deux-mil-dix-neuf

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☆ visionné le 3 janvier

le film est kitsch à souhait et le mauvais jeu des acteurs et actrices, à commencer par celui de Sophie Marceau, en font une oeuvre craquante. je comprends néanmoins ses détracteurs — à commencer par ma mère dont les critiques, auxquelles j'adhère, sont les suivantes : le côté crise d'ado de Vic est parfois lourd, le milieu dépeint est très bourgeois.

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☆ visionné le 3 janvier sur arte

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☆ visionné le 4 janvier

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☆ visionné le 6 janvier

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☆ visionné le 7 janvier

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☆ visionné le 15 janvier

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☆ visionné le 16 janvier à la Cinémathèque française à l'occasion de l'ouverture des "quinze jours avec Agnès Varda", en présence d'Agnès Varda et de Sandrine Bonnaire ♡

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☆ visionné le 20 janvier à la Cinémathèque française à l'occasion des "quinze jours avec Agnès Varda", avant la conversation d'Agnès Varda ♡

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☆ visionné le 21 janvier

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☆ visionné le 21 janvier

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☆ visionné le 22 janvier

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☆ visionné le 23 janvier à la Cinémathèque française à l'occasion des "quinze jours avec Agnès Varda", en présence d'Agnès Varda ♡

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☆ visionné le 23 janvier à la Cinémathèque française à l'occasion des "quinze jours avec Agnès Varda", en présence d'Agnès Varda ♡

comment dire mon amour pour un film aussi parfait ?

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☆ visionné le 25 janvier sur arte

je comprends l'engouement : l'esthétique naturaliste est très soignée et touche en plein centre mon cœur de normande habituée à déambuler dans Granville avec papy et mamie en été, bien que la réalisation ne soit pas révolutionnaire. néanmoins l'histoire est gênante, les personnages sont presque tous antipathiques (et les deux hommes adultes, totalement insupportables et crasseux de misogynie et de tendances pédophiles) à l'exception de Pauline, et les déclamations oratoires paraissent fausses et plates. le style faussement théâtral est appréciable uniquement dans le placement dans l'espace des personnages, mais cela est un aspect trop mineur du film... j'ai bien peur d'être totalement hermétique au cinéma rohmerien.

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☆ visionné le 29 janvier

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☆ visionné le 30 janvier

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☆ visionné le 6 février

vive la sororité !

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☆ visionné le 6 février sur arte

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☆ visionné les 8 et 9 février (oops)

c'est la première fois que je discerne clairement la misogynie dans l'oeuvre de Truffaut (cf. le rémois Clément qui présente mal les femmes et s'en moque, Pierre appelant Nicole « ma petite fille », allant jusqu'à la pousser à changer de tenue pour lui plaire, ayant honte de sa personne et, de manière plus générale, le fétichisme de l'homme envers la femme-enfant) ; je remarque, par ailleurs, que la romanticisation du v*ol est un malheureux point commun entre Truffaut et Buñuel... mais je ne saurais dire si tout cela fait du réalisateur un misogyne puisque je ne peux distinguer la part de fiction pure et/ou la part d'esprit truffaldien dans l'oeuvre. cet aspect plus que dérangeant décelé, j'ai donc tout naturellement jubilé devant la scène finale, apothéose stylistique d'une réalisation au ciselage irréprochable.
[+ je garde en tête : Françoise Dorléac toujours sublime de vivacité (surtout lorsqu'elle danse), le chaton qui vient picorer dans les restes du petit-déjeuner, les rappels et répétitions incessant.e.s mais jamais lassant.e.s]

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☆ commencé le 10 février

(j'attends le retour de maman pour terminer hihi)

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☆ visionné le 12 février

- belle composition des plans fixes — même si certains ont éveillé en moi un air de déjà-vu (comme souvent chez Honoré) — notamment toute la scène du parking rennais
- belle colorimétrie (toujours bleutée mais amélioration et modernisation par rapport à son oeuvre durant les années 2000 — mon âme d'esthète a tiqué face aux looks de Chiara Mastroianni dans ces films)
- au départ perplexe quant au jeu de Pierre Deladonchamps car j'ai trouvé qu'il récitait — comme toujours, et ce, miraculeusement, sans que cela entrave mon appréciation du film — mais j'ai ensuite eu le plaisir d'enfin (parce que c'est la première fois que je peux l'admirer dans un tel rôle) le voir pleurer (ce qui va parfaitement avec son air fleur de peau) et prononcer des paroles d'un lyrisme ostentatoire (cf. « je me sens plein d'une tristesse suicidaire »)
- l'amour est représenté à la perfection (cf. sourire incontrôlable d'Arthur <3), première nuit pleine de charme et annonciatrice du ton du reste du film
- dialogues parfois trop littéraires, mais j'aime ce côté réalisme magique qui n'est pas sans rappeler les "intercalages" entre musique et narration réaliste des comédies musicales honoresques (et par extension demyesques)
- j'adore les zooms et dézooms progressifs sur parties des plans fixes et longs, innovant je crois ?? (cf. lit avec Cocteau Twins la première nuit, "seconde" scène de baignoire Marco/Jacques - ma préférée de tout le film <3)
la fin m'a littéralement terrassée comme l'avait fait Brokeback Mountain il y a quelques années, les amours à peine commencées mais que la mort rattrape will be the end of me
[+ je garde en tête : les scènes citées précédemment, la lettre de Jacques ("baisers sur tes joues demi-sel" <3), la chorégraphie Poladylès/Lacoste, les larmes à partir du dernier appel d'Arthur, que 'One' d'Harry Nilsson font couler à flot, écouter 'Seul sur ton tandem' de Voyou juste après]

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☆ visionné le 13 février

longue vie à la lutte tant qu'elle sera nécessaire et, avant tout, belle mort au patronat

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☆ commencé le 17 février

(maman s'est encore endormie :()

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☆ visionné le 26 février

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☆ visionné le 9 mars

beaucoup trop d'incohérences et de plot holes, JKR est homophobe, J*hnny D*pp me dégoûte, Queenie et Newt (les seuls personnages délicats) ont été gâchés, the only poc woman died as soon as we discovered her... heureusement que Theseus existe

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☆ visionné le 10 mars

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☆visionné le 22 mars sur arte

délicieux ! l’abondance des dialogues, les voisins chœur antique, le naturalisme et l'ode à la naïveté me feraient presque dire que Marius et Jeannette est un Rohmer réussi. d'aucuns diront que l'oeuvre frôle le ridicule, mais j'ai toujours aimé les films flirtant avec le kitsch. (bonus points pour l'esthétique très jacquemus &amp; jeanne damas lol)

en d'autres mots : « Marius et Jeannette condense [...] le soleil, l’injustice sociale, la théâtralité, l’instinct de révolte et l’espoir qu’un jour, peut-être, le monde appartiendra à ceux qu’il réduit au silence. à la fois politique et poétique, la misère version Guédiguian côtoie toujours une forme de grâce. » [cf. https://i-d.vice.com/fr/article/ywxbym/11-films-dete-a-revoir-avant-la-canicule]

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☆ visionné le 23 mars sur arte

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☆ visionné le 24 mars

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☆ visionné le 24 mars

j'ai soupiré pendant tout le dernier tiers du film — peut-on faire un personnage coming-of-age plus cliché et insensé que Sangaïlé ? (je ne parle pas ici de son lesbianisme ni de sa dépression comme ont pu le faire certaines personnes [mecs] dans les critiques parce que je suis ~ w o k e ~ (et more than concerned), mais bien de son comportement incompréhensible et de son insupportable mutisme)