Top séries 2014-2015

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Saison 7B.

J'ai peu de mots pour décrire ce que je ressens face à cette dernière saison, ce dernier épisode... Je suis tellement contente d'avoir vécu autant d'incroyables moments devant cette série qui malheureusement ne sera que peu égalée. Je suis en deuil, mais aussi le sourire au lèvre. Y'a que Mad Men pour faire ça !

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Saison 6.

Une excellente dernière saison et un final à la hauteur de cette série qui ne ressemble à aucune autre ! Des acteurs charismatiques, des personnages qui te marquent et surtout des dialogues qu'on aimerait jamais voir se finir ! Cette dernière scène était vraiment toute la série ! Bordel, qu'est-ce que cette série va me manquer !!

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Saison 2.

J'ai trouvé que les tous premiers épisodes de cette saison étaient moins captivants, fascinants et émouvants que ceux de la saison précédente. Peut-être que c'est aussi dû aux nombres d'épisodes qui ont doublés. En tout cas la seconde partie ne m'a pas lâché. On y voit plus clair (ou pas) du côté de Daniel. La sœur réussi à lâcher un peu l'affaire, ce qui fait vraiment du bien à la série et à son personnage. La mère est toujours aussi touchante. Le dernier épisode m'a vraiment scotché.

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Saison 1.

Une série avec beaucoup de qualités. D'abord le casting est impeccable ! Kyle Chandler toujours au top, très bonne Sissy Spacek, de même que Linda Cadellini, j'ai aussi une affection particulière pour Chloë Sevigny, mais bien évidemment celui qu'il faut surtout retenir c'est Ben Mendelsohn.
Les personnages que chacun incarnent sont tous intéressant à suivre, fascinant parfois, des personnages complexes et ambiguë, qu'on voit trop rarement à la télé. La force de la série c'est donc de dévoiler petit à petit, les différentes facettes de ces personnages, bien plus que de dévoiler petit à petit les secrets de la famille Rayburn. Mais même de ce côté là ça marche, notamment par un montage des évènements, qui ne prend pas son télespectateurs pour un con. Même si le procédé des flashbacks/flashfowards n'étaient pas toujours capitales, c'est tout de même utilisé ici de façon bien plus intelligente qu'autre part (How to get Away with murder en est l'exemple contraire). Et bien évidemment, la réal est impeccable, la chaleur de la Floride est palpable.
J'ai quelques doutes pour une saison 2, notamment de part la dernière minute de l'épisode, mais bon, wait and see.

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Minisérie.

Même si la série parait au départ (sur les trois premiers épisodes), très complexe et très lente, on sent tout de même un énorme potentiel narratif. En tout cas, la réalisation impeccable et les prestations des acteurs en imposent suffisamment pour qu'on reste intriguée par la série. Je peux néanmoins comprendre le détachement de certains sur le début, mais de mon côté tout a très bien fonctionné.
Et puis à partir de l'épisode 4, The Honourable Woman devient très addictive, avec une intrigue très complexe mais pourtant très facile à suivre. Les choses se révèlent avec beaucoup de précision, le jeu d'échec est passionnant à suivre. Le propos de la série est très intéressant, très clair dans les enjeux alors que même le sujet est très complexe. Les personnages sont tous remarquables d’ambiguïtés, de complexités et de charismes. Les dialogues sont toujours très bons. Bref, je ne suis vraiment pas étonnée de la qualité d'écriture de cette série, au vu du créateur.

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Saison 3.

Cette saison 3 était vraiment excellente ! Les mutations qu'apportent la fin de la saison 2 sont très intéressantes. Les "méchants" sont très charismatiques, et d'une certaine manière font aussi un peu écho, dans leur intention, à l'excellente trame de la saison 1.
J'ai trouvé la série vraiment top visuellement, les expressions de visages sont plus travaillés, les combats sont monstrueux !
J'aime aussi beaucoup le dosage de l'humour, qui retrouve un bon équilibre et fonctionne mieux que la saison passée. Niveau émotion on n'est pas non plus en reste, notamment avec la relation des filles de Toph, mais aussi dans le final avec des conséquences très intéressantes sur le personnage de Korra en saison 4.

Saison 4.
Une quatrième saison tout aussi bonne que la précédente. Certes le personnage de Kuvira est un peu caricatural, mais j'ai trouvé que ses derniers moments mettaient bien en lumière un personnage plus complexe, même si le revirement est un peu convenu.
Le plus beau traitement de la saison ça reste Korra, qui doit faire face à ses démons. J'ai aimé que la série prenne son temps pour traiter en profondeur les problèmes de Korra. Son retour à Republic City ou elle s'excuse de s'être éloignée de ses amis était très touchant.
D'ailleurs le fait que la série se passe 3ans plus tard fait du bien, ça permet de voir l'ensemble des personnages évoluer, grandir.
J'ai aussi beaucoup aimé l'évolution de Bolin, plus mature, plus puissant. Et Varick est dans cette même dynamique. Mako est quant à lui un peu en retrait, ou en tout cas moins mémorable cette saison, mais il se rattrape lors d'un moment très puissant et magnifique lors de l'épisode final. Il est intéressant de voir aussi comment Asami fait face à son passé et apporte un écho bienvenue à la saison 1.
Très beau final à la série, avec un combat magnifique entre Kuvira et l'avatar. Korra est devenue la sagesse qu'on attendait d'elle. Et elle part sereine, accompagnée, dans le monde des esprits, ce monde qui a tant marqué la série. Je pense que ça ne pouvait pas mieux se conclure.

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Minisérie.

Très belle chronique de vie d'Olive, qui est autant fascinante, déprimante, qu'attachante. Les acteurs sont excellents, je suis une grande fan de Frances McDormand. Le rendu de la période est vraiment très bon, ça me rappel un peu Mildred Pierce dans les détails soignés du quotidien. L'immersion dans ce monde est donc très bon. Sans parlé du propos de la série, sur la vie qui passe, le quotidien et ses habitudes, l'amour qui se transforme, le regard et le jugement des autres sur nous et bien évidemment, la mort, la vieillesse, la solitude. Une très belle mini-série, tant sur la forme que sur le fond !

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Saison 2.

Cette seconde saison abat ses cartes une à une, elle prend le temps de continuer son enquête, tout en révélant les failles nécessaires et montrer l'étau qui se ressert sur Paul Spector. La tension monte d'épisode en épisode, jusqu'à livrer un final qui harponne le téléspectateur et ne le lâche plus. Cette série ne laisse rien au hasard, développant les élèments points par points, avançant ses pions et posant des dialogues toujours percutants. The Fall est à l'image de son enquêtrice Stella, qui ne laisse rien au hasard non plus quant à sa traque de Spector, aux preuves récolter, aux collègues qu'elle choisit et surtout, aux aveux de cet homme qu'elle méprise.
Cette saison, The Fall prend encore plus le temps de disséquer cette traque de Stella et Spector et de les disséquer, eux, et c'est fascinant, stressant, éreintant. Bref, c'est encore plus réussi que la saison dernière.

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Saison 2.

J'ai beaucoup aimé cette saison, encore plus que la première. Les personnages sont attachants, évoluent bien (Le capitaine, Rosa, Jake) et je me suis bien marrée. Il y a avait vraiment des épisodes hilarants, certains duos marchent très bien (Gina/Holt, Jake/Amy, Rosa/Boyle, Rosa/Holt, Gina/Terry ou encore Gina/Amy). Petite baisse de régime sur la fin de saison, mais ça reste de très bonne facture. En tout cas vivement la saison 3.

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Saison 3.

J'ai eu peu le même sentiment devant The Americans que lors des saisons précédentes, cette série est capable d'excellents moments et en même temps d'autres qui me passent un peu au dessus.
Cette année, ce qui m'a moins convaincu c'est le personnage de Stan, toujours plus pathétique. Toute l'affaire sur l’Afghanistan était pas mal, mais pas transcendant non plus. Du côté de la residentura, c'est l'ennuie mortel. Mais je crois que l'intrigue qui m'a le plus déçu c'est celle de Nina. J'aimais beaucoup le personnage, mais j'aurais préféré ne plus la voir cette saison.
Sinon, du côté de l'excellent , il y avait certaines intrigues très bien menées, pleines de tensions, avec des jeux d'acteurs époustouflants, celle autour de Martha et celle autour de Paige. Bien évidemment les doutes de ces deux personnages sont passionnants à suivre, mais le plus intéressant des personnages ça reste Philipe. Matthew Rhys est vraiment un très bon acteur. On retiendra de cette saison, l'excellent épisode 3 (la scène de la poursuite en voiture + l'arrachage de dent), la confrontation d'Elisabeth avec cette vieille femme dans l'épisode 9, la surprise de la confrontation avec Paige dans l'épisode 10 et pour finir, le final de l'épisode 12 avec Clarke qui enlève sa perruque sous le regard horrifié de Martha.
Bref, la série n'est pas parfaite, mais elle est capable parfois de te scotcher à ton fauteuil et de te faire repenser à certaines scènes des jours durant ! En gros, vivement la saison 4.

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Saison 1.
J'ai adoré cet anime. Le thème de la fanfare était vraiment galvanisant. J'ai aimé le traitement de la persévérance, mais aussi la nécessité d'avoir un but commun lorsque l'on fait parti d'un groupe. Et ici c'est d'autant plus important que c'est la seule façon pour cette fanfare d'arriver à jouer ensemble. L'anime reste très centré sur la fanfare et la façon dont chacun des personnages l'a vit (débuter dans un instrument, vouloir faire un solo, envie de progresser, aller au concours...). Il n'y a que par bribe quelques traitement de relation entre personnage, et en cela l'épisode 8 réussi à nous cueillir, par cette parenthèse au festival.
J'ai aussi beaucoup aimé les dessins. Je ne parle pas de la musique, forcément très bonnes, qui nous touche même dans la répétition en boucle du même passage.

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Saison 1.

Je crois que si on part du principe que la série ne parle pas du pourquoi du comment de la disparition de 2% de la population, mais de comment ceux qui restent gèrent cet événement, et bien la série est de très bonne facture. J'ai beaucoup aimé les différents traitements des personnages, leur façon de gérer le "deuil", ou de ne pas le gérer, d'essayer d'y trouver du sens, ou pas. Cette série dresse le portrait d'une humanité déboussolée, perdue, à l'abandon aussi. Malgré quelques moments et intrigues qui laissent dubitatifs, il y a d'excellents dialogues et d'excellents passages dans The Leftovers. J'ai aussi beaucoup aimé la réal, cette musique, cette mise en scène, ces épisodes tantôt centré sur un personnage, tantôt sur l'ensemble du cast. Franchement, j'étais contente de retrouver cette série chaque semaine, j'ai vraiment aimé le voyage.

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Saison 6.

Après Archer Vice, on retourne à du classique Archer, c'est toujours aussi drôle et complètement barré. Rien d'étonnant donc, quelques épisodes très inspirés, notamment lorsqu'ils concernent Lana et Archer. Ray m'a fait beaucoup rire cette saison. J'ai jamais été la plus grande fan des fins de saisons d'Archer, toujours plus WTF, mais bon, ça fait partie du truc. En tout cas, vivement la saison prochaine, qui promet du lourd !

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Saison 2.

Voir ma critique pour plus de précision sur la série globalement et tout le bien que je pense de la série et surtout de cette saison.
Globalement, des personnages très bien écrits, justes, complexes, ambiguës. Une moralité questionnée par de vrais situations, des moments tragiques, choquants et violents, qui sont toujours très bien amenés. Rien n'est gratuit, tout s'explique, se comprends. L'évolution de l'histoire est tellement noir que j'en suis stupéfaite. Et quelle tension qui monte et ces retournements de situations excellents. The 100 est généreuse et maîtrisée cette saison.

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Saison 2.
La série numéro 1 en binge-watching, c'est elle et pas une autre ! De ce côté la série n'a pas perdu de sa superbe.
J'avais été un peu déçue par l'entrée en matière de la saison, mais elle se rattrape dès le 3ème épisode. Piper, que je n'apprécie pas, réussi à prendre moins de place que l'an passé et c'est du tout bon. Je suis déçue qu'on persiste sur la fin avec Alex Vause (même si soyons honnête la sexytude de ce perso m'a manqué) et aussi, deux épisodes consacrés à des flashbacks sur Piper sur 13, c'est trop. D'autant plus que c'était inutile pour le second volet.
Autre petite déception, le personnage de Vee, hyper caricatural par moment. Alors que la série réussi depuis toujours à complexifier ses personnages, ici, ça manque de subtilité. Le personnage prend d'ailleurs trop de place, au détriment de certains autres que j'aurais aimé plus suivre (Watson, Nicky, Sophia).
Par ailleurs, certains personnages restent très bien traité tout au long de la seconde saison. En premier lieu Lorna, dont les flashbacks sont remarquable d'intelligence et amène un vrai intérêt au personnage sur la suite de la saison. Poussey, elle, réussi à nous émouvoir par sa détermination mais aussi sa fragilité par moment. Pour finir, le personnage de Rosa était un des plus intéressant à suivre cette saison. Elle a réussit à me faire rire au dernier moment de la série, chapeau.

En gros, toujours addictif, cette série sait construire ses épisodes et sa saison pour nous donner envie de la dévorer. Comme toujours avec ce genre de visionnage, c'est aussi un moment ou on peut vite oublier certaines faiblesses. J'essaye de rester lucide, il faut dire que parfois la série a un peu joué avec la facilité (j'entends les gros fils rouge avec Vee et Fig). Elle réussi tout de même à nous capter par ses personnages, cette prison (c'est d'ailleurs pour ça que je n'ai pas aimé le premier épisode de cette saison). L'humour est toujours assez présent, les moments d'émotions aussi. Le contrat est tout de même remplie pour cette saison.

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Saison 3.

Le pari est plutôt réussi pour cette troisième saison. J'avais été moins emballée par la deuxième saison, assez foutraque et pas toujours clair sur les intentions. Et j'étais du coup très sceptique pour cette saison 3.

La série réussi à bien recentrer le débat sur Castor et Leda et finalement l'intrigue est plutôt limpide, les enjeux suffisamment intéressants. Il y a quelques bonnes idées : dégager rapidement la fille de Sarah qui a tendance à un peu saouler, donner plus d'importance à Delphine, l'exploration de Castor, la révélation du clone original et le final qui réunit bien l'ensemble des protagonistes.

J'ai toujours beaucoup aimé Alison, mais il est vrai que même si je comprends l'intention des scénaristes de garder un peu d'humour et de fraîcheur, elle m'a semblé tellement déconnectée du reste que je n'y ai pas pris plaisir. Même si ça permet à son mari de prendre un peu d'envergure. J'ai une affection particulière pour le personnage de Cosima et l'introduction de Shay a bien apporté la dose de fraîcheur qui bascule vers de la paranoïa, puis de la tendresse. On nous avait peut-être déjà fait le coup, mais ça marche toujours pour moi. Bien plus que le personnage un peu pathétique de Paul. Et en vrac, j'ai aussi beaucoup aimé ce qu'ils ont fait de Gracie et Mark, de Mrs. S que j'adore et de Scott.

Bref, j'ai passé un très bon moment devant cette troisième saison, la série fait le job, sans forcément beaucoup d'éclat, mais vu la thématique, je crois que tenir l'intrigue et continuer à capter notre intérêt est déjà suffisamment bien.

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Saison 4.

Cette saison était un peu décevante. La saison 3 était excellente et les enjeux du final promettaient de belles choses pour la saison suivante. Malheureusement, les scénaristes n'avaient pas de matière suffisante pour tenir 22 épisodes. C'était une réalité de la série depuis toujours, mais au vu de la tournure qu'avait pris la série, la faiblesse des épisodes bouches trous ne sont plus une excuse valable.
Bien évidemment, PoI reste toujours intéressante à suivre, avec d'excellents moments. Même si le début de la saison est moins intenses, il se regarde très bien, et lorsque l'étau se ressert sur Shaw, on retrouve un vrai intérêt pour la série. L'épisode 11 de cette saison devient, à mon sens, le meilleur de la série. Les deux épisodes suivant tiennent la distance, avec une Amy Acker déterminée, émouvante, belle. Malheureusement, la série ralenti le rythme, voir même revient en arrière. C'est donc sans nostalgie que j'ai suivi les quelques épisodes avec l'équipe originel.
Clairement, la série n'avait pas besoin du départ de Sarah Shahi, puisque sans elle, le surplace général nous éclate au visage. Elle n'aurait pas dû nous manquer à ce point, parce que les éléments auraient du s'enchainer. Mais comme ce n'était pas le cas, je pense que tous les téléspectateurs ont du pleurer son absence. Shaw tu me manques ! J'ai besoin de toi, PoI c'est plus pareil sans toi ! (Hum, hum).
Le final tient la route, mais l'avenir reste incertain. Contrairement au final de la saison passé, je m'inquiète plus pour la tournure que va prendre la série que pour les personnages.
Bref, dommage de passer un peu à côté d'une saison qui aurait pu être épique ! Et pour vraiment conclure, vivement le retour de Shahi !

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Saison 1.

Voir critique.

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Saison 2.

Très bonne saison. L'évolution des personnages est d'une justesse rare. La série sait nous émouvoir par ces tranches de vies, authentiques, qui révèlent par petites bribes, des tas de réalités universelles ou importantes.
Je suis toujours une grosse fan de Doris, Dom et Richie. Le côté niais de Patrick peut être agaçant, mais son histoire et son évolution émeut. Chapeau cette saison pour l'intrigue autour d'Augustin, très réussi.
La réalisation est impeccable et les musiques sont toujours parfaites. Bref, beau tour de force cette saison.

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Saison 4.

Toujours aussi drôle, avec un casting excellent et des guests vraiment drôles et bien pensés. J'ai eu un petit manque d'intérêt au moment où Dan+Amy sont à l'extérieur. J'aime ces deux personnages mais leur manque d'interaction avec les autres personnages m'a déçu. Et je pense que j'aurais toujours du mal avec Jonas, qui m'agace constamment. Les deux derniers épisodes sont eux excellents, avec des retombées nécessaire pleins d'humour et d'intelligence et une ouverture pour la saison 5 qui donne envie.

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Saison 6.

Cette 6ème saison était en partie décevante.
La première moitié de la saison était vraiment excellente. J'ai beaucoup aimé ce qu'ils ont fait de Cary et Matt Czuchry était vraiment très bon. A ce moment là la campagne d'Alicia n'avait rien de dérangeant. Et puis toute la seconde partie de saison était vraiment passable, avec deux-trois épisodes très en dessous. La campagne d'Alicia était complètement à côté des autres personnages et intrigues, et ça c'est quand les autres personnages avaient droit à quelque chose, car ce n'était pas toujours le cas. Cette campagne m'a très peu intéressé, le personnage d'Alicia est devenu assez antipathique et ses histoires d'amourettes, on s'en fout !! Certes, les 2-3 épisodes qui suivent les résultats redeviennent vraiment bons, parce qu'enfin il y a des enjeux intéressants, de la matière pour les acteurs et des questionnements pour les personnages assez intéressant. Pourtant, ce final ne m'a pas vraiment convaincu. Je suis "pour" un retour au source d'Alicia et des moments à la cour, comme la série a su faire (trop peu présent cette saison à mon gout), mais je suis "contre" ces multiples changements de cabinets, de fusions, etc. La saison 5 avait plutôt bien réussi à changer plusieurs fois les cartes, mais je crois qu'il serait temps que ce petit monde se stabilise. Sauf que les King n'ont pas l'air d'être de cet avis là...

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Saison 2.

La série est toujours aussi bien. Les personnages sont complètement égocentriques, ce qui donne des moments vraiment extra. Il y a beaucoup d'humanité dans tous les personnages, pour le meilleur et pour le pire. C'est tantôt drôle, tantôt touchant. Vraiment une série atypique, de part son univers, qui apporte son lot cocasserie.

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Saison 2.

L'idée du procès de Joe était très bonne, ce qui permet de continuer à suivre la famille et les personnages de l'entourage de la victime, de les voir continuer à affronter leur deuil et la difficulté émotionnelle d'un tel procès. Pour autant, quelques légères faiblesses apparaissent, notamment dans le cumul des entourloupes de la défense, un peu trop orchestrées. Mais il y a un vrai questionnement sur la justice.
A côté de ça, l'affaire Sandbrook était au départ plutôt intéressante, mais m'a semblé très foutraque par moment, on avait du mal à comprendre ou ils voulaient en venir. A mon sens, c'est brouillon, parce qu'il fallait que ça tienne 8 épisodes. Le final était plutôt bon, mais la résolution de l'affaire Sandbrook m'a un peu laissé de marbre, parce que mise à part le fait que ça affecte Tennant et que le duo Tennant/Colman est toujours présent, cette histoire m'a peu à peu désintéressé.
En gros, j'ai trouvé la saison plutôt intelligente sur certains points, l'ambiance de Broadchurch est toujours là et les personnages sont toujours attachants, mais c'était peut-être un peu trop calculé, balisé, pour arriver à un final convenu.

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Saison 2.

J'ai trouvé cette seconde saison moins prenante, plus foutraque et sur la fin un peu facile. Mais il y a toujours de très bonne chose, et des scènes assez poignante, notamment dans ce final de saison. Globalement j'ai juste été moins emballée par l'intrigue et ce personnage "hyper charismatique".

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Saison 2.

Globalement la saison m'a plus plu que l'an dernier. Notamment parce que les relations entre les personnages étaient très bien traitées. Virginia et Masters sont des personnages complexes, qu'on aime à suivre. Toute la partie sur la relation Virginia/Lillian était vraiment bien et touchante sans en faire trop. Mais comme toujours quelques aspects de la série me gène toujours un peu : comme le temps qui passe de façon inconstante et ne me semble pas toujours super bien amenée et forcément bien justifiée, l'apparition du frère de Masters qui arrive comme un cheveux sur la soupe, nous n'en avions jamais entendu parlé (même si le traitement était bon). Pour moi, Masters of Sex est sympathique à suivre, avec quelques bons (voir très bons) moments, mais il me manque toujours quelque chose !

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Saison 6.

Une excellente dernière saison et un final à la hauteur de cette série qui ne ressemble à aucune autre ! Des acteurs charismatiques, des personnages qui te marquent et surtout des dialogues qu'on aimerait jamais voir se finir ! Cette dernière scène était vraiment toute la série ! Bordel, qu'est-ce que cette série va me manquer !!

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Saison 1
Voir ma critique.

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Saison 11.

Une saison un ton au dessus de la saison 10. Je l'ai trouvé plus cohérente avec ses personnages et avec son histoire. Certaines intrigues tenaient bien la route : Pierce, Kepner/Avery, Callie/Arizona. Même si tout n'était pas parfait avec l'issu de l'intrigue sur Derek, mon côté non-objectif se réjouie. Malgré tout quelques lourds défauts viennent plomber l'ensemble, et en premier lieu la surabondance des flashbacks, qui viennent alourdir certains épisodes (celui terminant l'intrigue à mon sens râté de Geena Davis, le double épisode d'un an, et par moment d'autres épisodes, comme l'avant dernier). Je ne sais pas si je suis convaincu de l'arrivé de nouveaux internes pour la saison 12, j'ai du mal à croire qu'ils arrivent à réitérer l’ajout de sang neuf comme en saison 9. En tout cas ça a un gout de "déjà-vu" et trop tôt après l'arrivée d'Edwards et Wilson. Je pense tout de même que de nouveaux personnages sont nécessaire, afin de rafraîchir un peu les intrigues. On le voit, l'arrivé de Pierce cette saison a vraiment fait du bien à la série. Même si je ne peux pas en dire autant du personnage d'Amelia qui m'a plombé beaucoup d'épisodes à geindre constamment, un personnage vraiment overthetop. Bref, cette 11ème saison reste une des meilleurs de la seconde moitié de la série. Et je sais, c'est pas bien dur, mais quand même !

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Saison 1.
C'était vraiment beaucoup mieux que ce que je pensais !
Je m'attendais à des enquêtes un peu longue et plan-plan, finalement pas du tout, c'est 45min, les enquêtes ne prennent pas trop de place et sont plutôt simples. Rien de fou mais pas dérangeant.
La force de la série est là ou je ne l'attendais. Grantchester c'est surtout un jeune pasteur atypique, qui aime le jazz, qui a de l'humour, une sœur farouche et un problème d'alcoolisme dont il est plus ou moins conscient. C'est un pasteur moderne dans le début des années 50. Et c'est justement ces années 50 qui apportent beaucoup à la série, parce que c'est l'après-guerre, que les hommes en sont marqués, c'est le quotidien du jeune pasteur confrontés à eux, mais aussi confronté à lui même, à ses propres cauchemars et démons. Sidney est un homme brisé, qui a du mal à continuer à avancer. Et à côté de ça, il laisse filer la femme qu'il aime, parce qu'il n'est pas prêt et surtout parce que le contexte du clivage entre les classes sociales et les mariages arrangés étaient encore trop prégnant à l'époque.
Une série étonnante donc, dont l'acteur principal James Norton, est touchant comme jamais.

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Saison 1.
Voir ma critique.