Action hero : Bruce Willis

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Bruce Willis est le héros d'un segment du chef-d'œuvre de Quentin Tarantino. "Loser" macho qui sait retrousser ses manches quand c'est nécessaire : le rôle de Butch a été écrit pour lui ! Willis y joue probablement les scènes les plus cultes de sa carrière.

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Sans doute le rôle de sa vie. Bruce Willis insuffle tellement de vie en John McClane qu'on a bien du mal à dissocier le comédien du personnage. Quant au film, c'est un petit bijoux que l'on redécouvre à chaque visionnage et dont la mise en scène impeccable de John McTiernan n'a pas pris une ride. Sans doute l'"actioner" ultime !

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Sur ce film, Terry Gilliam demande à Bruce de se débarasser de ses tics de comédien. Résultat : il livre une de ses meilleures performances. Le film, lui, demeure également l'un des meilleurs de son réalisateur.

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McT et Bruce sont de retour ! Ils élargissent le champs d'action et livre une suite qui aurait pu surpasser son illustre modèle si elle n'accusait pas une baisse de régime dans sa dernière demi-heure. Néanmoins, le duo nous délivre le meilleur film d'action des années 90.

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Nouvelle décennie, Bruce Willis renonce au cinéma d'action et devient l'égérie de M. Night Shyamalan. Avec INCASSABLE, il prouve qu'il sait jouer la comédie et arrive à nous émouvoir dans ce rôle de surhomme malgré lui.

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Tout ce que touche Wes Anderson se transforme en or (à condition d'être réceptif au style un brin "autiste" du réalisateur). C'est tout ce qu'il fallait à Bruce Willis pour nous livrer une belle interprétation dans ce rôle tendre du Captain Sharp ! L'acteur semble aimer son métier... ce qui est rare, au regard du reste de sa filmographie à la même époque.

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Une réussite inespérée ! Déjà parce que son auteur, M. Night Shymalan, semblait bel et bien perdu depuis LA JEUNE FILLE DE L'EAU. Mais aussi parce que Bruce Willis avait prouvé que surfer sur ses succès d'antan n'était pas un gage de qualité (remember DIE HARD 5). Et pourtant, GLASS est une vraie suite d'INCASSABLE, bien plus qu'elle n'est une suite de SPLIT. Après un bref caméo dans ce dernier (trop court pour figurer dans cette liste), on retrouve Willis avec plaisir dans l'un de ses rôles les plus touchants, celui de David Dunn. Sa prestation n'est pas aussi habitée que dans INCASSABLE mais on sent que l'acteur est bien décidé à nous livrer une belle interprétation, toute en retenu. Un retour salvateur !

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Juste avant la débâcle DIE HARD 5, Bruce Willis était à l'affiche de LOOPER. A la fois touchant et redoutable, il livre une belle interprétation en binôme avec Joseph Gordon-Levitt. Une vraie réussite qui manque cependant d'un peu d'originalité (on pense beaucoup à TERMINATOR et à L’ARMÉE DES 12 SINGES).

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Avant INCASSABLE, il y a eu SIXIÈME SENS, le film qui conforta Bruce dans son choix de réorienter sa carrière. Plus de dix ans après, passée la surprise du "twist" final, le long-métrage ne fait plus le même effet. Un excellent film fantastique à défaut d'être le chef-d'œuvre qu'il prétend être.

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Une sorte de DIE HARD 3 avant l'heure, par le scénariste de L'ARME FATALE ! Avec le personnage de Joe Hallenbeck, Bruce Willis campe un ersatz de John McClane (un pauv' mec ordinaire dans une situation extraordinaire). Plus orienté "hard boiled detective" que "actioner" décomplexé, la réalisation de Tony Scott rend le tout très efficace. Quant au duo avec Marlon Wayans, il fonctionne à merveille !
Anecdote amusante : le titre du script original n'était autre que DIE HARD.

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Suite au succès de PIÈGE DE CRISTAL, une suite fut aussitôt mise en chantier. 58 MINUTES POUR VIVRE ne s'affranchit pas du premier opus (comme UNE JOURNÉE EN ENFER) mais en propose un prolongement sans grande surprise bien qu'indéniablement efficace. Bonnes scènes d'action, excellents seconds rôles (quel plaisir de retrouver Franco "Django" Nero !), Renny Harlin prouve qu'il était un excellent artisan au début de sa carrière et signe là son meilleur film.

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Pour cette satyre orchestrée par Brian De Palma, Bruce Willis (pas encore "typecasté" héros d'action) retrouve sa gouaille de la série CLAIRE DE LUNE. Une interprétation sympathique mais sans éclat, à l'image du film. Une oeuvre sympathique bien que mineure dans la carrière du réalisateur de BLOW OUT.

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Un copié-collé de la BD sur film. Bruce Willis interprète un personnage "trop vieux pour ses conneries" qui aurait certainement plus convenu à un Clint Eastwood. Cependant, si on oublie l'œuvre papier, admettons qu'il livre tout de même une bonne interprétation.

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Pour ce vrai-faux film de série B "old school", Bruce Willis se fait plaisir en méchant militaire zombie. C'est un peu "over the top" mais c'est tout ce qu'on demande au film. Jouissif !

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Un DA VINCI CODE avant l'heure, mais sous acide ! C'est complètement absurde et abracadabrantesque, mais la bonne humeur et la gouaille de Willis emportent l'adhésion. Et puis les méchants ont des noms de barres chocolatées, Andie McDowell imite un dauphin, James Coburn fait des arts martiaux, Bruce chante du "blues"... que vous faut-il de plus ?

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18 ans après DIE HARD, Bruce Willis revient gentiment trainer du côté des thrillers d'action. Avec OTAGE, le réalisateur Florent Emilio Siri livre un film bien plus honnête que DIE HARD 4, centré sur les personnages et où l'action (assez pauvre, à vrai dire) est justifiée par des enjeux humains. Mais Willis n'est pas vraiment mis à l'honneur. Depuis qu'il a appris à pleurer dans INCASSABLE (ouais, parce qu'à l'époque d'ARMAGEDDON, ce n'était pas terrible), le bonhomme a envie d'élargir sa palette d'émotions à l'écran et s'illustre ici davantage dans les scènes intimistes que dans les scènes d'action. Au final, même si le film tient la route, on est frustrés de ne pas avoir eu plus de moments de bravoure tant la star du DERNIER SAMARITAIN semble davantage s'épanouir dans la dernière fusillade du film. Ah, ces acteurs !

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ATTENTION : cette note concerne la version alternative avec la fin initialement retenue par Richard Donner.
Faux film d'action, mais vrai remake non-avoué de L’ÉPREUVE DE FORCE, son intérêt réside avant tout dans l'évolution des personnages (plutôt bien écrits). Et qui de mieux que Richard Donner (L'ARME FATALE) pour tourner ce "buddy movie" ? Un film sans prétention avec un Bruce Willis convaincant et un Mos Def bien plus attachant que Justin Long dans DIE HARD 4.

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Passé un caméo vite torché dans le premier épisode, Bruce sort le fusil d'assaut pour la grosse scène d'action finale à laquelle l'a invité tonton Sly. L'occasion de le voir jouer au jeu des "punchlines" avec son ami Schwarzy. Un joli clin d'œil pour les grands enfants que nous sommes.

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Sachant qu'il ne ferait jamais mieux que DIE HARD 3 dans le domaine de l'action (et il avait raison), Willis délaisse son rôle de "bon pote" pour interpréter un personnage plus obscur. Dans cet énième remake de YOJIMBO, Bruce ne convainc pas totalement en successeur de Toshiro Mifune et Clint Eastwood. Dommage, Walter Hill semblait plutôt inspiré.

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Pour cette comédie à effets spéciaux de Robert Zemeckis, Willis campe un personnage pantouflard à mille lieux de John McClane. Et ça marche ! Son trio avec Meryl Streep et Goldie Hawn fait des merveilles. Dommage cependant que la deuxième moitié du métrage soit bâclée !

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Son apparition surprise dans son propre rôle constitue une mise en abîme fort sympathique pour un film qui l'est tout autant. Sympathique, oui... mais paresseux !

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Bruce Willis est plutôt convaincant dans le rôle de cet officier américain prisonnier des camps allemands, mais Colin Farell lui vole la vedette. Le film reste tout de même anecdotique.

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Un Bruce en petite forme qui n'a pas vraiment l'air de savoir ce qu'il fait dans cette super-production française certes impressionnante mais à qui il manque cruellement une âme. Besson pompe L'INCAL dans les grandes largeurs et en tire un film superficiel. Ça faisait illusion à la sortie mais c'est navrant aujourd'hui.

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Bruce Willis est plutôt sincère dans son interprétation (pas trop typée John McClane) mais l'intrigue ne tient pas toutes ses promesses. La scène finale vire un peu trop dans le pathos.

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Une nouvelle bonne interprétation de Bruce même si le seul intérêt de ce film est de le voir donner la réplique à Paul Newman (ça et les seins nus de Melanie Griffith soulevant son pull). Sinon, le film n'est pas génial.

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Le réalisateur de QUAND HARRY RENCONTRE SALLY retente le coup de la comédie romantique. Même s'il sont éminemment sympathiques, Willis et Pfeiffer ne font pas un couple convaincant. Un produit hollywoodien sans grand intérêt !

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Bruce Willis rêvait d'adapter le livre de Kurt Vonnegut, réputé inadaptable. Malheureusement, la réputation disait vrai. Un grand NAWAK qui devient un peu chiant sur la longueur !

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Une comédie pour enfants centrée sur le personnage du jeune North (Elijah Wood) qui décide soudain de changer de parents. Concept intéressant mais le film ne vole pas bien haut (faudrait pas prendre les gamins pour des cons, quand même !). Quant à Bruce, il vient cachetonner et base sa prestation uniquement sur son capital sympathie.

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L'idée de base est intéressante et aurait fait un bon film de Tony Scott. Malheureusement, Len Wiseman n'est pas Tony Scott. Bruce Willis semble avoir oublié ce qui faisait le charme de John McClane et interprète ici le rôle d'un vieux-beau invincible qui cherche les emmerdes. Il a beau bougonner comme dans PIÈGE DE CRISTAL, on n'y croit plus.

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Un film catastroph(iqu)e calibré pour faire pleurer dans les chaumières. Bruce Willis fait le minimum syndical et se contente de sourire en coin ou de ne pleurer que d'un œil. Quel homme, ce Bruce !