Exploration des FPS

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Un ancêtre qui a beaucoup vieilli, en particulier avec ses dédales labyrinthiques où il est bien difficile de se repérer. Mais bon, zigouiller du nazi a toujours été un truc sympa à faire et ce titre offre de quoi faire à ce niveau.

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L'un des plus anciens représentants du genre (bien qu'on puisse toujours remonter plus loin), mais surtout encore un jeu très emblématique du genre. Pourtant, malgré sa réputation de jeu très bourrin, Doom n'a rien d'un Serious Sam et il faut avancer avec prudence dans un environnement souvent très angoissant...

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Heretic ? C'est tout simplement Doom à la sauce heroic-fantasy. On dézingues gargouilles, golems et mages à coups d'arbalètes magiques dans des châteaux, grottes et cimetières. L'ambiance et les musiques sont très bonnes, mais c'est moins oppressant que Doom, car la plupart des niveaux sont à ciel ouvert. Certains passages sont très, très tendus, le joueur étant vite encerclé d'ennemis assez puissants, mais ça la recette fonctionne toujours aussi bien.

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Après deux épisodes en 2D, Duke Nukem débarque dans la 3e dimension. Pas aussi débile qu'il y parait, DN3D est surtout une merveille de game design qui nous enverra botter des culs dans l'espace avec un arsenal jouissif.

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Chef-d'oeuvre total, Quake est un des jeux les plus beaux jamais sortis pour son époque. Un des premiers titres en full 3D mais surtout une atmosphère incroyable, extrêmement oppressante mêlant science fiction et gothique avec une bande-son terrifiante signée Trent Reznor de NIN.

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Le FPS console gagne ses lettres de noblesse avec ce titre légendaire au mode solo captivant et au multi bien fun.

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Digne successeur de DN3D et Blood, Shadow Warrior nous place dans les tongs d'un samouraï devant affronter une horde de zombies. Pouvant manier aussi bien le katana que le double Uzi, notre brave homme va repeindre un Japon futuriste d'une bonne dose d'hémoglobine, et tant pis si le gameplay commence à sentir l'antiquité.

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Une suite qui hélas propose une ambiance plus générique que son aîné, et surtout bien moins flippante. Mais ce FPS reste très efficace et la progression dans les niveaux est en particulier intéressante.

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Bien sûr, Blood n'est pas grand-chose de plus qu'une skin pour DN3D, avec un gameplay identique et la même propension à la transgression. Mais quel enrobage ! Ce titre nous emmène dans des années 20 très mystiques dans d'excellents décors glauques. Un des jeux les plus gores de son temps, on peut jouer au foot avec les têtes de zombies !

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Bon, là, le genre a trouvé son chef-d'oeuvre définitif, tout simplement. Certes géniteur du courant contemporain simplifiant le gameplay au profit d'une progression aussi spectaculaire que linéaire, Half-Life reste la référence absolue du FPS immersif avec ses scripts à la pelle et sa progression variée où l'on doit échapper à des extra-terrestres comme à l'armée dans un immense complexe scientifique. Indépassable.

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Un de mes petits favoris, ce FPS troque la violence gratuite pour l'immersion et l'aspect aventure. Seul sur une planète inconnue, on devra se frayer un chemin parmi les temples exotiques et les épaves de vaisseaux spatiaux : ABSOLUMENT GÉNIAL.

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Précurseur de Deus Ex, SS2 vous plonge dans une station spatiale en perdition dont l'intelligence artificielle centrale a sombré dans la folie. Il faudra éviter ou massacrer l'équipage zombifié, les singes transgéniques et quelques robots tueurs pour survivre dans cet univers hostile. Le gameplay mélange avec brio FPS, RPG et survival-horror, en faisant un chef-d’œuvre exigeant.

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Avec ce titre encore une fois mythique, id fait fi du mode solo et ne propose que des matches à morts. L'esthétique retrouve un aspect gothique mais la dimension futuriste est encore plus forte, un vrai régal au final. Le gameplay sportif au poil en fait un des jeux les plus jouissifs du genre.

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Tournament est la réponse à Quake III : du multi, et du multi. L'esthétique est plus hétéroclite mais le gameplay offre des modes de jeux plus variés et ambitieux. Un régal, malgré les armes légèrement bancales.

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Saint Graal culte du FPS, KingPin est un jeu aussi violent que grossier vous plongeant dans Radio City, ville vaguement rétro-futuriste et cyberpunk mais surtout salement glauque. Faire les poches des cadavres et recruter des gros bras seront indispensables pour tracer votre route jusqu'au caïd local et lui vider votre chargeur dans le foie !

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Une extension à Half-Life qui nous fait vivre l'aventure sous l'uniforme d'un soldat de l'armée. Nouvelles armes, nouveaux environnements, durée de vie conséquente et action encore plus intense : ça c'est de l'extension.

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Loin d'être un pur FPS, le meilleur jeu de tous les temps mélange ce genre avec le RPG pour proposer une aventure exquise dans un univers cyberpunk de folie où l'on peut modeler le scénario au fil de ses actions. Il est tout à fait possible d'appréhender le jeu comme une longue fusillade comme on peut le terminer en passant son temps à se faufiler dans l'ombre sans tirer un coup de feu.

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Le FPS tactique est un genre peu représenté dans le paysage vidéoludique et Project IGI en est un des meilleurs représentants. Il va ici falloir infiltrer divers complexes militaires d'ex-URSS pour récupérer des ogives nucléaires (original, oui). Le gameplay est au poil et offre un challenge conséquent avec ses cartes absolument IMMENSES.

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Oui, SoF est un titre nauséabond, mais quand on a 12 ans et qu'on se retrouve en face du jeu le plus gore de tous les temps, on s'en fiche. Alors c'est parti pour de la mitraille néo-fasciste en Occident comme en Irak. Aucune révolution ici, mais un gameplay efficace et une progression prenante, avec des armes très jouissives. Les atmosphères urbaines sont très réussies, en particulier au début du jeu à New York.

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Un FPS de grande qualité où le gameplay (orienté infiltration avec une tonne de gadgets à utiliser) comme l'ambiance (années 60) sont peaufinés à merveille. Le jeu compte quand même nombre de passages explosifs mais propose surtout un mode solo très varié à l'humour omniprésent.

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Un jeu qui aimerait vraiment être le nouveau Half-Life, mais qui hélas est loin de posséder une atmosphère aussi mémorable et un gameplay aussi perfectionné. La grande nouveauté de pouvoir détruire le décor est assez sous-exploitée, et l'aventure finit par être assez monotone. Ça reste un jeu honnête pour les moins exigeants.

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Deuxième et dernière extension à Half-Life, qui nous propose cette fois-ci de jouer un garde de sécurité de Black Mesa. La déception est cruelle après Opposing Force : les nouvelles armes ont disparu, les environnements n'ont absolument rien de nouveau, et surtout la durée de vie est ridicule. On retrouve tout de même l'ambiance d'Half-Life, ainsi qu'un appréciable lifting graphique, mais bon. Je ne peux tout de même pas haïr ce jeu, puisque c'est avec lui que j'ai découvert la saga !

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Cette série culte de FPS old school bête et méchant démarre en Égypte. On y affrontera des ennemis absurdes à la pelle. Il faut avouer que dans le genre bourrin, eh bin on fait pas plus bourrin. Hélas, si les environnements sont beaux, ils sont désespérément trop vides et le tir au pigeon finit parfois par être sérieusement gavant.

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La mouture 2003 du FPS multi se présente déjà avec un rendu graphique assez ahurissant pour l'époque. Le gameplay a été fignolé pour être plus nerveux et rapide et l'atmosphère est toujours aussi unique. Si l'on regrette la disparition du mode Assaut, le nouveau venu mêlant football américain et deathmatch est plutôt fun.

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Un FPS au background original puisque se situant en 1964 alors que la première guerre mondiale n'est toujours pas terminée... La difficulté est assez rebutante, surtout avec une maniabilité aussi rigide, mais l'atmosphère apocalyptique et oppressante en vaut la chandelle.

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Un clone de Serious Sam, situé dans la Grèce antique. Les armes sont assez rigolotes au début, mais les immenses environnements assez vides et sans saveurs finissent vite par lasser, et le massacre en masse de squelettes et minotaures se révèle vite barbant.

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Une suite bien fade qui ne fait absolument pas honneur à son aîné. C'est plutôt beau oui, mais l'atmosphère ne captive pas et le gameplay ennuie plus qu'autre chose...

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Dans l'absolu, un jeu tout à fait correct, mais en tant que suite à Deus Ex, une immense déception. Tout ce qui faisait le sel du jeu original a été simplifié et allégé. La faute à qui ? Au développement joint PC/Xbox évidemment. MERCI BILLOU. Le design est également d'assez mauvais goût avec des trucs fluos dans tous les sens, et les niveaux étriqués pour pouvoir être chargés sur bobox sont insupportables. Ne reste finalement que le scénario, toujours aussi soigné.

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A la manière d'un Deus Ex, Bloodlines croise FPS et RPG, mais dans l'univers du jeu de rôle papier Vampire. Un jeu ambitieux hélas pas vraiment terminé et donc souvent bancal et affreusement truffé de bugs. Mais même en l'état, il propose une aventure franchement incroyable à l'ambiance dingue.

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Attendu comme le messie, Far Cry se hisse sans mal en 2004 sur le podium des FPS grâce à une technique irréprochable et bluffante et surtout grâce à des niveaux immenses et très ouverts. On prend un pied incroyable à explorer la jungle en défouraillant à tout va, sans compter que le soft offre une sensation de non-linéarité bien plaisante. Les passages en véhicules sont également grisants, de la Jeep au deltaplane ! Dommage que les passages en intérieur, plus traditionnels, soient aussi nombreux.