Classement subjectif du plus mauvais James Bond au moins pire

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Je crois qu'on peut dire que la métamorphose de la franchise est parachevée. D'ailleurs, cette saga n'a plus grand-chose à voir avec tout ce qui avait été proposé avant l'arrivée de Daniel Craig, ni même avec le genre du film d'espionnage puisqu'on est plus proche du film de super-héros façon Christopher Nolan. C'est beau, c'est bien écrit ; le meilleur James Bond jusqu'à présent.

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Un bon film d’espionnage qui a le mérite de proposer des antagonistes iconiques. La BO est, comme souvent, très réussie. Par contre, le comportement de James Bond avec les femmes est très dérangeant. Même si l’époque est aujourd’hui différente (curieux de voir comment le « charme bondien » est mis en scène avec Daniel Craig), ce n’est pas simple d’en faire abstraction quand il s’agit d’agressions sexuelles.

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C'est tout simplement incroyable ce que le réalisateur et les producteurs, qui travaillaient pourtant sur les précédents films, ont accompli comme travail pour renouveler la franchise lors de l'arrivée de Daniel Craig. D'ailleurs, l'idée de faire redémarrer la saga est aussi audacieuse que pertinente. Et puis, il y a le soin accordé à l'image qui doit véritablement être salué et qui tranche avec tout ce qui a été proposé jusqu'à présent. Enfin, s'agissant de l'écriture, là aussi, cela revient à comparer du caviar avec des oeufs de lump. Même si, pour être tout à fait honnête, le film m'a un peu perdu sur la dernière demi-heure.

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Avec l'arrivée de Timothy Dalton, c'est la mise à jour nécessaire d'une franchise qui se modernise. Pour cette raison, le James Bond nouveau se rapproche de celui, atypique, de George Lazenby. Cette fois, pas de "James Bond girls" en veux-tu en voilà mais un espion concentré dans sa mission, sans les habituelles fioritures dans l'écriture. À noter également : une intrigue plus recherchée que ce que j'ai pu voir jusqu'à présent en sortant de l'éculé conflit US-URSS pour se concentrer sur l'Afghanistan ; des scènes d'action aussi réussies que captivantes et l'une des BO les plus réussies de la saga.

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Décidément, à deux doigts de penser que Timothy Dalton est le meilleur interprète de James Bond. Après Tuer n'est pas jouer, il est de retour dans un film tout aussi réussi notamment parce qu'il sort du cadre viriliste habituel ; ici, tout part de la volonté de James Bond de se venger pour un drame qui l'a personnellement affecté. En découlent un scénario plus travaillé et des personnages qui impriment leur marque.

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Honnêtement, je ne comprends pas la moyenne si basse pour ce film. Pour la première fois depuis longtemps, en regardant un James Bond, j'ai vibré devant les effets spéciaux, j'ai ressenti un quelque chose grâce à une réalisation plus travaillée, j'ai été happé par une écriture plutôt classique mais pas trop et des personnages un peu plus intéressants qu'auparavant. Le meilleur James Bond sous l'ère Roger Moore.

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George Lazenby campe le rôle de James Bond le temps d'un film et c'est une bonne chose. L'espion est moins sûr de lui, moins outrancier aussi avec les femmes ; il en est presque touchant mais il est surtout amoureux. Cette fois, il n'y a pas de happy end et on saisit dans les dernières secondes le caractère unique de ce film. Une bonne expérience donc si l'on oublie la réalisation qui laisse à désirer et l'intrigue principale pas encore convaincante.

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À nouveau, je suis un peu gêné par cette moyenne Sens Critique. J'imagine que les exigences après Casino Royale étaient grandes mais ici, on est quand même loin de certains James Bond insipides. Ce film est plutôt une réussite avec, certes, des faiblesses notamment au niveau de l'écriture de l'intrigue comme des personnages mais on a une image toujours aussi travaillée et des scènes d'action particulièrement efficaces.

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On sent que la franchise commence à trouver un style et qu’elle bénéficie aussi peut-être de plus de moyens. L’histoire est un peu moins abracadabrantesque.

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Il y a du mieux et je pense pouvoir dire que la présence de Christopher Lee en tant qu'antagoniste principal donne de l'épaisseur à l'intrigue malgré un scénario peu recherché. Par contre, la "James Bond girl" qui se fait appeler "Bonne-nuit", qui vit en bikini et qui fait sauter une usine en appuyant malencontreusement sur un gros bouton rouge avec ses fesses...

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Pas le meilleur James Bond, pas le pire non plus. Il manque parfois de rythme, d'autant plus qu'il est long, très long. L'intrigue principale, peut-être parce qu'elle n'est pas très bien écrite, ou bien par fatigue de ma part, m'a paru assez obscure. Le personnage de Léa Seydoux comme les antagonistes m'ont à nouveau laissé indifférent. Mais la fin est audacieuse et marquera la saga.

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Jusqu'à présent, le plus mauvais James Bond selon la communauté Sens Critique ; c'est beaucoup d'honneur pour certains films de l'époque Roger Moore. Alors que je regrettais le manque d'écriture pour les deux précédents volets, je ne peux que me réjouir du gain de subtilité pour ce long-métrage. Sophie Marceau incarne une antagoniste, certes caricaturale dans sa soif de destruction et de pouvoir, mais qui a le mérite de jouer un rôle ambigu dans la première moitié du film. Si l'on ajoute à cela l'importance enfin donnée à M et l'action à gogo, ça fonctionne pas trop mal.

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Depuis l'arrivée de Roger Moore, on dirait bien qu'un style efficace s'installe. Ça n'en fait pas des films particulièrement réussis mais des films qui se regardent. Sans parler de la misogynie, le duo entre les deux agents dans ce long-métrage n'est pas déplaisant. Toutefois, l'intrigue (un méchant non-aligné dans la guerre froide qui veut anéantir les deux superpuissances) sent le réchauffé.

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Même si le soin accordé à l'image demeure, ce long-métrage, par son écriture, ne m'a pas seulement déplu, il m'a aussi déçu. J'en attendais bien plus, d'abord parce qu'il succède au meilleur film de la saga mais aussi parce qu'il met en scène le plus grand rival de James Bond, Blofeld. Or, l'attente avant la confrontation survendue est nourrie de dialogues tarte-à-la-crème entre Daniel Craig et Léa Seydoux. Pire, cette confrontation justement oppose un James Bond sans aspérité, voire un peu noeud-noeud, avec un Blofeld assez peu impressionnant. Une déception, je disais.

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J'ai beaucoup aimé l'introduction de ce James Bond non-officiel qui s'amuse du déclin physique du héros. Pour le reste, l'intrigue - parfois - incompréhensible m'a - souvent - perdu. Et puis il y a cette scène dans laquelle Sean Connery (qui se fait vieux) se retrouve à affronter son ennemi dans une obscure partie de jeu vidéo (??). Mais avec un cachet de 5 000 000 de dollars, l'acteur n'avait pas le droit de dire "jamais".

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Une nouvelle étape de la franchise avec l’arrivée de Roger Moore dans un film tout à fait moyen. J’en profite pour m’interroger publiquement : pourquoi j’ai si souvent le sentiment de voir une adaptation d’un récit d’espionnage digne des Totally Spies ? Genre James Bond est capturé 1000000 fois et à chacune de ces captures, le grand méchant trouve un moyen toujours plus absurde pour se débarrasser de son rival sauf que évidemment le procédé échoue alors qu’il suffirait simplement d’un coup de feu… Par contre, sympa le morceau-titre de Paul McCartney.

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Un détour SF dans la saga James Bond. Ça n'aurait pas été déplaisant si un scénario de meilleure facture avait été proposé. Michael Lonsdale fait plaisir à voir.

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J’ai décidé de regarder, pour la première fois, tous les James Bond. Je sens que ça va être long.

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J'observe avec beaucoup de scepticisme l'engouement pour ce film. D'abord, je le trouve très marqué par son époque. Ensuite, je suis mal à l'aise par le fait qu'il prétend moquer (critiquer ?) la misogynie de James Bond alors même que je n'avais encore jamais vu autant de blagues sexuelles gênantes que dans ce long-métrage. Le jeu - caricatural - des acteurs ne m'a pas convaincu et l'interprétation de Pierce Brosnan, qui devait incarner une modernisation bénéfique de la saga (partiellement réussie), m'a laissé indifférent. Faut dire que la nouvelle écriture à gros sabots du personnage n'aide pas. Vous l'aurez compris, Timothy Dalton me manque.

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Une débauche de spectacle relativement efficace mais une intrigue limitée qui tient en deux lignes. C'est d'autant plus dommage que ce film a, par certains côtés, un aspect visionnaire en abordant des sujets comme l'influence de la Chine en mer de Chine méridionale ou bien l'instrumentalisation de l'information omniprésente à des fins (géo)politiques. Mais tout cela n'est qu'effleuré ou traité grossièrement.

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Le dernier James Bond de l'ère Roger Moore. Un duo Christopher Walken-Grace Jones envoûtant. Mais c'est tout ; rien d'autre à retenir.

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Quand j'ai vu la voiture qui avait la capacité de devenir invisible, je me suis dit que c'était un peu trop. La suite du film m'a donné raison. Une débauche d'images de synthèse, des inventions futuristes et excessives qui dénaturent la franchise, un revival de la James Bond girl qui est finalement la supplétive du grand méchant,... Pierce Brosnan quitte la saga après quatre films plutôt gâchés. Entre le classicisme originel et la volonté de - littéralement - tout exploser, il y avait une voie médiane dans cette recherche de modernité. Son nom est Craig ?

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Sur le papier, l'idée est bonne (une organisation secrète qui attaque aussi bien les Etats-Unis que l'URSS pour provoquer un conflit entre les deux puissances) mais alors, c'est vraiment mal écrit, mal joué et moche. Heureusement, Nancy Sinatra était en charge du morceau-titre.

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Impossible de dire si c'est à cause de ma fatigue ou si c'est l'ennui mais j'ai bel et bien passé un moment pénible devant ce film. Allez, on retiendra néanmoins la course-poursuite en voiture plutôt bien filmée.

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Le scénario, c’est finito, c’est désormais de l’action, de l’action et de l’action. Mais j’ai ressenti beaucoup d’ennui devant ce film qui ne met en scène que des personnages insipides. Même James Bond semble fatigué. On retiendra néanmoins la prouesse technique des scènes sous-marines.

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Un film insipide qui ne présente aucun intérêt, ni aucune originalité. La scène d'introduction comme la scène finale sont ridicules ; entre les deux, un scénario classique et ennuyeux. Au fond, c'est pire qu'un nanar qui provoque l'amusement.