Ces fins marquantes du jeux vidéo

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Je débute avec celui qui est probablement mon jeu préféré. Comment ne pas être marqué, après tant de temps passé à chercher des réponses en compagnie de Sans-Nom, par sa rencontre finale avec sa propre mortalité, par ses adieux avec des personnages aussi charismatiques que ses compagnons et par son réveil final qui le condamne à combattre dans la Blood War pour l'éternité, en payement de ses crimes ?

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En voici un qui a fait débat. Mais le sacrifice de Booker par Elizabeth m'aura ému, plus encore parce que les développeurs d'Irrational Games ont laissés des pistes laissant penser que ce sacrifice fut vain et que la boucle n'est pas brisée.

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C'était assez évident vu que le jeu dans son ensemble est une réussite quand il s'agit de faire ressentir des émotions. Sa dernière partie, le retour vers le père, toute la tristesse qui l'accompagne et qui marque la fin de l'innocence et de l’insouciance du cadet est un grand moment.

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Lui aussi a fait débat. J'ai une relation amour/haine avec la fin de Mass Effect 3, qui explique sa présence à la fois dans cette liste et dans celle sur les pires boss de fin. Mais avec du recul, j'en suis venu à apprécier le sacrifice final de Shepard (mon choix) pour que l'humanité ait une chance de survivre.

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On l'oublie un peu devant le gâchis scénaristique que fut Darksiders 2, mais la fin de la quête de War était énorme en terme de promesses. Le boss final éliminé, War découvrait la traitrise du Conseil et se retrouve promis à une nouvelle guerre contre celui-ci. Le dialogue final et le plan sur l'arrivée des 3 autres cavaliers étaient magistral. Dommage vraiment.

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Qui aurait crû que Rocksteady oserait tuer l'un des personnages majeurs du Batuniverse ? Pas moi en tout cas.

Le sort du Joker sonne donc comme un choc, une surprise totale. Le Joker meurt pour n'avoir finalement pas crû que Batman le sauverait malgré tout. Batou perd son meilleur ennemi et la scène de Batman sortant d'Arkham City, le corps sans vie du Joker dans les bras avant de le déposer et de partir sans un mot en dit long.

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Le jeu lui-même est un TPS pas exceptionnel lui de là. Mais la plongée dans l'enfer de la guerre est marquante tout au long du jeu et sa fin est la hauteur. Ou plutôt ses fins, puisqu'ils y a encore des alternatives après le choix de se suicider qui est donné au joueur.