Cover Chosta - Petrenko

Chosta - Petrenko

Vasily Petrenko, tout jeune chef à la tête du Philharmonique (Royal !) de Liverpool, va compléter dans les semaines à venir sa belle intégrale des symphonies de Chostakovitch, entamée il y a 6 ans maintenant. C'est l'occasion de faire cette petite liste récapitulative, histoire de partager ...

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5 albums

créee il y a plus de 9 ans · modifiée il y a presque 9 ans

Symphony no. 8

Symphony no. 8 (2010)

Sortie : mai 2010 (France).

Album de Dmitri Chostakovitch, Royal Liverpool Philharmonic Orchestra et Vasily Petrenko

Tom_A a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Une splendeur - certainement un de mes plus beaux disques - enlevée par une tension qui ne s'écroule jamais (est-ce du fait de la matière ou de son interprétation, dur à dire sans être spécialiste).
Typiquement le genre de chose vers laquelle je vais revenir, année après année.

Symphony no. 4

Symphony no. 4 (2013)

Sortie : octobre 2013 (France).

Album de Dmitri Chostakovitch, Royal Liverpool Philharmonic Orchestra et Vasily Petrenko

Tom_A a mis 9/10.

Annotation :

A réécouter (absolument ! et avec plaisir !!)

Symphony no. 7 "Leningrad"
8

Symphony no. 7 "Leningrad" (2013)

Sortie : mai 2013 (France).

Album de Dmitri Chostakovitch, Royal Liverpool Philharmonic Orchestra et Vasily Petrenko

Tom_A a mis 8/10.

Annotation :

Parfois boudée pour sa longueur, pourtant émaillée de beaux moments, cette célèbre 7eme a du panache à revendre ! Cette version m'a tenue de bout en bout.

Symphonies nos. 5 & 9

Symphonies nos. 5 & 9 (2009)

Sortie : octobre 2009 (France).

Album de Dmitri Chostakovitch, Royal Liverpool Philharmonic Orchestra et Vasily Petrenko

Tom_A a mis 8/10.

Annotation :

La 5ème symphonie, évidente, pleine de jolies choses sans céder au sirop, est et restera surement la symphonie la plus célèbre de Chostakovitch. La preuve ? Je la connaissais avant même de m'attaquer à cette intégrale..
Ici, on est frappé par la lenteur, et tout particulièrment pendant le Largo, qui en perd presque sa tension, jusqu'à ce fameux éclatement central, qui semble voué à hérisser le poil de toute façon. Clairement, l'effet est fonction de l'humeur au jour de l'écoute !

La neuvième, particulièrement courte, semble une facétie de la part du compositeur. Dernière "symphonie de guerre", après les grandes 7ème et 8ème (mon dieu cette 8ème...), qui dépassent chacune une heure, on était en droit d'attendre une apothéose à la hauteur du chiffre 9, sur lequel plane forcément l'ombre de Beethoven. Mais non. Envers et contre tout, cette 9ème s'emballe en 25 minutes. Plus joyeuse et optimiste que ses deux grandes sœurs, elle rafraichie par sa légèreté virevoltante pas très loin de certain classiques (vous avez dit Haydn ?).
La version qu'en donne Petrenko est splendide de contrastes marqués, vivante et enjouée, explosive souvent, sans perdre son ton primesautier à la limite de l'ironie. La classe.

Tom_A

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