Banquet de kusoge (2025)

Annotation :

La liste de trigger warnings du jeu elle est baaaaad longue, mais j'aime bien la manière dont c'est écrit, un peu en mode dédramatisation anti-pipouisme.
Sympa de prendre le pari du walking sim pour un jeu pareil, mais bon logique vu le statut du jeu en tant que bail de game jam.
Vraiment sans concession dans son écriture, potentiellement un des jeux les plus important du genre.
La mise en scène du bail fait très Yume Nikki-isante et les décors me font beaucoup penser à ceux de la version GBA de Silent Hill 2, photo semi digitalisée sur game boy.
En tant que meuf trans évidemment que je me suis retrouvée dans pas mal de trucs notamment tout le rapport fétichisant au bail, impossible de vraiment savoir si les gens te verront vraiment pour ce que t'es et pas juste un putain de kink étrange mais excitant pour eux.
Puis le processus d'aliénation est hyper bien décrit, d'abord par ce manque d'argent pour les démarches de transition, notamment quand tu viens pas de famille aisée, dans un pays où y a pas de sécu. Et qu'en plus de ça t'es pas supportée par ta famille. Ensuite tout l'impact que peux avoir la violence des métier du sexe. Tout le bail des répondeurs notamment c'est un sacré truc. Puis tout les trucs de subversion de choix typique de ce genre de bail, au final qu'importe ce qu'on choisi l’issue est la même, manière de retranscrire par le jeu ce côté dissociation
Sacrement viscéral dans son écriture interne avec tous les dilemmes et la déshumanisation/dissociation face à ce genre de condition. Rien que le fait de changer de nom.
Le fait que le jeu il ait aucun son ni sfx, totalement muet ça aussi c'est un sacré bail précis, genre ça crée une expérience un peu badante si tu le fais sans aucun son autour et ça m'a fait sursauté au seul moment du jeu où y en a.
La représentation de l'autrice en fantôme c'est un peu Punpunesque, pareil pour le sol rouge qui fait très The end of Eva.
En tout cas ouais bah c'est un sacré jeu auto biographique sans aucune confession, la fin sur le rapport à l'amour des deux persos principaux m'a un ptit peu fait pensé à Catherine, où la bonne fin c'est de s'éloigner de ce genre de truc le plus possible sous peine de s'aliéner dans la pire relation à avoir jamais existé.

Annotation :

Bah euh c'est vraiment guez quoi c'est sacrément dommage pour le dernier jeu de KAZe pour Kamen Rider car les autres sont vraiment bons, surtout celui sur Kuuga pour lequel j'ai beaucoup de sympathie.
Au moins les menus sont jolis, j'aime bien les couleurs et le fond du bail.
Ça aurait été cool que la possibilité de switch entre les formes soit dans un bon jeu genre celui sur Kuuga par hasard.
Le mode histoire est viteuf original même si c'est dommage qu'il n'y ait aucune cinématique, le principe de barre de finisher à remplir me fait un peu penser au jeu Ultraman du studio.
Un peu con aussi de lâcher le moteur 3D de Kuuga pour faire un jeu en 2D un peu insipide comme ça.
Même si bon, au moins les combos sont un tout petit peu plus fluides. Par contre l'idée de stats à modifier pour un jeu de combat c'est tellement la pire idée du monde.
Le mode gallerie en mode shmup est golri aussi azy.
Mais bon j'en attend surement un peu trop d'un produit dérivé développé en moins d'un an.

Annotation :

C'est vraiment l’œuvre la plus grande du 21e siècle, trop grave que même un truc qui est globalement 1h de résumé des jeux pour 40 minutes d'histoire exclusive ait autant de soul et soit aussi puissant.
En gros c'est une espèce de compil de cinématiques marquantes sous forme de VN entrecoupée de forme de narration qui éclaircisse des trucs avec des ptits effets techno Y2K à fond avec les ptites images en mode fenêtre windows. Assez rigolo que les images du monde réel ça soit des extraits des animés.
L'aura farming colossal des titres de chapitres par contre comment ça "Genocide of the unfaithful" ?
Tout le truc sur Aura qui est une accumulation de la conscience de toutes les âmes qui ont pu fouler le sol de The World c'est trop kino, prévision de machine learning et des IA ou juste techno bullshit archi délicieux ? Qui sait... Puis bon le fait que l'IA centrale du jeu essaye de rendre fou son créateur pour que jamais il ne puisse la remplacer aussi absolute cinéma.
J'aime bien l'idée que ça développe Sora de Sign en tant que figure christique mystique énorme délice.
Tout le VN a une vibe Docu caché d'un Resident Evil sur l'analyse d'un virus numérique surpuissant qui a failli détruire le monde.
ils sont tellement fort en mise en scène CC2 c'est abusé...
Tout le truc du projet GU ca rend les autres jeux tellement cruels par contre c'est trop fort d'écrire un truc doomed comme ça. Tout le truc sur le fait de créer son propre dieu pour remplacer l'ancien qu'on a soit même tué nan c'est trooooop grave, pendant que SAO fait 47 chapitres sur Kirito qui veut baiser sa connasse de sœur de merde.
La fin du MMO into la fin du VN, ça m'a détruite, si beau et mélancolique, lourd de regret, j'ai trop hâte pour la suite. Ca transpire l'amour pour le genre et ses joueur à l'aube des 2000 où c'était encore un repère de marginal.

Annotation :

Genre le meilleur système de combat ever mais azy les passages de plateforme vraiment un truc de connard de faire un truc de merde au milieu d'un peak pareil.
Les 3 derniers niveaux sont imbitables c'est un enfer c'est trop dommage, heureusement que les boss tiennent le niveau même si le jeu abuse du bail de boss rush à un moment j'en peux plus frr.
Marrant qu'un jeu basé sur Gackt comme ça le voit si peu parler, les cinématiques on dirait celles de Mario Bros Wii mais bon azy hein au moins le jeu est claire sur son manque de scenar.
Un peu chiants mais ça va les collectibles j'ai vu pire.
Fin voila à pas grand chose de l'excellence, un peu le même soucis qu'avec Shinobi sur ps2 même si la plateforme était moins pire dedans.

Annotation :

Je sais pas pourquoi mais la présentation du jeu me fait trop penser aux jeux de l'oncle Ernest, probablement le fond en mode papier froissé.
En vrai faire les 3 routes ça a du me prendre une bonne dizaine de minutes, ptet son plus court même si Do I pass doit pas en être bien loin.
Les sprites sont pas incr mais y a une ptite vibe un peu abstraite coolos.
J'aime beaucoup le changement de point de vue qui alterne entre le docteur et la patiente entre deux CG, ça rend encore plus vener les choix pris par le docteur.
Ca epargne aucun détail sur les méthodes les plus vener de DIY qui existe, notamment tout le truc dans le magasins pour animaux avec la réplique "somme nous des sous humains" qui m'a vachement touchée, une sorte de continunation des thèmes de He Fucked the girl out of me, notamment pas la fin du milieu où on fait trainer le process.
le coup du mini film à la fin de la 3e route m'a fait pensé à Emio The Smiling Man, ce qui est quand même une sacrée qualité.
Court mais impactant, sur le côté froid de la thérapie pour avoir des hormones, avec la dychotomie de genre entre la narration et le dossier médical.
Je trouve le taff de Taylor Mccue hyper important parcequ'on a besoin de ce genre de jeu assez réaliste et froid mais qui portent un vrai message viscéral un bail qui dérange et qui donne envie de se battre pour sa condition quoi.
Et c'est bien dommage qu'une partie de mes conseurs l'attaquent par pur manque de media litteracy, parce que le jeu est pas assez wholesome Bridget Guillty Gear egg irl.

Annotation :

Un pur délice bis en mode vieux western ou film de samurai un peu cheapos.
Y a étonnamment beaucoup de mécaniques de combat, entre grab, renvoi de balles dodge parfait, contre attaque et pleins de trucs, ça compense le manque de possibilités de combo ou autre petits trucs auquel on pourrait s'attendre d'un jeu d'action post DMC à base de combo, de juggle et autres joyeuseté.
Je saurais pas trop comment l'expliquer mais ça me rappelle sacrément God Hand en terme d'ambiance hype aride.
Etonnant le système de rpg du jeu, particulièrement profond pour un bail pareil, je m'attendais pas à ce que Acquire mette leur maitrise du jeu d'aventure et de l'action rpg en scène à ce point là. Le système d'équipement qui s'affiche en cinématique c'est étonnamment ambitieux comme bail en plus de me faire penser à ce que faisait Transformers Devastation de Platinum mais en un peu mieux car c'est pas totalement cheaté, au contraire, le jeu est vraiment pensé autour de ce système.
Boss rigolos mais facilement cheesables.
Un ptit peu vener le step up de difficulté sur la seconde moitié, qui est, certes beaucoup mieux avec ses mini boss rigolos en fin de niveau à chaque fois.
D'ailleurs j'aime beaucoup les niveaux, même si y a genre 7 décors et à peu près autant de tracés sur les 16 niveaux bah c'est pas grave vu qu'ils sont genre super courts donc facilement rejouables sans trop de soucis.
Cool le doublage qui fait anglais ou japonais en fonction du contexte, ça me fait penser au rapport de Tekken à la langue.
Vraiment un jeu qui va droit au but, pas vraiment autre chose que du combat trop stylé et trop cool sur 5-6 heures, genre aucune phase de plateforme, quel délice.
Le niveau de racisme du boss final c'est trop drôle, quel plaisir de la couper en deux.
Un peu dommage le manque de signalisation sur les attaques chargées, pas un ptit clignotement, ça aurait pas été de refus.
Je me demande qui a pu jouer avec le mode FPS.
J'aime beaucou les chara design, surtout le héros et son frère qui me fait penser à l'être artificiel de Shadow Hearts 2.
Ca donne envie de dévorer les Way of the samurai.

Annotation :

Sacré intro visuellement mais azy frr la jiggle physics de la meuf et la penis music colossale qu'on se tape.
Trop drôle que les cinématique du mode histoire ça soir un espèce de powerpoint doublé, terrible par contre qu'il y ait pas de sous-titres, le côté saturé des voix rendent un peu le peu de scenar du jeu un peu imbitable. Ce qui est un peu dommage vu que les devs se sont sacrément enmerdés pour essayer de créer un tout un peu cohérent avec pas mal de détails et bals un peu sophistiqués.
Notamment toute la campagne de Danzaiver en mode full pastiche vieux toku des années 80 en mode space sheriff avec des écrans titres et des résumé d'épisode suivant à la fin de chaque combat.
Sacrément difficile en mode normal le jeu putain, l'IA est vraiment sous frozen c'est trop chiant de parer les 12 000 coups que l'IA t'envoies à la gueule.
Bien bien chouette les design de perso à part la meuf à gros nibards, les modèles 3D sont vraiment délicieux.
Particulièrement cassé et rigide en combat je trouve sans être injouable pour autant, l'idée d'avoir un jeu de combat à deux touches c'est intéressant mais les combinaison sont trop contextuelles et ça marche une fois sur deux.
Ca m'aurait tellement trixée gamine si j'avais eu 2 jeux sur ps1 tah l'époque.

Annotation :

En fait mon problème c'est que je pourrais jamais être totalement objective sur un truc en lien avec Baroque.
Vraiment un shmup sacrément rudimentaire, ça se sent que c'est un petit gadget filé avec 15 000 truc dans un joli fascicule, genre une horloge personnalisée et autre petites bêtises funky.
Très vite lassante et un peu osef la boucle de musique de jeu, ça aurait été plus simple de faire tourner une des musiques d'ambiance du jeu de base sur ps1 en boucle.
Trop trop chouette les petits sprites 2.5D importés du jeu ps1 pour en faire assez intelligemment des boss de shmup avec des nouvelles animations. Puis t'as ce décalage délicieux avec le boss en 2.5 contre le sprite du perso en 2D.
L'effet de bombe c'est un sacré screamer.
La résolution et le couleur des projectiles aident vraiment pas à comprendre ce qu'il se passe.
Sacré délice eschatologique ésotérique chaotique délicieux unique en son genre, aucun jeu ne peut ne serait-ce qu'effleurer l’esthétique du bail même son remake est à des années lumières d'être aussi bon.
Dommage qu'on fait plus des petits fanbooks bonus chouettos avec des ptits trucs à la con comme ça.

Annotation :

Par pure solidarité de condition et parce que c'est gratuit j'ai pas envie d'être trop méchante mais en même temps azy frr c'est une dinguerie de faire 2 à 3 fois plus de temps que le jeu moyen de Taylor Mccue sans avoir le moindre discours ou tentative de ne serait-ce qu'aborder la question trans politiquement, particulièrement égoïstement d'ailleurs, aucune question collective mais que des bails individualistes sur la manière dont l’héroïne et juste l'héroïne.
J'aime tellement peu l'artstyle pipou minimaliste funko pop transfem, puis le côté rose fadasse rend impossible le moindre moment un peu touchant autre que des bails viteuf mignon mais le côté factice du truc où tout se passe toujours bien, limite culpabilisateur en mode si vous avez des mauvaises conditions de vie c'est parce que vous vivez pas au bon endroit.
La trad française est super mauvaise mais même sans ça le côté hyper didactique des dialogues me fait me questionner sur à qui est destiné le jeu ? Pas à une meuf trans qui sait déjà tout ça nan ?
Le fait que toutes les fins soient les mêmes rend leur présence même inutiles et montre une forme d'incompréhension du medium que je trouve hyper questionnable.
J'ai quand même sacrément du mal aussi avec la protagoniste, je sais pas si ça veut être un self insert de l'autrice dont je doute pas des intentions ni de la sincérité ou une forme de semi-caricature positive des personnes d'egg irl en mode mauvaise estime de soi et autres bails de meuf trans "relatable".
Je comprend pas l’intérêt du service d'indice, s'il existe même.
Probablement par pudeur ou quoi mais le jeu n'aborde jamais rien, ne fait rien à part du yuri pain rassie pas très intéressant.
Je ferais pas les suites tout de suite ça c'est sur

Annotation :

Vraiment un petit chouette jeu multi avec des armes funkys qui se ressemblent clairement pas les unes aux autres, des maps assez magnifiques, bien brutalistes bien liminales tout ça gratos et rempli de machins à débloquer.

Annotation :

Quand même sacrément impressionnant de sortir un jeu aussi impressionnant et le filer totalement gratuitement, touchant presque de vouloir qu’une œuvre pareil puisse arriver à résonner avec le plus de monde possible.
Je trouve tous les décors particulièrement fascinants et magnifiques, rien que le premier au début avec ce ciel rouge et les figures immenses et incompréhensibles qui peuplent le ciel, surtout que personne ne questionne jamais leur existence, c'est assez délicieux comme worldbuilding trippy absurde avec ses yeux immenses dans le ciel de couleur étrange. Mi horrifique mi onirique.
J'aime trop les sprites en aplat 2D dans des espaces en 3D qui tournent sur eux-même comme si c'était un dungeon crawler ou juste bah Danganronpa oe oe. Puis qu'est ce qu'ils sont beaux, t'as presque un style d'animation différent pour chacun d'entre eux, puis tu sens l'inspi Dragon's Lair Zelda CDI dans certaines animations et dans certains dialogues, malheureusement lu par Madstalker. Très fan du petit chat en 3D composé de petites pièces et de la chômeuse du désert.
J'aime beaucoup les quêtes du jeu et la manière dont elles sont toutes imbriquées les unes dans les autres à par la seule que j'ai réussie à foirer parce que j'ai des trous dans le cerveau gougaga. On peut leur reprocher une certaine linéarité mais perso j'y vois surtout une logique de construction hérité du point n click, du coup ça donne un enchainement un peu dur, fin plutôt long à lancer (un peu du a mon style de jeu car j'adorais juste me balader dans le monde) mais qui glisse tout seul et qui est super plaisant à suivre.
Le passage dans le villa médiéval et l'énigme des maisons, à condition que ça en soit une bah ça m'a beaucoup fait penser à l'aéroport dans Flower Sun and Rain, même si en soit tout le jeu m'y a un peu fait penser, sans le côté du protagoniste totalement paumé, du coup, bah forcément c'était un petit classique.
Marrant que la seule fin que propose le jeu soit aussi badante, uncanny intriguante, et le fait que toutes les routes amènent au même truc.
Enfin bref, probablement un des meilleurs trucs auquel j'aurais pu jouer, bien hâte du chapitre 2, même si c'est pas pour tout de suite.

Annotation :

Le jeu il a un bug d'affichage trop bizarre dans les grandes zones, tu sens vraiment, comme le autres jeux, post Noprops que c'est des machins fait par deux mecs avec de la salive et deux fils de con.
Ça ressemble pas mal au premier sur certains aspects genre les énigmes un peu braindead du premier mais azy je suis débile du coup plus c'est simple plus ça marche sur moi et mon cerveau lisse.
J'aime bien la Da de certains endroits, genre c'est assez souvent un peu moche et cheap mais en même temps bon (10 balles + micro équipe) et quand ça marche c'est cool, fascinée par les statues mystiques et les passages dans les bains de brouillard et tout ça.
Par contre comment ça le jeu il a 8 fin mdr ? En vrai c'est simple à faire en plus le jeu te dit quand faut save pour les 8 chemins, en plus ça fonctionne un peu comme Shadow the Hedgehog j'aime bien.
J'aime bien le fait que les personnages s'affichent quand ils te suivent et que tu peux déclencher des dialogues, en plus ils ont vraiment un caractère dans celui là, ça donne un côté senritsu par désagréable au truc.
J'aime bien les chases de l'Oni, surtout les quelques scriptées où tu découvres une zone et faut trouver une cachette un peu à taton en courant dans les pièces, après les randoms sont vraiment juste chiantes sa mère au bout d'un moment, surtout que chaque zone a un peu son gros carré au milieu pour courir autour et le semer assez vite donc bon, ça devient un peu redondant parfois si on a pas de chance.
En vrai le fait qu'à part les types spéciaux qui ont tous une manière assez chouettes et spécifiques d'être semées et dont les chases sont semi scriptées, au bout d'un moment les chases aléatoires du Oni e base cassent un peu vite les couilles, surtout si on veut faire une run perfect, mais je me déteste pas assez pour ça.
Très cool séquence et boss final, très fan des zones originales du jeu et l'aspect mythologique + légende urbaine que prend le titre, presque un Senritsu.

Annotation :

C'est marrant les cinématiques du jeu elles sont en live action, comme quoi, aucun des AC de la console sont cohérents en terme de direction de cinématique. J'aime beaucoup la direction et les couleurs + les décors qui ont cette vibe de truc de 3D parfois pré rendu on dirait, trop fan. Le côté interview d'anciens soldats marche aussi assez bien vu comment le jeu est écrit comme une plongée dans cette guerre passée par un mec du présent.
Y a le début du message sur les frontières du 7 et comment le monde se passerait très bien d'elles.
Marrant d'intégrer au système de jeu un espèce de système de moralité, avec des target neutres qui donnent des points quand on les épargne. Assez intelligent comment justement ce système arrive à intégrer la morale anti guerre de la série directement dans le gameplay, en plus des dialogues de mission où plus tu joues de manière vertueuse moins t'es récompensé par le gouvernement qui t'emploie.
Niveau sensation de pilotage c aussi coolos que le précédent, pas beaucoup de choses ont changés par rapport au 5, même le système de commandes en combat a été gardé, bail marrant mais qui me manque pas, y a une option trop bien qui a été rajoute de pouvoir choisir dans quel zone dans laquelle se déployer.
Un peu le même défaut que le 5 mais je trouve les décors un peu trop gris alors que le jeu est magnifique donc j'aurais aimé un peu plus de couleurs, ça aurait pas juré, le 4 ou le 2 se démerdaient vraiment bien.
Tu sens qu'ils ont tout fait pour rendre le jeu moins long et étiré que le 5, en misant tout sur la jouabilité, mission courte, vraiment bonne, genre j'ai vraiment envie de les refaire. Y a le système de moralité qui fait que chaque mission à 3 variantes différentes + missions bonus + les collectibles trop cools, assez incroyable de voir une biographie de chaque mec qu'on a abattu en niveau et ce qu'ils font après la guerre ou juste après la mission.
C'est pile entre mission juste assez longue pour avoir de l'enjeu et faut faire gaffe et assez courte pour les refaire, pas comme le 5 où elles durent un peu des plombes. C'est une folie comment le jeu est dur, même en normal, je m'y attendais clairement pas.
A pas grand chose du meilleur épisode classique, genre pas le 3, si le jeu avait été un poil moins gris, ce qui rend les missions sous terres un peu illisibles.

Annotation :

J'apprécie beaucoup le fait que le jeu commence par une réflexion et un rapport à l'avatar encore plus poussé que dans Undertale.
Y a quand même une sacré évolution dans la DA et le pixel art globale, c'était pas moche avant, clairement pas, mais là c'est si beau.
C'est marrant que le nom de l'onglet change en fonction du moment où on en est dans l'histoire.
J'aime tellement les petits portraits des personnages, y en a tellement, surtout pour Susie, y en a au moins 4-5 différents juste au début.
Tu sens que ce bon vieux Toby Fox est bien fan de Touhou au point qu'on retrouve le système de graze dans son système de combat, qui est trop trop cool, j'aime bien quand les 3 personnages sont présents en même temps.
C'est fou comment le jeu est drôle, les dialogue des persos, leurs mimiques sont trop drôles, j'adore comment ça joue encore vachement avec son langage propre au jeu vidéo pour faire des ptites blagounettes.
Toby Fox est vraiment trop fort pour écrire des personnages drôles et détestables, genre Lancer, quel sale con, mais je l'aime beaucoup en vrai, pareil pour Susie ou tous les petits pnjs golri, genre le ver.
J'aime beaucoup comment on ressent encore plus le côté aventure du jeu, genre j'ai l'impression de jouer à un jrpg, y compris avec cette équipe dont les persos sont développés au fur et à mesure, genre Susie.
Étonnamment agréable à jouer à la manette, comme tout bon danmaku hehe.
J'avais peur au début de me faire marché dessus, mais en vrai c'est étonnamment plutôt sympa avec le joueur, j'ai vraiment du me heal une seule fois.
Encore des musiques de fou ce petit Toby.
Sacré délice le petit passage d'exploration à la fin.
Hmmm eh beh la fin, je m'attendais pas à ce que ça arrive aussi tôt.
Le putain de son des key items qui fait le bruit des touches rémanentes c'est pour me tuer.
Rigolo Jevil mais jme suis un peu faite cassée le cul, ça m'apprendra.

Annotation :

Dès les premières minutes, en terme de feel, on ressent purement la suite spirituelle de Jet Set Radio Future ce qui me met immensément bien.
La DA un peu pointue est chouettos, un peu low poly Dreamcast, pas l'esthétique qui me parle le plus mais ça m'évoque aussi TWEWY un peu, ce que j'aime énormément, les designs des persos et de la ville ramènent au début du millénaire.
Avec les couleurs et les séquences de rêves, on dirait presque parfois un jeu de Suda des années 2000.
Particulièrement fun à jouer, tout passe tout seul, pile entre complexe à apprendre et facile à prendre en main au début.
Je m'attendais pas à ce qu'une suite spirituelle de JSR ait un scenario aussi poussé, sympathique petit thriller funky. Beaucoup aimé la direction prise à la fin, bail cyberpunk vraiment chouette, à base de décapitation.
Musique trop chouette.
J'aime bien ce qui est fait avec les QTE personnalisés pour les graffitis au lieu de devoir les changer avant chaque mission.
Quelques asperités restent malheureusement, notamment les hitbox pas toujours incroyables, qui finissent par coller dans des endroits à la con mais aussi l'éclairage global que je trouve un peu mid, certains persos ont du coup un feel plastique c'est trop dommage.
Je trouve le système de police assez chiant car assez mal intégré, assez facile à cheese mais aussi désagréable par sa fréquence d’apparition trop élevée.
J'aime bien le niveau sur la plateforme ferroviaire, on dirait un peu celui à thème MGS2 dans Evolution Skateboarding de Konami.
Le jeu est vraiment à son apogée à sa fin quand il faut faire des niveaux hyper verticaux assez grisants, justement là où ça se différencie le mieux de ses modèles. Meilleurs niveaux à la fin du coup.
Fin il le fait aussi avec ses boss fight mais eugh je les trouve un peu guez pour être totalement honnête même si j'adore l'idée.
Physique des grind inconsistante un peu relou
Je préfèrerais toujours JSR Future à cause de toutes les petits aspérités du jeu MAIS si jamais une suite voit le jour corrigeant tous les petits pépins je pense qu'il y a moyen que ça soit vraiment excellent.
Solace petit ange.
Très bon jeu de chevet, chouettes maps dans l'ensemble, pile la bonne durée pour avoir envie de se faire ptites sessions temps à autre.
Je pinaille mais vraiment un très chouette jeu en tout cas.

Annotation :

Il y a Iria en 16 bit, le jeu est instantanément un classique, hop là.
Tu sens à la première mission que Super Metroid était déjà sorti et avait déjà laissé une sacrée empreinte sur le paysage.
Assez cool en terme de sensation, par trop dur en vrai. Un peu facilement cheesable dans sa difficulté de base.
J'aime bien les musique du jeux, elles sont funky.
Vraiment chiant par contre que le jeu ne t'indique jamais vraiment ton nombre de continues restants.
Je sais pas trop si j'aime ou je déteste les niveaux méga labyrinthiques où il faut se déplacer uniquement avec des indications textuelles dans l'oreillette, en vrai je pense que j'aime bien, c'est marrant.
La mission 3 c'est vraiment un sacré labyrinthe.
J'aime beaucoup la musique du deltaplane de début de mission.
Waaaaah la mission finale faut la faire, migraine à fond.
Dans l'ensemble sympathique, mais assez basique, y a un truc rejouable dedans mais je passe mon tour cette fois ci, je rematerais plutot l'oav.

Annotation :

Ça a trop une vibe de jeu développé par Red Entertainement.
Version émulateur avec un léger décalage son pendant les cinématiques pré rendu c'est un peu dommage. Y a pas l'air d'avoir de fix si ce n'est de jouer sur une vraie ps2, un peu la flemme en vrai (pas la thune lol).
Trad française hilarante mal branlée quel délice.
Trop cool les portraits pendants les passages en VN.
On sent au cinématiques pas très longues, aux animations hyper janky que c'est clairement pas un bulldozer de budget ou de moyen en général, ce qui lui donne totalement un charme d'underdog de la console.
On dirait limite le système de combat de End of Eternity avant l'heure mais dans un tps, c'est vraiment rigolo à jouer, même si glisse un peu. Un peu les gunfights de DMC aussi.
J'aime bien les combats de boss, c'est forcément un peu clunky (comme tout jeu d'action sur ps2 lol) mais ça se joue méga bien.
Sacré ost de pure zinzard.
Le rythme du jeu avec ses petits chapitres fait pas mal penser à un animé épisodique, à se se demander si y en a pas un ptit à se mettre sous la dent ou un Oav, parce que la dernière fois que c'est arrivé c'était avec Gungrave et c'est devenu un de mes animé préféré.
Mdrrr le boss du chapitre 2, on sent le filtre placé pour pas que le jeu soit terminé trop rapidement.
Y a un truc dans le jeu qui appelle son perso secondaire important Judas, et qui en fait un perso de tueur à la gage religieux à la Boondock Saint que je trouve très charmant.
Melodrame kino cascades et bullet time sous la pluie, difficile de faire plus années 2000 et ps2 core que cette petit kinoserie.
Par contre waaaaaaaaaaaah faut serrer les fesses, c'est sacrément dur. Mais quel plaisir de vider une salle.
L'impression de jouer à un petit miracle, je devrais pas toucher à une chose aussi belle, la plus grande fan de 10 000 bullets en vie, en plus les ricains l'ont pas eu.
Qu'est ce qu'elles sont cools les ptites variations du gameplay qui se débloquent.
Trop trop bon, y a visiblement plein de persos à débloquer dans les chapitres, hmmm ça va se le refaire en légende.

Annotation :

Dans la liste des jeux que je veux faire parce que Hilltop a traduit sur le jeu et qu'en général j'aime bien les jeux sur lesquels ils taffent, en plus d'être souvent plutôt courts. Genre là il dure 1h à peu près.
Pour de l'early ps2 je trouve ça assez joli en terme de 3D et de cel shading. Même si les persos on dirait trop xavier renegade angel.
Dev par Cavia, je suis donc légalement obligée de baser ma personnalité dessus.
Asssez mitigée sur les persos, y en a dont j'adore vraiment le chara design, d'autres où je suis un peu moins enthousiaste, genre le design de Camus, le protag est vraiment trop trop cool.
Pas facile de ouf, faut capter le timing, qui est pas forcément méga clair mais ça vient en jouant, ça reste un peu imbitable malheureusement.
Vachement dur mais quand même assez permissif en général pour une première run en mode histoire c'est cool.
Musique de fou par contre, c'est sûr que je vais réécouter l'ost pépère.
Forcément un jeu de rythme un peu janky par Cavia ça m'a fait penser à la dernière mission de Drankengard.
C'est quand même fou qu'un jeu aussi spécial soit sorti vraiment au début de la ps2, dès le début ça avait tout pour me plaire et devenir ma console préférée.
J'avoue j'aurais pas été contre que ça jacte un peu plus en mode histoire.
Je jure que c'est les mêmes bruitages que sur .hack.
Je pense que j'aime vraiment énormément ce jeu, je sens une espèce de fixation étrange pour celui ci.
Forcément le jeu a pleins de truc a débloque en le refinissant, ça m'a du coup fait pensé encore une fois à Drakengard.
Y a visiblement des collectibles dans les chansons, c'est vraiment surpuissant.
Ouaaaaah le dernier niveau sacré pic de difficulté.
Jeu qui transpire profondémment l'amour et qui est contagieux, je lui pardonne tout, wow quelle claque, je l'aime de tout mon cœur.
Je viens de capter qu'Hironobu Kageyama double un des persos du jeu.

Annotation :

Waaaah des fois y a des jeux tellement nuls faut s’asseoir dans le noir et prendre sa tête dans ses mains en se demandant comment on en est arrivé là.
Pire idée de caméra du monde avec une espèce de profondeur isométrique imbitable, faut tanker ça pendant une heure, franchement je préfère me prendre une balle pour de vrai à ce niveau là.
Ptdrrr ah ouais le niveau, le dernier jeu du studio c'est une adaptation d'Icarly.
Je vois beaucoup de gens parler du dur passage à la 3D avec les consoles de salon mais ouah l'enfer que c'était sur console portable.
Le seul truc qui le sauve c'est que c'est pas trop moche.
Injouable, chiant mais visiblement canon d'une manière ou d'une autre.
Visiblement les prochains que je fais sont tous sauf les meilleurs mais azy ça sera forcément mieux que ça.

Annotation :

Envie de faire quelques jeux courts encore avant de dévorer Fuga 3 et gouter un peu ce qui se fait dans le jeu indé.
Une pote m'en avait parlé comme quoi c'était vraiment sympa et court.
Joli de fou en tout cas, les cinématiques en anime et le pixel art est vraiment trop trop chouette.
Pas oméga fan de la musique en tout cas.
On dirait vraiment le début d'Omori c'est un peu troublant. Mais genre plus le jeu avance plus ça m'y a fait pensé, même dans les choix de design genre le style dans les rêves.
Marrant ça se contrôle presque pareil que FF14 avec la souris.
Quand même énormément d'effort pour ce qui est juste une démo, c'est genre un peu bizarre, ptet ça prendra sens dans le jeu sorti après.
Le perso qui dit qu'il observe ça m'a déclenché des flashback de 25th ward.
Sympa et joli dans l'ensemble mais bon ça sent qu'il y avait pas grand chose à raconter plus que ça mais malgré tout is ok ouais.