Dans la famille des films pourtant superbe dont on ne parle pas assez je demande...

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Apparemment le film de sabre n’a pas spécialement la cote ces temps-ci, même quand il est magnifique. Le fait que Hero ait été accusé de propagande pour le régime chinois ne l’a sans doute pas aidé.

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Siegel est presque essentiellement connu auprès du grand public (et même un peu des cinéphiles) pour sa collaboration avec Eastwood, pourtant c’est un cinéaste passionnant. Il suffit de voir cette merveille qu’est Charley Varrick sorte de vrai faux film noir comique plus que jubilatoire.

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Pour celui-ci c’est simple, Cimino est passé à la trappe après l’Année du dragon, c’est comme s’il n’avait plus fait de cinéma et se priver de The Sunchaser c’est se priver d’un bout de pellicule tourné par un génie.

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Difficile de se faire une place aux coté de Nosferatu et de L’Aurore quand on n’a pas marqué une date dans l’histoire du cinéma même quand on est un chef d’œuvre.

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L’après Easy Rider existe, il a aussi été tourné par Hopper et il mérite le détour. Alors là pour le coup le titre français n’a sans doute pas aidé le film a avoir une bonne carrière.

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Coppola derrière la caméra, Patrick Swayze, Matt Dillon et bien d’autre devant, alors pourquoi on n’oublie fréquemment ce film ? Sans doute parce que beaucoup pense que Coppola a arrêté de faire des bons films après Apocalypse Now alors que ses années 80 sont formidables.

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Pas assez lynchéen pour les uns, réaliser par Lynch pour les autres (ce qui pour certain est une raison suffisante pour snober le film), voilà sans doute pourquoi ce film échappe totalement à la folie qui entoure ce brave cinéaste. On n’en parle jamais alors que c’est une œuvre bouleversante qui en plus pourrait réconcilier les admirateurs et les détracteurs du réalisateur.

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Film bâtard, tourné par Vidor en 2 semaines en attendant un nouveau projet, renié par ce dernier à cause de ces engueulades avec Douglas qui lui même prétendait avoir réalisé certaines séquences, L'homme qui n'a pas d'étoile est donc à part et n'a jamais intéressé grand monde. C'est bien malheureux.

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David Miller est un parfait anonyme, de plus ce film est encore aujourd'hui peu connu, voilà sans doute comment l'un des plus beaux films du monde n'a que 125 notes sur SC...

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Même ce brave Tavernier en parle sur le DVD comme d'un grand film raté, alors que faut-il faire pour rendre justice à l'excellent travail d'Aldrich et compagnie sur ce coup ?

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C’est assez paradoxal ce qui se passe avec le période hollandaise de Verhoeven, tout ces films sont cultes et adulés par ceux qui les ont vu mais leurs raretés les rendent presque oubliés, alors qu’il devrait susciter envie et désir.

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Déjà Wellman est trop méconnu, mais ce film si singulier a du mal à faire parler de lui et pourtant...

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Avec son affiche de porno gay pas facile de ressortir d'une filmographie encore aujourd'hui trop méconnu.

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Jetez vous sur cette merveille ensoleillé, film totalement barje symptomatique du nouvel Hollywood. A mon sens le plus grand et surtout le plus essentiel des road movies au coté de Macadam à deux voies, autre film oublié.

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Loin de la notoriété de Jules et Jim ou des 400 Coups, Baisers volés est pourtant un film délicieux.

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Arriver dans la filmo d’un géant après Les Nibelungen, Docteur Mabuse, Métropolis et juste avant M le maudit forcement ça ne facilite pas la visibilité d’autant plus que même les fans du cinéaste oublie bien souvent ce merveilleux film.

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Le pendant négatif et quasi expérimental des Hommes du président à bien du mal à se faire un nom à coté de son illustre frangin.

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Un documentaire de 2h40 sur le néo-libéralisme avec juste une poignée de bonhomme qui parlent pendant de longues minutes, rien de bien engageant. Pourtant ce film permet de comprendre comment ce système nous baise, c'est d"utilité publique.

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Au même titre que Bronco Billy, Breezy ou encore Bird, Honkytonk Man passe bien trop inaperçue dans les plus de 40 ans de carrière de l'ami Clint.

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Ritt ayant une renommé "modéré", le casting ne comprenant aucune star, voilà sans doute les raisons qui font ce film pourtant si singulier ne fassent jamais ou presque parler de lui.