Cuvée et commentaire 2021

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Comme d'habitude à chaque fois que je vois une série, je me sens obligée de lire l'œuvre dont elle est tirée. On ne peut pas dire que ça soit de la grande littérature et honnêtement, j'ai trouvé la série meilleure que le livre, c'est dire. La traduction que j'en avais était vraiment très mal écrite, je me demande si une lecture en anglais ne l'aurait pas rendu plus appréciable.

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Curieuse de voir comment la série allait donner suite aux aventures de Daphnée et du Duc dont j'ai déjà zappé le nom, je me suis lancée dans le tome 2. Ca me semblait assez difficile de donner une suite puisque leur arc narratif est terminé et n'a donc que peu d'intérêt. Ici, on suit donc un autre personnage de la fratrie et ce n'est pas plus mal. Je pense avoir trouvé plus d'intérêt à ce tome ci qu'au premier, mais même constat, vite lu, vite oublié. A noter que la traduction française est abominable.

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Je dois bien l'avouer, j'ai zappé le tome 3. Rien qu'au résumé, je savais que ça m'emmerderait, si je veux lire un Cendrillon revisité, je vais lire l'excellent "Ella l'ensorcelée" qui n'a jamais ( à mes yeux) été détrôné. Du coup, curieuse de savoir qui était la fameuse Lady W. Je me suis lancée dans le tome 4. Les personnages sont toujours aussi sympathiques, on s'amuse encore bien, mais ça sera le dernier tome pour moi. Des trois que j'ai lu, ils ont tous plus ou moins la même construction et on ne fait que relire la même histoire avec un ou deux détails différents à chaque fois.

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Lu dans le cadre du travail, j'ai un peu traîné sur ce bouquin. La première partie quoique très intéressante est un poil plus laborieuse, mais la seconde est vraiment passionnante. Ca se lit très vite et ce que j'aime beaucoup avec Moukheiber, c'est que c'est vraiment accessible. Une lecture que je conseille à tout le monde en ces temps où n'importe quel Jean-Kévin (désolé pour ceux qui ont hérité du prénom) se déclare expert en tout et rien.

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C'est un livre que je lis assez souvent, peut-être une fois tout les deux ans, alors pourquoi le relire quand je le connais par cœur ? Je dois avouer que j'ai vu l'horrible adaptation en série de "Sanditon" et j'ai trouvé ça tellement mauvais que je me suis dis que j'allai relire le livre pour voir pourquoi l'intrigue a été massacrée comme ça. Après relecture, force est de constater que je ne comprends du tout les choix de la série tant il y avait matière dans le livre.

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Un livre très intéressant sur un sujet mal connus. Il commence un peu à dater puisqu'il a déjà été publié il y a 16 ans et que l'étude elle-même à duré cinq ans au sein de différentes formations d'orchestres française. Le style n'est pas toujours accrocheur, mais le propos est extrêmement intéressant et plus de quinze ans après, je serais curieuse de voir si les choses sont toujours identiques au sein des orchestres.

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Un livre que je relis très fréquemment toujours avec énormément de plaisir. J'apprécie cette relecture de Cendrillon avec une héroïne forte qui trace sa propre voie.

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Je l'ai lu fin de l'année passée, je crois que je l'ai vraiment rushé tellement j'ai aimé et j'ai revu le film dans la foulée pour pouvoir faire une comparaison. Ici, avant de me lancer dans le tome 2, je voulais me remettre le 1 en tête donc je l'ai relu avec le même plaisir. Vraiment bien écrit, je trouve qu'il apporte un petit plus par rapport au film.

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Un livre très intéressant que je voulais lire depuis un bout de temps. Je crois que c'est une bonne introduction en la matière. Assez vulgarisateur, ça permet de se faire une bonne idée des différents principes. Cela dit, il y a tout de même un certain manque de neutralité et je pense qu'il ne faut pas s'arrêter à ce livre mais plutôt aller voir du côté de Ponsonby qui semble plus complet.

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J'ai vraiment beaucoup aimé le premier tome de la trilogie "Le château de Hurle" et je dois bien admettre que j'étais impatiente de lire le suivant. Difficile de dire si ma déception vient du livre en lui-même que j'ai vraiment trouvé moins bon où de ma contrariété quand je me suis rendue compte que j'allai devoir suivre un personnage que je trouvais fort peu intéressant. Là où Hurle, Calcifer et Sophie m'ont tout de suite inspiré de la sympathie, j'ai eu bien plus de mal avec Abdallah et son périple. Au final, le lien avec le premier tome est bien là, mais probablement un peu trop vite expédié à mon goût.

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Suite et fin de la trilogie de "Hurle". J'ai un peu du mal à appeler ça une trilogie parce que le lien est assez tenu entre les trois. On retrouve certes, le personnage de Sophie et Hurle très brièvement dans le tome 2 et 3, mais l'histoire ne tourne pas autour d'eux. Du reste, si je l'ai trouvé meilleur que le tome 2, je l'ai tout de même trouvé en dessous du tome 1. Je crois que pour moi, le premier tome se suffit à lui-même et c'est probablement celui-là que je relirais quand j'aurais envie de me replonger dans le joli monde que Diana Wynne Jones a créé.

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Voilà des années que Cinemaniaque loue ce pavé dans l'espoir de le finir un jour. A force de le voir trainer, je me suis plongée dedans par curiosité. Christopher Lee, c'est un peu une synthèse du XXeme siècle. Un personnage qui de par sa naissance et son parcours a finalement un peu tout vu et connu. Le livre, même dans sa traduction française, possède une très belle plume et un humour fin qui rend la lecture agréable. Les chapitres sont courts, les anecdotes nombreuses, mais finalement ce qui m'a frappé le plus c'est que ça reste le récit d'un homme assez conscient de ses propres défauts, mais qui tient également beaucoup à sa vie privée. Intéressant sur de nombreux points, il se lit vraiment sans déplaisir.

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Comme toujours quand je regarde une série dérivé d'un livre, je prends la peine de lire l'œuvre originale. Honnêtement, j'ai rarement vu une série aussi fidèle à son œuvre de base. Si on excepte l'un ou l'autre personnage que l'on a accentué ou échangé, le reste est presque identique scène par scène. Ca n'en rend pas le livre moins intéressant pour autant et si j'ai été déconcertée dans les premiers chapitres par le style, j'ai vraiment passé un très très bon moment.

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Pas relu depuis 2018, ça m'étonne de moi tant j'ai tendance à le relire presque chaque année. Il fait partie de mes favoris et quand j'ai besoin de me vider l'esprit, il est le livre parfait. Cela dit, j'ai pour une fois relu une version que j'aime beaucoup mais que je n'avais pas lue depuis longtemps, c'est à dire la publication originale (quoiqu'écrite en anglais presque moderne si on excepte certaines tournures) avec des passages ayant été supprimé en français où dans les éditions qui ont suivis. Un pur plaisir.

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Shame on me, je l'ai lu. A l'époque, j'étais tombée dessus parce qu'elle publiait les premiers chapitres sur internet et il me semble qu'une sombre histoire de diffusion non autorisée à mis ce projet en hiatus pour plus de dix ans. Objectivement, on aurait pu s'en passer, mais j'étais curieuse de voir si ça apportait quelque chose d'intéressant et si le style avait évolué depuis. Je peux répondre "non" à ces deux questions. Là où le livre avait le bon goût d'être court, celui-ci est incroyablement long et fastidieux. On a l'impression que la personnalité des deux protagonistes principaux n'est pas la même entre les deux livres et Bella déjà peu intéressante est décrite comme une espèce de sainte avec des goûts correspondant à la caricature de l'héroïne typique du film américain. Quant à Edward, son obsession irrationnelle pour sa dulcinée en devient vraiment creepy. On ne touche pas Fifty Shade of Grey, mais on se rapproche.

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Ma seconde lecture d'Estelle Faye et mon impression première se confirme : j'aime vraiment beaucoup cet auteur. Indiqué sur SC comme étant en plusieurs tomes c'est pourtant ( à ma connaissance) un one-shot qui se suffit à lui-même. Une histoire originale campé avec des personnages à la fois surprenants et attachants. Il aurait pu avoir une note supérieure s'il ne se perdait pas parfois en route. L'auteur sait parfaitement où elle va, par contre, en chemin, elle lance plusieurs lignes narratives finalement très peu exploitées et dont la fin n'est pas tout à fait satisfaisantes. Rien qui ne rende la lecture désagréable et ça n'enlève pas toute la beauté de la fin.

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Un livre vraiment intéressant et apéritif sur nos idées préconçues du monde romain. Traduit en français, il a pris la peine de faire un parallèle avec la France et pas seulement l'Italie. Il est est également plutôt lié à l'actualité et finalement, c'est un livre qui est très pertinent à l'heure des fake news et déclarations détournées.

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Plutôt intéressant pour qui veut entendre parler du milieu sans fard.

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J.K.Rowling et moi on est un peu fâché depuis la fin d'Harry Potter parce que je n'ai pas aimé ce qu'elle écrit après. The Ickabog confirme ce que je pensais : elle est faite pour les récits pour enfants. Ca se laisse lire tranquillement et on y passe un bon moment. A noter que j'ai bien aimé la démarche derrière le livre en période de confinement.

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Un livre assez court qui fait office d'une bonne introduction sur ce qu'est la vie de château au moyen-âge. Divisé par thématique et prenant des exemples concrets, il se lit rapidement.

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Honnêtement, je pense l'avoir lu en deux jours. Comme à chaque fois que je vois une série, je suis toujours curieuse de connaître la différence avec l'œuvre d'origine. Elles sont finalement assez différentes l'une de l'autre, le prénom du personnage principal n'étant pas le même mais celui d'une amie cité au détour d'une page. On a clairement l'impression de lire une histoire différente, moins spectaculaire que la série par certains côtés, mais tout aussi intéressante. On nous donne a voir un monde qu'on connaît mal et la façon dont elle s'en est progressivement émancipée. Certains passages sont (je pense) volontairement flous. Est-ce une pudeur ou une répugnance de parler de choses trop difficiles ? Difficile à dire. Le seul point "négatif" finalement, c'est le dernier passage où elle parle de ses grands-parents, ils nous suivent pendant une longue partie du livre et finalement, on est un peu triste de les quitter sur quelques mots. Reste que c'est un livre assez intéressant et qui apporte un bon contrepoint à la série.

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J'ai entendu parlé du livre au détour d'un article de la Libre Belgique et ça m'a tout de suite intéressée. J'ai toujours été fascinée par la Corée du Nord, ce pays dont finalement on ne sait pas grand chose. Le récit de Ji Hyun écrit par Seh Lynn est à la fois effrayante, touchant et fascinant. L'avantage étant qu'il est ici directement écrit en français si bien qu'on ne perd aucune subtilité à cause d'une traduction hasardeuse puisque c'est une Coréenne qui écrit en français en nous expliquant les concepts de sa langue d'origine. Je le conseille vivement.

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Ca faisait un moment que j'en entendais parler et j'ai finalement décidé de me lancer pour comparer mon avis avec celui d'une amie qui avait trouvé la fin un peu étrange. Je pense que je reprendrais volontiers ces mots pour dire qu'il ne laisse pas indifférent. Est-ce que ça en fait un bon livre pour autant ? Bonne question. La volonté de l'auteur de ne pas indiquer explicitement qui parle rend la narration particulière, mais pas inintéressante. On se laisse porter par l'histoire qui se lit facilement de ce duo qui ne sait pas comment communiquer ni comment être heureux. On aborde des thèmes plutôt intéressant, mais j'ai le même sentiment qu'elle à propos de la fin qui est trop ouverte pour vraiment me satisfaire.

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On peut difficilement s'intéresser aux biais cognitifs sans s'intéresser aux nudges, "solution miracle" des gouvernements et administrations qui y voient une méthode infaillible pour faire face à certains problèmes. Nudge et sludge deux notions extrêmement intéressantes, mais également compliquées que Audrey Chabal tente de nous faire découvrir à travers son livre. Bien écrit, très vulgarisateur, truffé d'exemples, mais aussi de bonnes références c'est une excellente porte d'entrée sur le sujet. Néanmoins, si on veut aller plus loin, ce n'est pas suffisant.

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Je savais que Julian Fellowes avait écrit des romans, mais je n'avais jamais pris la peine de m'y intéressé. La saison 1 de la série éponyme étant sortie, il était temps de régler ça. Sans être un chef d'oeuvre, on se prend honnêtement au jeu des histoires de famille des uns et des autres et de ce drame qui n'en est pas un. Agréable à lire, il traine parfois un peu en longueur. Celui-ci étant le plus récent, je suis curieuse de lire les autres.

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Je l'avais lu l'an passé et j'avais vraiment aimé, mais je pense que ce second passage augmente un peu l'affection que j'ai pour ce premier tome remplis de nouvelles ce qui m'avait un peu déconcerté. Quel plaisir de voir une traduction aussi soignée.

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Agréable à relire une soirée où je ne savais pas vraiment quoi faire.

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Un des livres les plus intéressants que j'ai lu cette année. De l'histoire de la Chine, on ne sait généralement qu'elle est devenue communiste via Mao sans trop en connaître l'histoire exacte. Ici, à travers la vie des trois sœurs, on appréhende beaucoup plus simplement l'histoire de la Chine nationaliste puis communiste, mais aussi de Taiwan tel qu'on le connaît tout en suivant la vie de ses trois femmes extraordinaires.

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Un livre assez touchant même si assez daté (probablement pour des raisons de sécurité concernant l'auteur) qui met en scène des situations à la fois banales et extraordinaire de la vie de Nord-Coréen dans les années 90. Une façon comme une autre de lever le voile sur un des pays les plus opaque au monde.

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Autant je n'ai jamais su finir la très longue saga de Naomi Novik autant j'adore vraiment ses oneshot, dont Déracinée. Novik nous offre un univers fantastique inspirée des légendes du nord et finalement c'est rafraichissant. Moi je ne m'en lasse pas.