Drumming partners

Annotation :

Dave Grohl part I:
précision des placements ultra-nécessaire (rythme et breaks sur les refrains, notamment) sans quoi ça ne ressemble à rien.

Annotation :

Dave Grohl part II:
Encore plus de mise en place ultra-précises, de variations subtiles et de micro-idées limpides. Une master classe.

Annotation :

Tommy Lee souvent très sous-côté.
Ici au moins 4 rythmes différents dont le premier, qui est loin d'être évident si on vise la fluidité.

Annotation :

John Dolmayan a bien entendu fait beaucoup plus compliqué ailleurs, mais là encore, c'est un petit trésor de précision.
Et vous savez quoi ? C'est ce que je cherche en ce moment.

Annotation :

Ben Tatcher est bien plus rigoureux que Margareth et c'est là encore une leçon de placement.
(Oui, comme ce double charley subtile en même temps que ce double coup de grosse caisse, là, à 2'24)

Annotation :

On change de style et quel meilleur prof que Joseph "Zigaboo" Modeliste, créateur du rythme, pour nous guider ?
https://www.youtube.com/watch?v=jAppzBcVR00&t=464s

Annotation :

OK, je déteste à peu près tout ce que fait Toto, mais Jeff Porcaro est un monstre, et son shuffle, inspiré de Bernard Purdie et John Bonham est un étalon absolu.

Du coup, je joue du Toto.
Bordel.

Annotation :

Autre référence absolue, ce Texas Shuffle est un tyran rythmique.
Merci Frank Beard.
Y a moyen de tricher un poil, mais c'est pas ce qu'on essaie de faire quand on travaille dessus, n'est-ce pas ?

Annotation :

Doug Clifford est un maitre du groove rebondissant.
Difficile de jouer ce morceau sans fermer les yeux (et s'élever à 3 ou 4 mètres au dessus de la batterie).

Annotation :

Impossible de ne pas voir John par ici.
Un rythme que j'ai très longtemps pas compris et maitrisé (et du coup merci Youtube).

Annotation :

Phil Rudd, batteur sous-coté n°5432.
Ici, un simple problème de bpm.
C'est con comme la pluie, mais la maitrise du tempo sur le charley nécessite une parfaite technique. Impossible a réussir sans maitrise du push-pull ou du finger control.
A chaque fois, on regarde le chrono en attendant la 6ème minute avec une pointe d'impatience.

Annotation :

Dave Grohl, part III ?
Évidemment pas, puisqu'il s'agit du regretté Taylor Hawkins.
Un enfer pour le pied droit, a coup de séries de triples démoniaques.
Work in progress.

Annotation :

Alex Van Halen est lui aussi trop peu souvent cité dans les batteurs au style propre et original. Et ici, mine de rien, y a un groove particulier à trouver, et il est pas toujours facile de s'installer comme il faut dans le morceau.

Annotation :

Retour au petit côté clinique et chirurgical.
Un charley simple et parfait. Scott Donalson est discret mais très fort.

Annotation :

Que ce soit Joe D'Arco, qui a remplacé Tommy Stewart le temps de l'enregistrement de ce premier album (il avait quitté le groupe alors encore inconnu alors qu'il s'était découvert papa d'un enfant de 6 ans..), ou même Shannon Larkin qui a pris les baguettes au sein de Godsmack depuis 2002, le poste est synonyme de puissance et précision.

Annotation :

C'est cette fois Alan White qui officie derrière les fûts (il alterne avec Bill Bruford depuis le début) et le moins qu'on puisse dire c'est que son rythme du couplet, là, dont je ne connais ni le nom ni la signature rythmique est assez caractéristique du bonhomme.

Annotation :

C'est en ré-écoutant un de mes albums préférés depuis toujours que ce titre en particulier pouvait faire office de warm-up hyper énergisant, groovy et parfait pour travailler le côté "pocket".
Merci à Kevin Wilkinson.

Annotation :

Là encore, un de mes titres fétiches depuis ma lointaine adolescence.
Et le plaisir de la mise en place et des petits breaks précis et nécessaires à la bonne marche diu morceaux.
Sans parler du refrain qui est un plaisir de la cloche de ride, combiné aux différentes cymbales.
Hommage à Ted McKenna.

Annotation :

Au delà du fait que le titre est un passage obligé pour tout batteur débutant pour accompagné un des riffs les plus iconiques de l'histoire du rock, je me suis rendu compte grâce à une vidéo de l'excellent Rick Beato que le titre ne tenait vraiment debout et avait sa force magistrale que grâce aux multiples roulements de caisse claire du génie Ian Paice.

Du coup, c'était trop dommage de ne pas l'avoir dans cette liste de travail, et une excellente façon de travailler ce qui me manque encore sur les simples rapides et les doubles maitrisés. Y a encore du boulot.
Et quel plaisir sur le solo de Ritchie.

Annotation :

C'est pas compliqué en soit, mais arriver à tenir avec consistance, efficience et métronomique constance le célèbre beat est à la fois une gageure et un plaisir.
Sans oublier les petits breaks hyper rapides et précis.
Merci Hunt Sales.

Annotation :

J'ai longtemps écouté ce rythme inaugural comme un truc qui ne me concernait pas, parce que je le retrouvais pas ailleurs et qu'il me semblait sans doute compliqué.
En fait c'est un coup à prendre, mais l'ensemble du morceau est assez déstructuré et nécessite de la concentration.
Du coup, hop ! De la place ici pour Mick Tucker.

Annotation :

Comment ça, pas de Chad Smith ?
Ah ben oui tiens. Oui, mais il trop fort.
Ben ouais.
Donc on prend un titre iconique mais par trop trop compliqué.
Et surtout, on se tient à la structure principale et on reste modeste sur les enluminures. Surtout après avoir vu son illustration sur Druméo.
https://www.youtube.com/watch?v=zV7tNP0H_M8