Démos sympas du Steam Next fest

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Un RPG à la première personne, assez inspiré de Morrowind. L'exploration et la DA sont chouettes, mais c'est surtout le côté sandbox qui m'a donné envie. A l'image de son modèle, le titre n'a pas l'air d'avoir trop peur de vous laisser casser un peu le jeu pour surmonter les obstacles, ce qui fait plaisir.

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Par les développeurs du très chouette Olija, Forestrike est un jeu d'action roguelite où vous pourrez répéter chacun de vos combat à l'envie pour pouvoir créer l'enchainement parfait. Je suis pas très roguelite mais le concept est fort et bien exécuté, mélangeant habilement planification et adresse. L'ambiance, le gros point fort de Olija, parait également très réussie. On peut faire beaucoup avec quelques illustrations et trois bouts de pixels.

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Un plateformer vous permettant de manipuler la gravité de manière similaire à VVVVVV. Du moins il me semble, parce que ça fait 15 ans que j'y ai pas joué, on va donc dire qu'il y a prescription de repompage. En tout cas ça bouge très bien, c'est joli et le tout sera servi avec une histoire horrifique plutôt intrigante. Je vois pas trop le rapport avec de la plateforme gravitationnelle, mais bon, pourquoi pas.

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je parle ici de la suite. On a mangé du FPS retro à toutes les sauces, mais certains arrivent encore à sortir leur épingle du jeu. Sans trop innover mécaniquement, cette démo de Zortch 2 nous montre un gunplay réussi et surtout un level impeccable, offrant de bons affrontements et qui retient la liberté offerte par les Quake like sans pour autant tomber dans des labyrinthes qui cassent le rythme.

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Un jeu de skate cosmique où vous faites des tricks pour manger la lune. Les jeux à score c'est pas trop mon truc, mais celui là n'a pas l'air de casser les pieds avec ça et se concentre plus sur l'expérience visuelle et sonore. Mon seul grief vient de la vitesse de base déplorable combinée à des parcours un peu plats, qui rend ce premier chapitre assez mou, quand bien même il montre aussi que le titre est capable d'offrir de bonnes sensations de vitesse.

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Industria était un FPS inspiré d'Half Life 2, un peu court et limité mais sympathique. La suite a l'air plus ambitieuse en terme de gameplay, mais la démo ne permet qu'un bref aperçu, prometteur mais qui montre un manque de finition du point de vue technique.

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Un Gothic Like pur jus, et exemple parfait d'une démo pas terrible de ce qui pourrait être un bon jeu. Dans un titre où centré autour des choix et de la progression, juste nous mettre le ronflant début du jeu est sans doute une erreur, surtout que ça met un moment avant de s'ouvrir un peu. Du reste, en dehors d'une technique pas terrible (le photoréalisme et les petits budgets...), le jeu a l'air d'avoir compris ce qui faisait de Gothic des titres incontournables. Mon seul problème vient de la facilité déconcertante avec laquelle on peut fuir des ennemis très patauds, ce qui impacte quand même pas mal le ressenti de danger que le titre essaie de nous faire vivre.

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Un CRPG orienté combat dans un Japon de l'ère Meiji rempli de démons et technologies étranges. Les combats se démarquent par l'emphase mis sur l'ordre de passage des personnages, très manipulable via les compétences des personnages. Ça fonctionne plutôt bien même si on reste plutôt dans la nuance que la grosse innovation, du moins dans le cadre de cette démo. Côté scénar, ça démarre de manière très unidimensionnelle, mais la fin de la démo pointe à quelque chose de plus nuancé, donc à voir.

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Le jeu est déjà disponible. C'est un runner basé sur l'adresse, où vous devrez sauter au bon moment et avec le bon angle pour atteindre la fin du parcours. J'ai pas tellement la patience, mais la prise en main est originale, à essayer si vous voulez un plateformer ardu.

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Un point and click un brin horrifique où vous serez invité à incarner le servant d'un manoir isolé. Les énigmes sont sympathiques et l'ambiance réussie, bien que l'envergure du projet soit limitée. Pas une révélation, mais sympathique.

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Démo temporaire disponible du 8 au 13 octobre

Valor Mortis est vendu comme un Souls Like à la première personne et c'est exactement ce qu'il est. Bien que la caméra à la première personne change un peu (elle permet notamment de ne pas avoir à se reposer sur un système de verrouillage, tout de même présent), on retrouve encore et toujours sur les mêmes mécaniques et manières de les appliquer, comme si le genre ne pouvait avancer qu'en réduisant les timing de parades sans réfléchir à innover ou enrichir les systèmes.
Après c'est pas mal réalisé non plus, et l'univers a doit quoi véritablement piquer la curiosité. Traverser des guerres napoléoniennes remplies d’horreurs pendant que la voix désincarnée de Napoléon nous vante la grandeur de la nation, ça en jette pas mal.

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Adaptation de la série éponyme en jeu de gestion de base à la XCOM (sans la partie tactique, attention). En tant qu'adaptation directe, il est un peu étrange de retrouver les mêmes trames sans mise en scène ni doublage, ce qui donne un côté cheap et constitue sans doute le principal manquement de ce projet. Mais la promesse de partir à l'aventure à bord d'un vaisseau spatial en gérant ses ressources et décidant de la suite des évènements (à voir jusqu'où vont les scénarios alternatifs) a l'air bien respectée. Sans doute un jeu pour les fans, mais sympathique tout de même.

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Dans une ville où les rêveurs disparaissent inexplicablement, la folie guette des habitants cherchant à rester éveillés à tout prix. L’interactivité limitée et peu exploitée m'empêche d'être très enthousiaste, mais l'audace dans mise en scène vaut tout de même le détour. Même le parti pris du visuel réaliste, toujours hasardeux pour les petites productions, fonctionne pas trop mal.

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Titre que l'on pourra grossièrement résumer à Death Stranding à cheval. La démo manque de finition et l'opti est aux fraises, mais les fondations sont solides et y a de bonnes idées. Ma seule grosse réserve (en dehors d'une progression peut être laborieuse) est liée à la navigation, faite au compas avec un marqueur d'objectif tout ce qu'il y a de plus banal. Vous serez toujours chargé de déterminer un parcours correct (éviter les terrains difficiles, etc), donc tout n'est pas à jeter, mais je trouve ça quand même dommage dans un titre où une navigation plus immersive et organique aurait été très à propos.

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Un plateformer inspiré par les mario 3D. La démo est un peu trop longue pour son propre bien et certains éléments manquent de finition (l'interface notamment), mais l’ensemble est plutôt solide, pour ceux qui ont déjà poncés les quand même assez nombreux jeux du genre.

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Un plateformer 3D assez simple mais qui devrait séduire les plus jeunes, notamment grâce à un travail d'animation assez remarquable. Et puis même si c'est pas bien dur, c'est tout de même sympa à jouer.

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Un jeu de tactique au tour par tour avec des maps toutes petites. J'aime bien le concept d'un jeu de tactique où il faut gérer un petit espace, et la DA est plutôt chouette. Malheureusement la démo m'a un peu ennuyé à cause du temps d'attente assez interminable entre chaque tour et action, ça prend des plombes un peu pour rien. C'est désagréable, mais facilement corrigeable, donc à voir.

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Un jeu d'horreur isométrique avec un côté survie (gérer sa base, manger...). C'est pas le plus chiadé niveau finition (les mouvements étaient pas très agréables), mais il essaie de se distinguer avec son cycle jour/nuit et l'accent jeu de survie, ce qui en fait un titre plus intriguant que la plupart des repompes de Resident Evil qu'on voit passer de temps en temps.

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Vampires Survivors like où vous devrez accompagner et protéger un château ambulant qui dispose de ses propres améliorations jusqu'à destination. C'est un peu plus actif qu'un Survivors puisque votre chariot est lancé dans une course incessante, vous forçant à vous dépêcher de récolter vos ressources qui traine sur le bas-côté. On reste cependant dans jeu où, dans le fond, on ne fait pas grand chose.

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Dernier né du studio derrière Little Nightmares, qui a perdu la licence. Le gameplay se cantonne à des interactions et séquences tout à fait convenues, ce qui est assez décevant bientôt 10 ans après qu'Inside ait donné un nouveau souffle au cinematic platformer. Reste une mise en scène très efficace et un style visuel irréprochable, pour ceux qui ne sont pas ennuyés par les jeux qui oublient un peu l'interactivité.

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Enfant de Doom et Vermintide, Painkiller a l'air d'être un titre soigné. Je n'ai pas eu l'occasion de le tenter en coop, et le mode solo vous colle avec des bots ce qui est assez désagréable, je ne l'ai donc pas essayé très longtemps, mais que ce soit dans la DA ou le feeling, c'est du beau boulot. Après, ces titres essayent souvent de vous garder un moment avec un contenu au final assez limité, assez dur de voir le potentiel longue durée dans une démo.

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Plus Resident Evil que Bioshock, Crisol intrigue plus par ses visuels charmants que son game design d'une banalité confondante. Après, la démo est courte, mais quand on me fait couper des chaines et débloquer des raccourcis entre des zones séparées de quatre mètres, je me dis qu'on est pas là pour être subjugué par le level design. Le jeu a aussi l’habitude agaçante, qu'on retrouve en général dans les AAA, de faire dire au personnage que le combat est terminé ou que l'ennemi de 4 mètres insensible aux balles ne peut être vaincu, histoire de bien être sûr de pas créer de tension dans ce survival horror.

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A l'image de ses héros voleurs de membres ennemis (qui leurs permettent d'obtenir des capacités), Swapmeat n'a pas beaucoup d'idées originales en dehors de sa gimmick, pas si novatrice que ça d'ailleurs. Un peu de Vampire Survivors, mais surtout beaucoup de Helldivers et de Deep Rock se retrouvent dans un ensemble pas si désagréable mais un peu ronflant. Et qu'est ce que c'est moche. Je l'inclus tout de même pour son potentiel en coop, si vous n'avez rien d'autre à vous mettre sous la dent.

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Je mets ici les démos de jeux qui ont pas encore de fiche SensCritique:

Odd Town: jeu d'aventure burlesque avec un côté sandbox, Odd Town vous invite à découvrir les mystères d'une petite ville française. Le jeu a un système de crime et d'interactions avec les PNJ simple mais réactif qui pourrait donner un truc très chouette. C'est surtout la DA qui m'a tapé dans l'oeil avec ces immeubles tordus très burtonesques qui donne beaucoup de charme à l'ensemble. Le développeur a lancé une campagne Kickstarter pour les intéressés.

Primal Echo: un jeu de plateforme et d'exploration en 3D au style rétro. Ça fonctionne bien mécaniquement et y a un aspect débrouille toi assez sympa, notamment au niveau des combats un peu jank dont j'ai apprécié l'aspect rudimentaire et improvisé.

Directorate Novitiate: Un TPS très années 2000. J'étais passé à côté à cause du chara design raccoleur et des images qui me faisait penser à un clone de Resident Evil. Mais c'est un shooter solide, avec une ambiance cultiste assez réussie de surcroit.

Shell Soldier: Un FPS inspiré de F.E.A.R., pas très folichon visuellement mais qui fonctionne bien souris en main. Clairement pas aussi abouti que Selaco mais plus plaisant de ce que j'avais pu jouer de Trepang2.

Death in Abyss: Un shooter à la Starfox où vous devez survivre à des hordes de monstres. L'ambiance est chouette (l'intro pète la classe), ça bouge très bien mais c'est très difficile et l'arène de combat ne change pas, faut y aimer.

Tingus Goose: Un clicker avec des bébés d'oie à la place des cookies. Au delà de la DA absolument psychotique (de Master Tingus), le jeu parvient à échapper à l'ennui du clicker en vous demandant de placer vos améliorations pour optimiser votre production.

Verho - Curse of Faces: Un King's Field like très scolaire, avec un level design moderne et des contrôles heureusement bien plus vifs. A tester si vous êtes sensible au genre.

Earth Must Die: Un point and click centré sur l'histoire. Le style graphique est charmant et ça a l'air d'une aventure tout à fait sympathique, mais l'interactivité réduite à peau de chagrin m'a un peu ennuyé.

It takes a war: Parodie de FPS militaire. Je sais pas ce que ça va donner, mais les parodies sont rares dans le JV, alors pourquoi pas.

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Section FPS retro qui ont pas encore de fiches (j'essaie d'en créer de temps en temps mais y en a tellement...).

KLOSTYN: Un FPS inspiré de Half-Life, mais aussi, et surtout, de Gunman Chronicles, puisque la démo de 45 minutes vous envoie sur une planète lointaine poutrer du pirate de l'espace. Pas innovant pour un sou, mais pour un titre désirant "recréer l’expérience des shooter des années 90", le pari est réussi. ça pète bien, le niveau était linéaire mais proposait une variété correcte de défis à relever.

Wanted 3D Dead or Alive: FPS sur GZDoom, assez proche de Outlaws. C'est convenu et quand même pas très beau, mais ça fait le boulot, avec les pétoires du Far West comme principale originalité. Comme souvent avec ces jeux, ce sera à conseiller à un public déjà acquis.

Ashen Vow: Un FPS médiéval avec un côté horreur et le coup de pied de Dark Messiah. Je m'attendais à rien vu la bande-annonce, mais le titre sait poser son ambiance et l'action est plutôt propre, même si c'est loin d'être fini.

Painted in Blood: Un FPS sous Unreal, mais avec des ennemis en 2D. C'est plutôt sympa techniquement, mais le shoot, sans être mal fait, n'a pas grand chose de mémorable. Pas très vif, ni très tactique.

Les démo suivantes sont disponibles en dehors du Next Fest.

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Texnoplazm: Un FPS tourné sur le corps à corps. Bien plus réussi que Tokyo Underground killer que vous pouvez retrouver plus haut, que ce soit visuellement ou dans le gameplay. On a déjà droit à un moveset assez fourni, des ennemis qui ont pas mal de répondant et un level design qui tire profit de la mobilité de son héroïne. L'esthétique retro (période Half Life) et poisseuse est réussie, il n'y a que la musique techno assez générique qui fasse un peu tache. Rien qui devrait vous rebuter cependant, je surveillerais le développement de près.

Parkside: Un immersive sim à la Deus Ex dans une Californie totalitaire. Faire un ImSim avec une équipe réduite, c'est toujours difficile, comme nous le montrent Corpus Edax et Peripeteia, mais à l'image de ces derniers, c'est toujours intéressant. Assez classique dans ses mécaniques et limité dans ses systèmes, Parkside a toutefois l'air d'être une tentative sincère (et pour le moment plutôt réussie) d'offrir un environnement ouvert et exploitable de bien des manières.

Caput Mortum: Un survival horror dans la France du XVIème siècle. Le jeu se démarque par ses contrôles compliqués, avec une caméra gérée avec les gâchettes. Ça faisait longtemps qu'on avait pas un jeu d'horreur qui créé de la tension autour de la maniabilité, et ça fonctionne ici très bien. Les environnements sont chouettes aussi. Sans doute le jeu d'horreur le plus original depuis un moment.

Crimson Capes: un side scroller d'action. Encore une fois inspiré de Dark Souls, mais n'abuse pas des barres de vie et les gimmicks et animations font que je n'ai pas eu l'impression de jouer encore à la même chose. L'ambiance est aussi un point fort, un jeu de fantasy dans un moteur qui rappelle les plateformers type flashback. Ce sera pas forcément un classique mais il mérite qu'on y jette un oeil.

Saloonery: un FPS western semi retro avec des grphismes en voxel. Pas foncièrement original mais bien exécuté, la démo présente un titre simple et efficace qui récompense la précision. Ça manque quand même de barils explosifs.

Tamashika: un FPS qui rappelle pas mal Post Void (sans tomber dans la copie comme Mullet MadJack), mais au level design dirigiste et avec une DA qui attaquent encore plus la cornée. Ça a l'air d'être un tout petit projet, mais si vous aimez le run and gun, c'est tout à fait sympathique.

The Trolley Solution: Un jeu de puzzle inspiré du fameux problème du tramway. Les puzzles et mini-jeux sont très humoristiques.

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Hypogea: un jeu de plateforme avec des robots et du saut à la perche. Les jeux de plateforme basés sur une physique un peu plus réaliste se font rare, et la mécanique de saut à la perche, sans révolutionner le genre, apporte une touche d'originalité et est amusante à contrôler. L'ambiance s'avère aussi travaillée, tout ça sent plutôt bon.

It has my face : Un jeu où l'on doit trouver et abattre son clone dans des petits niveaux sandbox. Au début, j'étais pas très chaud. Ça avait l'air un peu trop simpliste, comme un jeu flash rigolo qu'on lancerait une ou deux fois. Mais faut admettre que, même si on est pas face à quelque chose de très complexe, l'expérience finit par bien fonctionner grâce aux twists et modificateurs de gameplay. Pour pas trop cher, pourquoi pas.

Dungeons Deep: un dungeon crawler qui me rappelle les gameplay de Deep Down, le projet annulé de Capcom. Dire que la démo sent la peinture fraiche relève de l'euphémisme. Les fondations sont pourtant solides, notamment avec un système de combat qui repose sur la physicalité. Le titre est heureusement en pré-alpha, je pense garder un œil dessus à l'avenir.

Bloodthief: Un fast-FPS au corps à corps, tourné vers le time attack. La glissage et l'attaque-TP rend le jeu extrêmement vif, mais j'ai eu un peu du mal avec des contrôles qui, je trouve, manquent un peu de précision dans les phases plus corsées. Ça reste un jeu à surveiller pour les speedruners en herbe. Perso, les jeux qui évaluent la performance sur la vitesse, ça m'agace rapidement, et celui-ci n'échappe pas à la règle.

Dead Wells: The Devil Fragment: Un autre action RPG sorti des Souls et de King's Field, dans une esthétique agressivement rétro. Contrairement à Hark of the Ghoul qui m'a plutôt bien plu, le gameplay bien trop lourd et molasson des King's Field me l'a fait tomber des mains.

Morn: Un autre shooter retro à ajouter à la liste. Celui ci a l'air correct, mais ni particulièrement bien conçu, ni assez original pour qu'il se démarque des autres le temps de cette démo. Il porte plutôt bien son nom.

Owl Observatory: Un point and click dans un observatoire tenu par un hibou anthropomorphe. Préquelle de "a dinner with an owl", jeu gratuit sympathique mais très rudimentaire. Difficile de juger un titre qui mise tout sur son ambiance et son écriture, mais les débuts ont l'air prometteurs.

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Démo disponible en dehors du next fest

Un immersive sim dungeon crawler que j'attends beaucoup. Si le feeling de l'épée vend pas du rêve, le jeu est assez ouvert et pousse vraiment le joueur à faire preuve de créativité. L'accent mis sur les pièges plutôt que sur les combats purs et durs apporte d'ailleurs pas mal d'originalité.

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Démo disponible en dehors du Next Fest

Un immersive sim tourné vers l'action, notamment inspiré par dark messiah. Bien que ce soit encore un peu brut de décoffrage, notamment au niveau sonore, le jeu est déjà très sympathique à jouer, et poussez des ennemis dans des pics ou les faire glisser sur la glace ne perd jamais son charme.

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Démo disponible en dehors du Neo Fest

Un jeu d'escalade. Visiblement plus difficile et profond que Jusant, mais tout aussi contemplatif. La maniabilité peut être prise en défaut, mais la précision des contrôles est la plupart du temps impeccable.