Ils sont... Malsains

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Un film particulièrement dérangeant. On suit l'éducation d'un enfant gardé par un violeur et tueur en série, qui en fait son homme à tout faire, puis son apprenti. S'agirait-il du syndrome de Stockholm ?

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Un thème d'une rare violence sociétale : la prostitution infantile. On ne sort pas indemne de ce film, il colle mystérieusement à l'âme en y déposant une sombre tristesse sur ce que peut être l'humanité.

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Prédateur du Net et adolescence meurtrie, quand l'horreur suggérée glace le sang

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Violence traumatique d'une jeunesse serbe en déshérence. Film crû et sans concession.

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Film crû, d'une rare violence et traumatique, il va au-delà de l'imaginable pour choper le téléspectateur aux tripes.

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Rythme lent, narration en voix-off, pratiquement aucun dialogues... Ce film nous plonge dans la tête du tueur, ses desseins, sa logique, ses pulsions. Pertinent et indélébile.

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Narration lente, film tortueux (pour ne pas dire tordu), il traite un des sujets les plus choquants qui soit...

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Ce court-métrage de Nacho Cerda va loin dans le trash et laisse un sentiment empreint de dégoût profond et de voyeurisme malsain.

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Le titre est annonciateur, le film porte sur la nécrophilie. Le rythme est lent, l'histoire sans grand intérêt, les effets spéciaux ont mal vieilli, mais diable qu'il est malsain !

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Le glauque côtoie le sordide pour mieux écoeurer le trash d'une vie triste, souillée, salie. Un garçon suit l'itinéraire chaotique d'une mère prostituée, désœuvrée et toxico.

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Un monde entre réalité et onirisme, des séquences chocs. Heureusement... elle voulait bien faire !

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Tournage épileptique en noir & blanc avec une poignée de répliques et une sacrée dose de hurlement. On voit l'enlèvement et les tortures répétées de Bunny, jeune prostituée addict à la cocaïne. C'est malsain, une succession de scènes de tortures suggérées et d'humiliations dégueulasses diverses et variées.

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Narcissisme, esthétisme, recherche de la jeunesse éternelle et de la beauté universelle décrits dans un rythme lent par une photographie magnifiée, contrastée. Une histoire malsaine et troublante, certains personnages sont très intéressants, comme celui de la maquilleuse dévorée par une passion morbide.

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Un film de la Ozploitation. Tout est daté (les effets spéciaux comme le jeu des acteurs), mais l'histoire est originale et le regard fixe de Patrick cache bien des choses.

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Un foundfootage original autour de la popularité sur les réseaux sociaux... et s'il suffisait de filmer ses meurtres en direct pour augmenter les vues ! Un roadmovie atypique, faut que ça saigne !

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Un film particulièrement bien filmé, au rythme lent, permettant de suivre le parcours de trois membres d'une même famille : le grand-père, le père, le fils. Chacun est en proie à de singuliers troubles particulièrement écœurants.

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Un film norvégien qui oscille entre une satyre de la société et le thriller. Les personnages installés dans un quotidien somme toute classique (à l'exception du beau millionnaire célibataire) d'un couple se rencontrant sur Tinder, l'histoire se met en place et se révèle froidement cruelle.

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Une bien drôle de fratrie née et élevée par un père meurtrier en série. Une image soignée dans le sale et le sombre, des scènes évoquant les peintres flamands, une certaine lenteur dans la narration permet de s'imprégner d'un univers poisseux et glauque.

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L'élevage d'humains pour la consommation n'est pas à mettre en toutes les pattes... Des allégories intéressantes, une bonne idée, des travelling et un plan séquence réussis. Certains passages peuvent heurter.