux dégueulasses et tous ces sacs vides, cet endroit commence à ressembler à mon appartement.

- Vous pouvez envoyer qui vous voulez, c'est moi qui commande cette station. Quand il s'agit de la sécurité de mes hommes, il y a moi et Dieu après, c'est compris ?

- Quand vous scrutez une abysse, c'est l'abysse qui vous scrute.

- Enlève pas ta petite culotte bébé !

- La chance n’est pas un facteur pour moi.

Annotation :

- J'ai autant besoin de toi que d'un trou du cul au bout de mon coude. Tu trouves que ça m'irait bien ?

- J'ai couché avec elle parce que je t'aimais !

- Mais depuis quand baiser avec une autre veut dire qu'on n'est pas fidèle ?

- J'ai vraiment essayé de me suicider... Avant de faire semblant.

- C'est une histoire qui va peut-être t'ennuyer mais tu n'es pas obligé d'écouter. J'ai toujours su que ça se passerait comme ça...

- Quelques fois, j'ai dû mal à croire les conneries que crache ma bouche.

- Rock'n'roll.

- C'est incroyable le poids qu'on perd quand on arrête la pilule.
- Oui, à part les 20 kilos qu'on prend quand on est enceinte.

- Lauren, je veux te connaître.
- Quoi ? comment ça ? Me connaître ? Oui, comment ça ? Personne ne connaît personne, jamais. Alors dis-toi bien que tu ne me connaîtras jamais.

Annotation :

- Yuri, qu'est-ce que tu connais aux armes ?
- Je sais de quel côté il vaut mieux se placer.

- J'étais fournisseur de toutes les armées, sauf l'armée du salut.

- La première et la plus importante des règles dans ce métier c'est d'éviter de se faire tirer dessus avec des armes qu'on a vendu.

- D'après l'expérience que j'en ai, beaucoup d'histoire d'amour réussies sont fondées sur le mensonge et la tromperie. Quand on sait comment elles finissent en général, ça semble tout à fait logique.

- Le problème quand des marchants d'armes rentrent en conflit, c'est qu'ils ne se trouvent jamais à court de munitions.

- Monsieur, est-ce que mon bras va repousser ?

Annotation :

- Hey peut être que t'as pas bien regardé le match à la télévision, mais on vient de se faire torcher le cul mec !

- Vasquez ! On t'a déjà prise pour un mec ?
- Non ! et toi ?

- Voyage direction l'enfer, sans escale !

- Et on est payé une solde de misère pour faire ça.
- Surtout si on s'reveille pour voir ta gueule Drake.
- Quoi ? C'est sensé être un gag ?
- J'voudrais bien.

- Hey Hicks ! Merde t'as la tête de ma gueule de bois.

- Qu'est-ce qu'il fait chaud ici !
- Hé oui, mec ! On a un trés bel été !
- Ta gueule Hudson !

- Ne la touche pas sale pute !

- Ça va vous faire un choc vous êtes resté plus longtemps que...
- Longtemps ? Combien ?
- 57 ans.

- Je crois que ça s'fait partout d'avoir un synthétique à bord.
- Je préfère homme artificiel mais c'est personnel.

Annotation :

- Ris et tout le monde rira avec toi. Pleure et tu seras le seul à pleurer.

- S'il m'avait dit a ce moment là que je sortirais quinze ans plus tard. Ma prison aurait-elle été plus facile à supporter ? ... Je ne sais pas.

- Ce jour là, tout ce que je me suis dit ça a été : "Tiens, l'homme dans la cellule d'as coté va devoir manger avec une seule baguette." Mais ensuite... Ensuite...

- J'ai dis que je voulais... manger quelque chose de vivant.

- Quand on se sent trop seul, on voit toujours des fourmis.

- J'ai passé quinze ans a souffrir, tu ma volé quinze ans de ma vie. Tu vas payer. Une dent par année d'enfer.

- C'est qui Mido ?
- Une fille qui pleure tout le temps.

- M'arrêter c'est mourir. La vengeance est devenue ma seule raison de vivre.

- Peut être que je suis pire qu'une bête, mais n'ai je pas le droit de vivre moi aussi ?

Annotation :

- Je me souviens d’un commentaire d’un de tes professeurs sur ton carnet de note : « A touché le fond... mais creuse encore ! »

- Bouge pas !
- Ça me fera pas rester, tu sais.
- Sur les photos si, éternellement !

- Notre famille se désagrège et c’est tout ce que ça vous fait ?
- Ouais, ça me fait de l’air, tu peux pas savoir !

- Écoute-moi bien, aujourd’hui, t’as fait couler le sang et les larmes de ma petite sœur. À partir de maintenant, j’veux plus que tu la regardes, je veux même plus que tu penses à elle, parce que si tu penses à elle, tu penses à moi, et si tu penses à moi, j’déboule et j’te démonte...

- Plaisantez pas avec ça, c’est important vous savez une famille. Vous regarder grandir tout les trois c’est le plus beau spectacle auquel j’ai assisté dans toute ma vie. Avoir des enfants, c’est une chance merveilleuse.

Annotation :

- Vous savez quoi... chaque fois qu’on est tous les trois j’ai l’espoir qu’on peut sauver l’univers !

- Allez, bande de macaques ! Si vous avez envie de vivre, battez vous !

- Un bon parasite est un parasite mort !

- Macaques ! Vous voulez quoi, la vie éternelle ?

- Tout le monde se bat. Personne ne se barre. Le premier qui se barre, je le tue !

- Voulez-vous en savoir plus ?

- Vous serez mon caporal. Jusqu’à votre avis de décès ou bien jusqu’à ce que je trouve mieux.

Annotation :

- Ah, c'est vous. Vous avez oublié votre portefeuille.
- Quand ? J'l'ai oublié quand ?
- À votre dernière visite.
- Ouais, mais c'était quand ?
- Quand vous avez oublié votre portefeuille.

- Dites-moi, Husselbeck, à votre avis, quel genre de tueur a le réflexe de sauver un poisson rouge ?

- Vous allez encore recevoir des choses bientôt... Anna.
- Je ne suis pas Anna.
- Vous le serez bientôt, oui.

- Au commencement étaient les Ténèbres. Puis vinrent les Étrangers.

- Il est bientôt minuit, Docteur Schreber.

- Où que soit votre mari, il est à la recherche... de lui même.

- La lumière du jour. Quelle est la dernière fois où vous vous souvenez l'avoir vue ?

- Je ne suis même pas sûr que le soleil existe dans cet endroit. Parce que je suis debout depuis des heures et des heures et des heures et la nuit n'en finit jamais.

Annotation :

- Tu vois le monde se divise en deux catégories... Il y a ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent... Toi, tu creuses !

- Dis donc toi, tu sais que tu as la tête de quelqu'un qui vaut deux mille dollars.
- Oui... mais toi tu n'as pas la tête de celui qui les encaissera.

- Dieu n’est pas avec nous et il déteste les corniauds de ton genre !

- Blondin, c’est une farce ?
- C’est pas une farce, c’est une corde. Dépêches toi de passer ta tête là-dedans Tuco.

- Quand on tire, on raconte pas sa vie.

- Dis Tuco tu aimes ça la musique ?
- La musique ? Ah oui j’aime ça, surtout après un bon déjeuner.

- Hé Blondin ! Tu veux que je te dise? T'es le plus grand dégueulasse que la Terre ait jamais porté !

Annotation :

- Moi ce que je sais, c’est qu’on prépare pas un putain de vaisseau d’urgence sans une putain d’urgence.

- Comment ça a l’air ?
- Ça a l’air dégagé.
- Tu avais dis que c’était clair !!
- Que ça avait l’air clair.
- Et maintenant ça a l’air comment ?
- Clair.

Annotation :

- So if you wake up one morning and it's a particularly beautiful day, you'll know we made it. Okay, I'm signing out.

- Only dream I ever have... is it the surface of the sun? Everytime I shut my eyes... it's always the same.

- Kaneda ! What do you see ? Kaneda ! What do you see? Kaneda !

- My God... my God. Pinbacker !
- Not your God. Mine !

- Are you an angel ? Has the time come ? I've been waiting so long.

- Prescription, two hours in the Earth Room. And get a haircut.

Annotation :

- C'est le vieux salon pourri le plus magnifique que j'ai jamais vu.

- J'ai horreur d'entendre les adultes parler de "sexualité active". Ça veut dire quoi, d'abord ? Qu'un jour, j'vais me désactiver ? Ou que c'était une espèce d'état permanent ?

- Liberty Bell, si tu empilais encore un peu de bacon sur ta patate, j'te mets une claque sur ton p'tit cul de macaque.

- Et moi qui croyais que tu étais du genre à savoir ce que tu fais.
- Je sais pas vraiment quel genre de fille je suis.

- Vous auriez dû aller en Chine, j'ai entendu dire qu'ils les donnaient, les bébés, comme des iPods gratuits. Il paraît qu'ils en mettent dans des espèces de canons et qu'ils les balancent pendant les matchs.

- Tes parents doivent être en train de se demander où tu es.
- Non, non maintenant que j'suis tombée enceinte, qu'est-ce que je pourrais encore faire comme conneries, franchement ?

- Papa ?
- Qu'est-ce qu'il y a ?
- Là, soit j'viens de pisser dans mon froc soit...
- Soit ?
- GOLDORAK GO !

- Et j'vais mettre un bon crochet dans les burettes du p'tit gamin, si j'le vois.
- Mac, ah non. On sait très bien qui a eu l'idée...

Annotation :

- Why so serious ?

- Soit on meurt en héros, soit on vit assez longtemps pour se voir endosser la voie du méchant.

- Est-ce que vous vous sentez responsable du pétrin dans lequel se trouve Harvey Dent ?
- Où est-il ?
- Il est quelle heure ?
- Pourquoi ? Quelle différence ça fait ?
- Ben en fait, suivant l'heure il se trouve dans un endroit, ou bien dans un tas d'autres.

- La seule moralité qui tienne dans un monde cruel est la chance. Impartiale. Équitable. Vraie.

- Let’s put a smile on that face !

- Ce qui ne me tue pas me rend plus... bizarre.

- Dans leurs derniers moments la plupart des gens révèlent qui ils sont réellement.

- Introduire une goutte d’anarchie, déranger l’ordre établi et tout devient brutalement... chaotique...

- Toi, tu refuses de me tuer par principe. Et moi, je refuse de te tuer parce que tu es tellement amusant.

Annotation :

- Toute action entraîne une réaction, et une réaction de manouche... ça fait très mal.

- Boris le hachoir ? Qu'on appelle aussi Boris pare-balle ?
- Pourquoi on l'appelle Boris pare-balle ?
- Parce qu'il pare les balles Avi !

- Lourd c'est bien, lourd c'est plus fiable. S'il marche pas on peut toujours assommer avec.

- Londres.
- Londres ?
- Oui, Londres, vous savez bien, fish, chips, tasse de thé, bouffe dégueue, temps de merde, Mary Poppins de mes deux, Londres !

- Pourquoi pas John le Flingueur ou Willy Boule d'Acier.
- Tu te tiens pas vraiment au courant de l'actualité, hein Tommy ? Boule d'Acier a perdu la boule et le Flingueur s'est flingué.

- T'as compris quelque chose à ce qu’il a dit toi ? Parce que moi j’ai pigé que dalle !

- Il ne faut jamais sous-estimer le caractère prévisible de la bêtise humaine.

Annotation :

- Je suppose que l’on vous pose souvent la question, mais est ce que César a réellement vécu ici ?

- T’es littéralement trop con pour qu’on t’insulte !

- Tu crois que tu es qualifié pour t’occuper d’un bébé ?»
- Qu’est-ce que tu crois, ce n’est pas le premier bébé que je trouve !»

- So long, gay boys !

- Its funny because he's fat !

- You wanna fuck on me ?

Annotation :

- Au secours ! Il y a un Pek qui me menace, il a un gland dans la main !

- Qu'est ce que tu regardes ?
- Ta jambe... J'la casserai bien en deux.

- Et puis même, même si on les retrouve, ils vont nous attraper, nous torturer nous découper en pièces pour finir par nous manger...
- Alors tu proposes qu'on rentre chez nous ?
- Non ! Pour une fois qu'on s'amuse.

- Ce n'est pas un Nelwyn, on dirait un bébé Daikini.
- C'est quoi un Daikini ?
- Les Daikini sont immenses ! Ce sont des géants qui habitent très loin !

- Et voici le clou de ce spectacle à vous coupez le souffle ! Mesdames et messieurs sous vos yeux ébahis, ce cochon va disparaître !

- Suivez le chemin que vous montre l'oiseau...
- Il retourne vers le village !
- L'oiseau on s'en moque ! Suivez la rivière.

- Vous osez me défier ? Vous n'êtes pas des guerriers... Vous êtes des porcs !

Annotation :

- Nous ne sommes pas des soldats. En capturant des otages, nous sommes devenus des mercenaires. Et les mercenaires sont payés !

- C'est clair, le monde file pleins gaz vers l'enfer, en ligne droite. Je crois sincèrement que ceux qui projettent de mettre un enfant au monde envisagent en toute lucidité un acte extrêmement cruel. Et toi, quoi de neuf, mon amour ?
- Je suis enceinte.

- Je commence à en avoir assez de vous sauver la peau. C'est un miracle que vous ayez atteint l'âge de la puberté !

- Dites moi...? Une personne peut être vaporisé...?

- Ils veulent voir si on bluffe. Ils vous prennent pour un BOUFON, mon général.

- Apparemment Alcatraz viens de rouvrir ses portes.

- Womack ! Pourquoi je ne suis pas surpris espèce de balais à chiottes !

- Hey mec, elle a vachement morflé ta Ferrari.
- Elle est pas a moi.

Annotation :

- Ce ne sont pas les films d'horreur qui ont fait de nous ce que nous sommes... Ça nous a juste rendus plus imaginatif...

- Qui est le tueur dans vendredi 13 ?

- Quel est ton film d'horreur préféré ?

- La question n'est pas qui je suis mais où je suis !

- Vous ne m’avez toujours pas dit votre nom.
- Ça vous avancerait à quoi de le savoir ?
- J’aimerais bien savoir qui je regarde.

- Si tu racroche je te saigne comme une truie ?

- Mais on est tous un peu fou à notre manière.

- Avec la chance que je me paye il prendrait Tori Spelling ?

Annotation :

- Cap ou pas cap ?

- Pour gagner ce jeu, il faut une jolie boîte, une jolie copine et le reste on s'en fout...

- Bouches-toi les oreilles fort fort fort... Tu entends comme je t’aime ?

- Tu sais, y'a que trois trucs que tu m'as jamais demandé et que je regrette. J'aurais été cap !
- Genre ?
- Manger des fourmis, insulter les chômeurs qui sortent de l’ANPE, t'aimer comme un fou...

- Les amis c'est comme les lunettes, ça donne l'air intelligent, mais ça se raye facilement et puis, ça fatigue. Heureusement, des fois on tombe sur des lunettes vraiment cool ! Moi, j'ai Sophie !

- T'es cap, toi, de faire pleurer une fille le jour de son mariage ? Hein ? T'es cap de rire quand t'es malheureux ? De te taire pendant dix ans ? Dis moi, t'es cap ?

Annotation :

- Quand tout sera fini, je veux que vous retiriez ce visage et que vous le brûliez.

- Tu vois, t'es pas le seul à avoir un cerveau dans la famille.
- C'est vrai, mais maintenant je suis le seul à avoir une belle gueule.
- Touché.

- Je suis pas moi... je suis moi ! Pas moi, moi ! Castor Archer. Castor Archer.

- Un abricot, j'adore sucer un abricot pendant des heures.

- Si je t’aimais pas autant poussin je serais obligé de te tuer.

- Ici Sean Archer qui est à l'appareil ?
- Si tu es Sean Archer, je dois sûrement être Castor Troy.

- Tu veux pas plutôt qu'on discute ?
- La seule conversation que t'as eue avec moi c’était "Suce ma langue", "J'aime ton cul" et "salut" !