Ces petits disques sympas et souvent oubliés...

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Certes, les deux compères ont fait mieux.
Et même pire aussi quand on y pense.
Ici il y a du moyen et du bon, voire du très bon quand on y songe (ahhh, "Fontainebleau" *petit coeur avec les doigts* ). A redécouvrir donc.

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Après un premier album enchanteur, une trilogie passionnante et un album de reprises, Nyro entame une période plus en retrait où pourtant peu se lire le début d'un nouvel amour (et un enfant à venir, thème principal de "Nested" à venir juste après), d'une joie et d'une sérénité qui apportent une maîtrise simple aux chansons.

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Avec "Smile", l'album par lequel j'ai découvert Laura Nyro. Une musique qui vous enveloppe de générosité et de bonheur, de la joie simple, qu'on a tendance à oublier de nos jours. Evidemment on est loin du frappé-dynamique de "Eli and the thirteen confessions" mais c'est bon aussi. Cela travaille plus sur la durée que l'immédiat cette fois.

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L'unique oeuvre du batteur des Beach boys et finalement une oeuvre aussi belle et importante que celles de son frère Brian. Des chansons pop un peu tristes et mélancoliques avec dedans 3,4 joyaux véritables qui brillent et témoignent d'une belle écriture.

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Oui, oui "present tense", mais bon, mis à part, pas dégueu non plus ce second effort non ? Oh allez, vous êtes durs.

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Le premier album de Bill Fay. Des petites perles méconnues qui en font un grand bonhomme, très grand. On appelle ça "avoir la classe". Et Bill l'a.

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Quand une spécialiste des percussions décide de créer un monde musical à la fois proche de l'ambiant et riche en lignes hypnotiques. Fascinant.

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Pour la piste titre, bien sûr, merveille de sensibilité magique, mais le reste se révèle tour à tour fascinant et sympathique, oscillant souvent entre classique, jazz-fusion et musique contemporaine expérimentale.

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Doux comme de la soie.

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De Spirit, il faut avoir les 4 premiers albums, indispensables mais les autres valent aussi le coup d'oreille. Quand à choisir, plutôt que de mettre "12 dreams of dr. Sardonicus" (effectivement fabuleux), je penche pour ce fabuleux "Clear". Réhabilitons Spirit, groupe inclassable maniant génialement psychédélisme, rock, folk, blues et jazz.

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Le second album de notre crooner jazzyrockbluespopfolk, du bon évidemment avec toutefois une connotation plus folk que ce qui suivra, ce qui ne gâche rien évidemment.

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Bread c'est comme le bon pain.
Pardon je... je sors.
Mais bon, il suffit d'y goûter une fois pour y être addict cela dit. Des petites pop songs/rock songs taillées dans du diamant.

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Même commentaire que précédemment : bonheur.

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Une petite merveille folk, pure comme du cristal, un peu passée inaperçue.

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De la folk encore. Plus folk-rock même. Mais qui passe aux prisme toutes ces idées et part à chaque fois vers une nouvelle direction à chaque titre. Passionnant.

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Touché par la grâce de bout en bout. Profitons en, l'album d'après même bon n'atteint pas un tel niveau de bonheur.

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Le claviériste des Doors se fend d'un délire passionné de jazz-rock sur fond de mythologie egyptienne. Succulent.

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Entre techno, minimaliste et légères poussées ambiants (Aphex Twin sort de deux Selected ambiants works essentiels), un petit disque à redécouvrir. Une plongée fascinante techno/hardcore/minimaliste qui peut toutefois vite fatiguer l'auditeur. A consommer à petites doses donc.

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Quand Sylvian s'embarqua en solo, il choisit de tracer un sillon de pop abstraite et planante, parfois sur les pas de Brian Eno. Ce disque vire à l'épure au fur et à mesure qu'on se rapproche de la dernière minute... et y parvient.

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Folk-rock aux accents hautement celtiques et traditionnels avec un charme qui, s'il ne vous prend pas forcément dès les premières écoutes, s'infuse lentement tel le venin.

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Parce que c'est Craig Armstrong, on a tendance à oublier ce disque. Il ne faut pas. Pour les fans de minimalisme au piano et d'Erik Satie, que du bonheur.

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Parce qu'il n'y a pas que "Deserter's song" dans Mercury Rev. De fait, les disques qui entourent "DS" sont très biens. Voire grandioses également comme ce "All is dream" presque quasi parfait.

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Morrison n'est plus. Mais c'est pas une raison pour se laisser abattre. Et Les Doors restant, un peu habitué depuis quelques temps des frasques de leur leader avaient chacun continué à composer dans leur coin. Surprise donc, même sans la voix du regretté Jim, ça se révèle pas dégueu du tout. Manzarek affine même sa voix (quelques années plus tard en solo, il sonnera même comme Jim Morrison, c'est troublant) sans pour autant exceller comme le défunt. Mais l'effort est plus que louable, de très bonnes pépites ici si l'on fait l'effort de laisser le roi lézard de côté.

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Comme Bill Fay du songwriting de qualité à redécouvrir d'urgence.

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Un album tout doux puis plus rien pendant 44 ans avant qu'elle ne resurgisse pour un second (et merveilleux) album. Mais les graines plantées en 1970 avaient eu le temps de pousser dans les consciences...

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Minimaliste, tendre, anodin, et pourtant en fouillant, ça trotte dans la tête.

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Probablement le meilleure de son auteure avec cette voix susurrée qui n'appartient qu'à elle au sein d'un univers folk, pop et jazz où la douceur est une amie qui côtoie l'inquiétude.

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Judee Sill eut une carrière météoritique et éphémère. 2 disques avant une disparition suite à une overdose de cocaïne en 1979 à 35 ans. Comme beaucoup pourtant, elle fait montre d'un talent formidable à redécouvrir de toute urgence.

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Une petite perle d'un plus ou moins parfait inconnu.
On connaît l'histoire, un seul disque généralement mais c'est sublime.

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Un petit disque et pfffuit, split.
Mais à son époque et pour un bon moment il aura marqué une bonne tripotée de musiciens, de Oasis à Ride en passant par les Stones Roses. Un classique caché.