Une oeuvre méconnue que vous souhaiteriez mettre en avant.

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TotoroM.
Une oeuvre forte et grandiose, en rupture de ton constante, pamphlet d'une violence extrême utilisant le western pour mieux dénoncer la politique de l'époque (les 70's).

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Rawi.

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Rawi.

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Kowalski.

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Jambalaya.
c'est réjouissant, plein de soleil, d'optimisme et de tolérance. Malheureusement le réalisateur ne fait plus grand chose car mal vu par le pouvoir tunisien.

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Aurea.
Le film n'est pas sans rappeler Gone with the wind, mais Bette Davis n'a vraiment rien à envier à Vivien Leigh, tant par sa présence que son interprétation à facettes au delà de tout éloge.

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Aurea.
Peut être le plus beau film de William Wyler" adapté du roman de Henry James Washington Square : The Heiress avec Montgomery Clift, superbe, et Olivia de Havilland impressionnante dans la maîtrise de son jeu, puisque de fille naïve, effacée, et d'une timidité maladive, elle se transforme en une femme dure, impitoyable et cruelle, ce qui n'est pas sans rappeler certains portraits de Maupassant dans l'étude fine des caractères.

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Krokodebil.
Un film à priori très mineur, dans un registre moins fameux chez le cinéaste que ses grands classiques. Il y filme le cynisme d'une société de parvenus mais aussi la dureté de la vie dans les quartiers défavorisés et la bonté de l'âme humaine devant la souffrance du prochain. La mise en scène est très "occidentale", ainsi que le mode de vie de son couple de personnages principaux. Une petite curiosité.

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Patrick Berger.
Un honnête film du dimanche après midi, une série B policière par John Frankenheimer berf un film schizophrène incluant Don Johnson, William Forsythe et Bob Balaban au casting.

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Fritz_The_Cat (of course).
Une petite tuerie de comédie subversive, lubrique et mordante qui n'a pas attendu South Park pour faire de l'humour méchant la meilleure des armes contre l'hypocrisie. D'autant que son grand âge lui donne un côté retro des plus savoureux.

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Babaorum.
Les films de Peter Greenaway sont assez rare, et voir celui-là... j'ai pas de mot, c'est juste un choc. J'aime bien réfléchir devant des films, du plus con au plus intelligent s'il le faut, mais celui-là... j'ai jamais autant aimé réfléchir de ma vie. Une leçon de vie dans tous ses états. Voir l'Homme naitre, mourir, pourrir... c'est un peu le défilé de tout l'univers depuis les premiers êtres vivants. Tout ça, autour de très peu de personnages. En plus, la bande son de Michael Nyman est toute simplement sublime.

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Northevil.
Un chef d'oeuvre de mise en scène, une construction de l'histoire tout à fait hallucinante, une photographie et des paysages extraordinaires, construisant des tableaux sublimes, un magnifique hommage à de nombreux peintres en plus d'un film contemplatif exceptionnel.

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Steka.
Un western atypique, réalisé par un proche collaborateur de Welles, démontant avec une grande lucidité la mécanique des rapports de force.

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SanFelice.
Le dernier film du cinéaste portugais Joao Cesar Monteiro, sorti à titre posthume, est, pour moi, son meilleur. C'est là qu'il condense tout son art de l'humour pince-sans-rire, de sa joyeuse immoralité, du plan fixe au cadrage impeccable, du rythme lent, contemplatif mais jamais ennuyeux, des situations inattendues...

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Fritz_The_Cat.
Un ovni débordant de créativité, de couleurs et d'ambition qui tente de refaire le monde en 90mn de tentatives plastiques et narratives ahurissantes. Un pur chef-d'oeuvre de cinéma hybride, aussi agité qu'attachant. Et donc, le pied absolu pour qui y est réceptif...

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Fritz_The_Cat.
Crise de rire inoubliable doublée d'une claque absolue en termes de découpage, de montage et de sens du gag. De quoi vous tuer un(e) épileptique ou un(e) apôtre du bon goût en 2mn. Le film en dure cinquante à peine, mais c'est un tel concentré de mouvements et d'exubérance que j'en suis ressorti en me disant que j'avais, pour la première fois, vraiment saisi le sens de l'expression "frénésie rythmique". Une merveille !

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Nikki L.
Une petite perle pessimiste, à la fois glauque et lumineuse. La galerie de personnages, aussi charismatiques les uns que les autres, insuffle une énergie bienfaitrice dans ce tourbillon de l'horreur.

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PFloyd
Si je devais conseiller un bon film bien méconnu dans nos contrées, ce serait les Années Tony Blair, de Peter Kominsky (qui a fait l'excellent Warriors notamment). Une très belle peinture de l'ascension du New Labour, de l'arrivée au pouvoir avec plein d'espoirs, et de la grande déception qui suivi. Très bon.

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Gwimdor.
un film indépendant américain avec un Ryan Gosling étonnant dans ce rôle. une très belle fable pleine de bons sentiments sans jamais sombrer dans le pathos, ni le ridicule, piège pourtant difficile à éviter au vu du sujet.

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Steve d2323
des témoignages de jeunes vraiment intéressant et touchant.

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Aurea.
un chef-d'oeuvre méconnu avec le grand Michael Redgrave.

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Vivienn
Voyage poétique et onirique dans un temple bouddhiste dont on suit le quotidien, une réflexion subtile sur la vie et la mort, sur le matérialisme et la fuite du quotidien. C'est magnifique, et c'est d'autant plus impressionnant quand on sait que Bae Yong-Kyun a mis 7 ans à réaliser son film dont il assure tous les rôles (réalisateur, scénariste, producteur, caméraman, monteur...) qu'il voulait en plus pourtant garder pour lui. Quand « l'amateurisme » devient du grand Art.

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Vivienn.

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Dorémi.
le récit d'un pêcheur maudit littéralement envoûté par la beauté de Paula Pritchett.

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Dagoni.
Un film rafraîchissant, une petite perle d'évasion. On se laisse prendre dans cette très belle histoire qui oscille entre légèreté et gravité, et on lui pardonne en même temps ses défauts.

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Bahia.
balaie beaucoup d'a priori que l'on peut avoir sur le cinéma indien. On voyage dans une Inde aux paysages époustouflants, à travers les vies rythmées de personnages attachants. Un film à la fois drôle, triste, intelligent, touchant, bref un film plein.

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guyness
Je te propose "Justin de Marseille" de Maurice Tourneur (père de Jacques).
1) parce qu'il est magnifique
2) parce qu'il parle de Marseille
3) Parce qu'il n'a que 11 avis sur le site.

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Jackal.
un des premiers films de guerre sonores, mon film préféré sur la première guerre mondiale.

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Brisby
Top Hat, avec Fred et Ginger, tout simplement parce que c'est magique de les voir danser tous les deux !

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Ostpolitik
un western atypique, à voir !