Difficultés maternelles

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On est en plein dans la psychose puerpérale qui est rarissime heureusement, et qui doit être prise en charge, car elle peut faire des dégâts et sur la mère, et sur l'enfant, et nuire à la création des premiers liens, fondamentaux pour le développement du bébé.

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Pas si facile de devenir maman (et papa).
Comment l'arrivé d'un enfant bouscule la vie d'un couple, ses habitudes, ses valeurs, ses certitudes.
Après avoir fait un gros baby blues, avoir déprimé sérieusement, et s'être réfugié chez sa mère, laissant le bébé au papa, la maman (joué superbement par Louise Bourgoin) dira : « Elle m'a poussée dans mes retranchements, m'a fait dépasser toutes mes limites, m'a confrontée à l'absolu : de l'amour, du sacrifice, de la tendresse, de l'abandon. Elle m'a disloquée, transformée. Pourquoi personne ne m'a rien dit ? Pourquoi on n'en parle pas ? ».

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Ici, la difficulté maternelle prend de l'ampleur et se traduit par un délire paranoïaque qui empêche toute relation (notamment avec le père et la belle-famille), car il devient de plus en plus obsessionnel et envahissant..

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Sabine a eu son fils à quinze ans, un peu par hasard.
Sa belle mère lui dérobe l'enfant en lui mettant en tête qu'elle est une mauvaise mère. Elle la déstabilise totalement en lui faisant critique sur critique.
Elle se sépare du père de son fils, ne supportant pas la situation.
Esseulée, la drogue s'empare d'elle ; elle se prostitue pour en acheter.
Le cycle infernal commence, qui ne fait rien pour la rapprocher de son petit garçon.
Sa belle mère en profite alors pour en gagner la garde au tribunal, où Sabine est incapable de se présenter.
Des années après, arrivera-telle à recréer un lien avec son fils ?

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Alma jette à la figure d’Élisabeth comment elle n'a jamais pu aimer correctement son fils.

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La mère de Tonya ressemble à la mère de Carrie !!!
Horreur et damnations : ultra violente et d'une exigence absolute, elle passe son temps à la rabaisser.
Des années après, elle ose lui dire qu'elle a fait d'elle une championne. Oui, mais à quel prix ?

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Angélique s'est vue retirer sa dernière fille, Cynthia, âgée de six ans, par les services sociaux. Elle l'a retrouve dix ans plus tard à l'occasion de son mariage, auquel elle l'a invité, encouragée par ses trois aînés qui souhaitaient que toute la famille soit réunie à cette occasion.
Au début, Angélique n'ose pas contacter Cynthia. Ecrire une lettre d'invitation est toute une histoire, pour laquelle Angélique convoque toute sa famille. Contacter la mère adoptive au téléphone une grande difficulté. Elle cherche à se défausser sur son son futur mari Michel. Que dire d'aller voir Cynthia ? Démarche oh combien difficile mais Angélique se lance.
Cela donne de grandes scènes d'émotion, comme celle où Angélique va rencontrer sa fille dans sa famille d’accueil pour l'inviter à son mariage ou les scènes du mariage proprement dit, où les quatre enfants disent l'un après l'autre leur amour à leur mère.

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Un thème tabou, très souvent ignoré au cinéma : la jalousie d'une mère pour sa fille

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