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Christian Bruel, "L'aventure politique du livre jeunesse", p. 66 - 67.

Hommage graphique aux illustrateurs russes et soviétiques des deux siècles passés, dans des réflexions sur la liberté, le pouvoir et les incertaines frontières de l'identité.

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Christian Bruel, "L'aventure politique du livre jeunesse", p. 67 - 68.

Sur l'incendie du Musée nationale de Rio de Janeiro. Le livre interroge la transmission culturelle, l'accaparement colonial, la morale, la responsabilité individuelle et la légitimité muséale.

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Christian Bruel, "L'aventure politique du livre jeunesse", p. 148 - 149.

"La dernière double-page montre Germaine qui ricane, regardant par la fenêtre depuis la cour le couple de fermiers, repus. Le repas est terminé. Sur un grand plat ovale ne restent de Lulu que les os. Elle a été appréciée pour la dernière fois".

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Christian Bruel, "L'aventure politique du livre jeunesse", p. 149.

Dans le même esprit traumatisant que "La vengeance de Germaine", mais avec une proposition graphique plus aboutie, sans texte.

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Christian Bruel, "L'aventure politique du livre jeunesse", p. 153.

Sur des thèmes proches de Petit-Âne (Sergey Kozlov, 1995). Par l'illustrateur du classique "La petite taupe...".

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Christian Bruel, "L'aventure politique du livre jeunesse", p. 153.

Sur un triste chien qui voulait s' "ennivrer de forêt". "Je connais quelqu'un, je ne dirais pas qui, qui l'a libéré".

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Christian Bruel, "L'aventure politique du livre jeunesse", p. 174 - 175.

Mutation anamorphique qui, lors d'une fête d'anniversaire guindée, s'empare de la ville pour refluer. Jeu de rabats pour manipuler la "tempête".

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Christian Bruel, "L'aventure politique du livre jeunesse", p. 189.

Représentations familiales alternatives, traductions graphiques subtiles des enjeux de pouvoir au sein de la cellule familiale. Anthony Browne clive et préfère représenter des cellules monoparentales saines que des couples hétérosexuels fertiles où sévit la domination patriarcale.
Thématique qui se retrouve dans d'autres albums d'Anthony Browne.

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Christian Bruel, "L'aventure politique du livre jeunesse", p. 195.

Moments de vie et plénitude dans une famille monoparentale ; représentations non sexistes et non stéréotypées.

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Christian Bruel, "L'aventure politique du livre jeunesse", p. 205

L'album aborde un évitement constant de la littérature, le sujet religieux et son interaction avec les questionnements des enfants. Il est question ici de prédestination, et de libre-arbitre, sous couvert de dialogues absurdes.

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Christian Bruel, "L'aventure politique du livre jeunesse", p. 207 - 208.

Édition illustrée par Atak du conte philosophique, politique et antireligieux de Mark Twain. Nombreux jeux de référence qui viennent ajouter un second niveau de lecture très joueur sur un texte déjà extrêmement dense.

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Christian Bruel, "L'aventure politique du livre jeunesse", p. 219 - 220.

Grand album, histoires entrelacées et arbre généalogique dans lequel se croisent des profils sociaux très contrastés, chacun représenté par un portrait chinois fouillé.

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Christian Bruel, "L'aventure politique du livre jeunesse", p. 276.

Boxe et piano à queue. "Les personnages dans cet album ne sont pas des silhouettes. Ils ont des corps et une histoire."

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Christian Bruel, "L'aventure politique du livre jeunesse", p. 317 - 318.

Témoignage honnête d'une période terrible, qui ne mise pas exclusivement sur le pathos, et permettant une bonne contextualisation. Le graphisme cite le réalisme socialiste.