Anime addict : vu, en visionnage et à voir

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[Shinji Ikari n'a pas de pot dans la vie : sa mère n'est plus, son père est un sociopathe qui l'a abandonné, Shinji n'a pas de qualité spéciale... Ah si, il est qualifié pour piloter un Eva, ces robots humanoïdes, et donc se fighter contre les méchants Alien...Anges venus éradiquer une humanité déjà au bord du gouffre]

Je ne sais pas combien de fois j'ai vu Evangelion dans son entièreté... C'est pour dire l'amour que je porte à la série que je considère comme celle ayant les plus beaux méchas de l'animation japonaise, un scénario toujours aussi innovant, des personnages qui vous feront grincer des dents mais qui tous développés à leur juste mesure et bien sûr une animation top qualité qui ne vieillit pas.

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[Les hommes-bêtes oppriment depuis des générations les humains et les forcent à vivre reclus sous terre. Simon, le garçon qui sait forer mieux que personne, et son "grand frère", Kamina, font une découverte surprenante près de leur village, qui va peut-être les amener à la surface, et bien au delà.]

Oeuvre "récente" des studios Gainax, des méchas, des fusions, un peu d'amour, et un héros dont on apprécie l'évolution au cours de la série. Il m'ont un peu perdu à la fin mais les moments épiques que la série envoie sont worth it! Vous les avez pris pour qui ?!

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[Spike et son équipage éclectique parcourt - en musique - l'espace au gré de missions toutes plus dangereuses et intrigantes les unes que les autres]

Cowboy Bebop, c'est beau (à voir et à écouter). Certains épisodes ont une signature musicale qui m'a touché, moi qui ne suis pas DU TOUT sensible à la musique des oeuvres.

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[Un groupe d'amis d'enfance se retrouve plusieurs années après la mort d'une de leurs membres, Menma. Maintenant adolescents, ils sont toujours marqués au fer rouge par la mort de la petite fille. Notamment Jinta, qui a la "chance" de pouvoir voir et parler avec le fantôme de Menma. Celle-ci a un souhait qu'elle souhaite qu'il réalise...]

Une très belle fresque dépeignant l'amitié, l'adolescence, le deuil, l'amour... Ces enfants, bercés par la douce innocence de l'enfance, sont brutalement confrontés à la dure réalité de la vie avec la mort accidentelle de Menma, évènement qui va marquer le début de leur séparation. On s'attache très vite à chacun d'entre eux, jamais tout blancs tout noirs, et surtout à Jinta et Menma, ce petit couple turbulent. L'animé m'a bercé tout au long de ces 11 épisodes et il faut avouer que j'ai eu souvent les larmes aux yeux (avec l'espoir vain de voir Menma ressusciter !) et comme beaucoup, j'ai pleuré sang et larmes à l'épisode final... Tant d'innocence et de bonne volonté, de sentiments réprouvés, de désespoir dans le coeur de chacun, cela fait un cocktail détonnant et pognant pour un animé tout en justesse et en délicatesse. Mitsuketa :)

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[La famille Takakura, c'est deux frères, Shouma et Kanba, et leur soeur chérie, Himari. C'est balo, elle est atteinte d'une maladie incurable. Comment la sauver ? Les deux frères sont près A TOUT pour déjouer la malédiction de leur destin]

Tellement d'interrogations se bousculaient dans ma tête à chaque épisode, et pourtant, je n'ai pas décroché une seule seconde. Aux premiers abords, Mawaru Penguindrum prend un ton assez léger mais c'est pour souligner le ridicule et la fatalité du destin des personnages, qui révèlent chacun à leur suite leurs vraies couleurs. Croyez-moi, vous allez être surpris et interloqué. L'animation est dans son ensemble très bonne (même si un ou deux épisodes font exception). "Isn't it electrifying?"

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[Arima était un virtuose du piano, jouant à la perfection et au millimètre près n'importe quel classique, mais la mort soudaine de sa mère et mentor a mis fin à une carrière pourtant prometteuse. Un jour, il rencontre Kaori, une violoniste qui est tout son contraire: spontanée, jouant à sa sauce les partitions des grands maitres et surtout adorant la scène et le public! Poussée par Kaori, va-t-il reprendre le piano et passer outre son dur passé?]

J'ai autant pleuré que pendant le manga.

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[La belle vie d'étudiant ouvre ses portes à notre héros : club de tennis, club ciné, mascotte super-héros ou encore chef de la police de surveillance des vélos mal garés ? Quel destin va-t-il choisir ? Et qui va-t-il (re)croiser sur son chemin ? L'histoire d'un jeune homme pas très chanceux qui revit sans cesse ses années étudiantes !]

Je ne connaissais pas le concept de l'animé, donc cela a été un peu déroutant au début. On attend toujours avec impatience quelles nouvelles péripéties vont arriver au héros, alors que les épisodes suivent tous le même pattern! Chaque épisode nous livre un petit plus des secrets de chaque personnage, certains paraissaient "méchants" aux premiers abords mais tout n'est pas si monolithique dans la galaxie du tatami ! (Même Ozu, détestable, se révèle être le plus chou des persos !)
L'animation est très belle, constante, les couleurs sont chatoyantes et les passages avec des prises de vues réelles ajoutent encore plus d'originalité au design de l'animé. Je donnerais pour revivre ce moment ! :P

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[Ginko parcourt tout le Japon et rencontre des gens, et des créatures bizarres qui les embêtent. Heureusement, notre mushishi préféré a réponse à tout.]

Chaque épisode est comme un conte poétique et envoûtant : on se laisse facilement emporter par la narration et la BO très zen de cet animé qui nous fait voyager dans un Japon sauvage et pittoresque aux côtés de Ginko, un mushishi au passé trouble ("qui étudie les mushi", ces créatures oniriques normalement invisibles aux yeux des humains). Ici, ce n'est pas Ginko le héros, ce sont bien les divers personnages qu'il rencontre au fil de ses pérégrinations et bien sûr les mushi, qui sont mis à l'honneur.

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[Que feriez-vous si l'on vous obligeait à jouer à un jeu diabolique où votre vie est en jeu? Ce n'est pas forcément le gagnant qui connait le meilleur sort...]

Le concept m'a tout de suite plu. J'ai dévoré l'anime très vite, certains épisodes sont plus intéressants que d'autres.

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[Madoka rencontre une créature magique tout mignonne, Kyubei, qui lui propose de réaliser un voeu en échange duquel elle devient une magical girl destinée à combattre les méchantes sorcières. Un deal win-win? Loin de là.........]

PMMM fut une très bonne surprise pour moi, qui étais habituée aux Magical Girls toutes mignonnes (elles le sont), colorées (aussi) et gnan gnan (alors là pas du tout). L'atmosphère très sombre et le ton fataliste de l'anime est extrêmement bien amené et apporte toute l'originalité de cet animé dont l'esthétique vous laissera souvent pantois (j'ai beaucoup apprécié les Witch, leur univers et leurs familiers)

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[Tokyo. Différents quartiers. Différentes personnages. Quatre clans. Champ de bataille. Trahisons et révélations]

DRRR!! c'est plusieurs story lines propres à chaque personnage (atypique et attachant), à première vue, sans lien apparent. Mais le scénario est tellement bien ficelé que le spectateur se fait amener petit à petit à un final grandiose où vraiment TOUT prend sens. J'aime être surprise et DRRR!! a très bien fait ce job.

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[Le trio de héros s'est séparé. Le quartier d'Ikebukuro vibre toujours depuis la rixe entre les Dollars et les écharpes jaunes. De nouveaux personnages font leur entrée, pour des motifs bien obscurs, et vont perturber une paix si durement gagnée]

Cela m'a pris bien longtemps de finir la deuxième saison!

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[XXème siècle. La mafia. Les Etats-Unis. Un train, un bateau, une ville. Des immortels, des délinquants, des tueurs, deux voleurs-clowns au bon coeur.]

Il m'a été difficile de distinguer les différents groupes de personnages et les timelines au début (faites bien attention aux dates qui s'affichent avant chaque scène, pas comme moi!) mais l'intrigue, un peu décousue au début, notamment à cause de la multitude de groupes (et d'ambitions), se peaufine au fil des épisodes, à la fin, il est difficile de décrocher. Toutefois, comme Carol, on a du mal à savoir qui est le vrai héros de cette histoire, mais cela ne pose pas problème : chaque groupe est intéressant, fascinant à leur manière, ni méchant, ni gentil (oui, même les assassins trouvent raison avec moi). Néanmoins, je donnerai une mention spéciale au duo comique composé de Miria et Isaac, extrêmement hilarant à chacune de leur apparition, leur naiveté a du bon dans cet univers mafieux sans pitié. On apprécie que le jazz ait une grande place dans la bande-son, je ne suis pas du tout musique/BO etc. mais la musique m'a bien transporté dans le monde de Baccano
PS : les 3 derniers épisodes ne servent pas à grand chose. SPOILER : on aurait aimé que le personnage de Sylvie soit développé au lieu de passer en coup de vent, la révélation sur un des personnages tombe un peu à la va-vite, Graham ne sert à rien, la romance Clare-Chane est mignonne mais sans plus etc.

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[Ryuko veut venger la mort de son père, un scientifique un peu fou. Elle se voit doter d'un uniforme d'écolière "alien", Senketsu, et intègre l'académie Honnoji qui cache bien des secrets]

La hype autour de l'anime ne m'a pas touché, je l'ai vu des années après la diffusion. Un peu WTF mais ça peut plaire.

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[L'humanité coincée entre trois murs et pleins de titans aux aguets pour les dévorer. Tout le malheur du monde s'abat sur Eren, notre héros, mais il n'en démord pas et rejoint les Survey Corps, chargé des expéditions en dehors des murs (et accessoirement, de tuer des titans si besoin est). Eren se découvre un don inespéré]

AoT m'a réconcilier avec les anime après des années loin du petit écran et m'a fait découvrir un manga tout aussi palpitant. L'animation est bien sûr excellente mais c'est le scénario adapté du manga d'Isayama Hajime qui vaut le détour : qui n'a jamais eu envie de voir la souffrance et les efforts vains (?) de l'humanité face à une race inconnue qui veut tout simplement les annihiler? Tout ceci dans une ambiance semi-médiévale qui met en scène des personnages devenus incontournables dans la culture manga.

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[On mène l'enquête pour savoir si l'un des murs protecteurs de la cité est fracturé. Parfois, l'ennemi se cache là où l'on l'espère le moins]

Que puis-je rajouter? C'est bien un anime où je serre les dents, je crie de joie, je me roule parterre etc. Comme quand je lis le manga à vrai dire! Toujours du très lourd.

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[Le Sibyl System contrôle toute la société et prédit qui seront les futurs fauteurs de trouble dans ce monde utopique. Tsunemori Akane fait partie intégrante de ce système : son job (= police) est de s'occuper de ces éléments gênants, aidée d'une équipe composée justement de "repentis". Quel est le secret de Sibyl? Son jugement est-il si parfait et juste comme la société veut le croire ?]

Chara design par Akira Amano : must-see. Mais c'est le scénario et les personnages qui m'ont accroché, j'adore les stés dystopiques ! et les séries qui vous font réfléchir...

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[Akane Tsunemori a des convictions visiblement inébranlables. Toujours au service de ce système qu'elle n'a cessé de questionner dans la saison (et le film) précédente. Elle fait face à un meurtier indétectable (inarrêtable?) par le tout-puissant Sibyl System]

Urgh, jamais je n'ai eu affaire à un personnage aussi ch**** que Shimonotsuki dans cette série. Cela a rendu difficile le visionnage de cette très courte saison (SPOILER: non elle meurt pas malheureusement) assez passable (la fin de la saison m'a encouragé à mettre +1 à la note que je voulais mettre)

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[Okabe Rintaro est un "mad scientist" qui, avec sa toute petite équipe, parvient à créer une machine à remonter le temps. C'est bête, à force d'utiliser son nouveau joujou, il chamboule les time lines et se retrouve dans un beau pétrin]

Steins Gate met quelques épisodes à installer l'intrigue et les personnages (complexes d'où la longueur qu'on peut sentir pendant les dix premiers épisodes) mais il ne faut pas lâcher cet animé intriguant et émouvant: le retournement de situation en moitié de saison précipite le spectateur et Okabe dans une course contre la montre haletante et poignante.
L'animation est de qualité quasi constante au cours de la vingtaine d'épisodes, toute ces qualités font de Steins Gate l'un des animés les plus marquants qui m'ait été de voir dans ma courte existence.
El. Psy. Congroo.

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[Des couleurs. Des clans. Des rois. Champ de bataille. Un roi sans couleur vient tout déranger]

[K] m'a bluffé par son animation très dynamique et impeccable, ses personnages (remplacez le mot par bishonen) soignés et charismatiques. J'ai vraiment beaucoup accroché jusqu'à la dernière minute ! Et j'ai un peu pleuré, j'avoue.

Annotation :

K [Return of the Kings] fait suite à K [Project] et au film K [Missing Kings] : l'animation des combats est toujours aussi époustouflante (même si j'apprécie moyennement la gamme de couleurs utilisée et la lumière éblouissante surutilisée) mais malheureusement (SPOILER), même si l'apparition de nouveau(x) roi(s) et l'enjeu autour des Dresden Slates (au centre de l'intrigue) auraient dû rendre les choses bcp plus excitantes, la saison 2 de K est beaucoup moins mémorable que la première... (J'ai envie de me dire que c'est à cause de l'absence de Mikoto Suoh, notre personnage préféré à tous) Il y a en effet beaucoup moins d'enjeu et de tension que lors de la première saison, à cause du rythme et d'ellipses parfois trop rapides, de nouveaux rois et antagonistes peu charismatiques... Attendons de voir la saison 3 nouvellement annoncée !

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[Une société où les héros sont mis en scène comme des produits, adulés comme une star de TV. Kotetsu, un vétéran du milieu, doit se coltiner un nouveau venu, Barnabey]

Une animation de très bonne qualité, des personnages développés et j'ai adoré le concept de héros "bien commerciaux" et mis en scène pour combattre les méchants pas beaux.

Annotation :

[Gon n'a jamais connu son père, un Hunter de renom. Hunter vous avez dit? Ces personnes qui parcourent le monde à la recherche de trésors, d'argent, de mystères? Pour retrouver la trace de son paternel, le jeune garçon quitte son île paumé - encore et toujours - pour passer l'examen cruel et devenir à son tour Hunter...]

J'aime le manga, et comme l'anime est très fidèle à ce dernier... Je n'ai rien à reprocher à un des meilleurs shonen de WSJ. Après, par rapport à la première version de HxH, il est vrai que la nouvelle animation est plus potable.

Annotation :

[Hinata, malgré sa petite taille, rêve de devenir un grand joueur de volley comme son idole de l'équipe Karasuno. C'est tout naturellement qu'après son seul et unique match de volley au collège - et une cuisante défaite - il part réaliser son rêve et intègre le lycée Karasuno. Mais l'équipe de volley, jadis crainte par ses adversaires, bat de l'aile. Les corbeaux de Karasuno vont-ils reprendre des couleurs ?]