Jeux Vidéos terminés en 2017

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Moins original dans son concept que Life is Strange, The Walking Dead n'en reste pas moins une formidable expérience vidéoludique dans laquelle les développeurs parviennent vraiment à nous impliquer de bout en bout. Plongé au cœur d'un monde rongé par une invasion de zombies, nous devrons donc survivre au sein d'un groupe composé d'individus différents à la personnalité bien marquée. Nous sommes libres de pouvoir interagir avec chacun et de nouer une relation avec eux en fonction de nos paroles ou de nos actions, nous obligeant donc à choisir stratégiquement nos réponses et nous donnant la nette impression que nos choix influent sur le déroulement de l'histoire. Avec en prime, quelque phases d'énigmes faciles ou de QTE au gameplay simpliste mais jamais rébarbatif, nous permettant d'être constamment actif et donc naturellement plus impliqué dans le récit. Et l'expérience fonctionne. Je n'ai pas eu l'impression de voir une aventure, mais de la vivre. Chaque épisode contient son lot d'émotion, de surprises et de choix cornéliens. J'étais tellement à fond dedans que, après quelques heures, je ne me disais pas "oulala j'ai juste à bourrer A + E pour contrer les zombies" non, je me disais simplement, vite je dois repousser ses zombies parce que le temps presse, parce que Clémentine a besoin de moi, parce que la situation est critique ! Tant et si bien que, je m'en foutais de la simplicité du gameplay, je voulais simplement avancer dans l'histoire. Et c'est dans cette optique que j'ai pu prendre un pied monstrueux devant Walking Dead, jusqu'à son final tragique et déchirant.

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Avis Complet :
http://www.senscritique.com/activity/130199/8421598

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Vous rêvez de vous retrouver dans un monde infesté de zombies et tentez d'y survivre en gérant vos rations de bouffe, votre ennuie et en exterminant les rôdeurs autour de chez vous. Mais vous n'osez pas y penser car le risque de mort vous effraies trop ? Pas de panique. The Indie Stone a conçu un jeu de survie et de gestion spécialement pour vous.

Aucune ambiance particulièrement effrayante, pas de compétence au corps à corps exigé. Le jeu ne vous demande que de vous maintenir en vie le plus longtemps possible dans un environnement très hostile. Et il ne s'agit pas simplement de vous nourrir, mais aussi de vous distraire, de gérer vos angoisses, de soigner vos blessures et de vous reposer en gardant toujours un oeil sur les dangers extérieurs. Project Zomboid offre beaucoup de possibilités et d'éléments afin de ressentir au mieux l'expérience qui vous est proposé.

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Je ne comprend pas les retours négatifs qui sont faits à son encontre. Ses détracteurs n'ont pas su recevoir le jeu tel qu'il était. Certes, on peut lui reprocher son gameplay injouable et absolument pas fun, ses graphismes hideux au sein d'un univers incohérent, son optimisation catastrophique de la map dans laquelle nous peinons à reconnaitre notre chat au milieu d'un immense bordel d'items, de décors ou de couleurs qui t'agressent constamment la rétine, son mode zombie tout simplement intestable, la cataracte qu'il nous procure à force de fixer l'écran pendant les longues minutes de la partie ou ses innombrables bugs allant jusqu'à exploser l'écran en plein chargement ou à le détérioré progressivement à chaque partie.

Toutefois, l'auteur le dit lui-même, le jeu est barré. Par conséquent, tous les "défauts" que l'on pourrait lui reprocher sont en fait des partis pris artistiques sciemment voulus. Il convient donc de le juger non pas comme un jeu mais comme une œuvre d'art expérimentale et à ce titre, il mérite amplement la note que je lui donne.

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Une sorte de version longue de There is no Game dans lequel le joueur est amené à vivre une aventure méta où il va devoir se battre avec une IA pour tenter de sortir du jeu en le bousillant de l'intérieur.
Avec un concept aussi prometteur il serait difficile de foirer le jeu et effectivement le projet finit est très sympathique, regorge d'humour et joue constamment avec le joueur comme avec les codes du jeu vidéo pour nous offrir une expérience prenante.
Mais bon hein, n'est pas Kojima qui veut. Le brisage de 4° mur et l'expérience méta c'est rigolo dans un jeu.fr de 10min, mais sur un jeu Steam de 3h c'est plus la même chose. Au bout d'un moment on finit par tourner en rond dans cette intrigue pas folichonne finalement trop prévisible dans son déroulement. Alors quand les phases de jeu sont presque toujours les mêmes (trouver un chemin pour déplacer une flèche et jouer à un platformer avec un poney qui tire des lasers) ça devient vite soûlant. Je vois bien que les développeurs ont pensé au Cban qui se fout de l'expérience méta et qui, lorsqu'il joue à jeu ne désire seulement que.... jouer à un jeu. Ces phases ne sont donc pas une mince à faire, la difficulté évolue et met en difficulté le joueur. Seulement le Cban il a déjà choisit de détester le jeu et ne trouvera de toute façon pas son compte là-dedans. Quand au joueur du Dimanche comme moi, il est là pour le scénario et n'a pas envie de se faire chier des plombs sur un platformer dur au gamplay naze ou sur un puzzle game dont le concept n'est pas du tout attractif.

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Typiquement le genre de jeu qu'il me fallait et je remercie Steam de l'avoir mit sur ma route pour moins de 4€.

Portal 2 c'est un gameplay simple au service d'énigmes ingénieuses utilisant à merveille le concept de téléportation. Elles consistent à s'extirper d'une pièce par ce moyen pour en regagner une autre où la difficulté sera plus importante et ainsi de suite.
Si le fait de vous triturer les méninges pour résoudre des casses têtes vous amuse déjà beaucoup alors vous trouverez forcément votre compte là-dedans. Mais l'idée de génie des développeurs est d'avoir ancré leurs phases de jeu dans un véritable univers consistant et énigmatique, donnant ainsi au joueur non pas la sensation de passer d'une énigme à l'autre, mais de vivre une grande épopée en explorant un monde gigantesque dont on apprend le passé et tous ses secrets au fur et à mesure.

Nous plongeons corps et âme dans cet univers dont nous apprenons pas à pas à comprendre les règles, évoluant dans une histoire toute simple mais qui se révèle passionnante grâce à notre implication dans le jeu, la richesse des personnages, leur interprétation impeccables, les retournements du scénario et la drôlerie des dialogues teintées de cynisme et d'humour noir. A chaque fois qu'on sent la fin arriver, le jeu parvient à nous surprendre en nous amenant dans une direction inattendue, renouvelant par la même ses environnements, ses phases de jeu, son ambiance et même ses protagonistes.

Malgré deux ou trois accrochages dues à quelques énigmes assez ardues (pour moi hein mais pas pour le commun des mortels je vous rassure), j'ai pris un plaisir monstre à jouer à ce jeu et je le recommande à tous, surtout si vous aussi vous êtes de gros cazus.

Quand au mode coop, il est tout aussi attractif. Cette fois pas d'histoire en continue, vous incarnez juste deux robots employés pour faire des tests dans des salles conçues spécialement pour deux joueurs. De quoi satisfaire votre envie énigmes si le mode solo ne vous a pas rassasié.

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Bon ok y a des questions qui sont vraiment stupides, le correcteur automatique semble avoir été codé par un roumain, passé 15 parties t'as l'impression d'avoir toujours les mêmes interrogations et l'attribution des points se fait souvent de manière complètement aléatoire.
Mais c'est rigolo de se défiait entre amis dans ces listings sur des sujets où se creuse la cervelle pour tenter de plaquer nos connaissances le plus rapidement possible. Et même si on tombe sur un sujet dont on ne sait rien, au terme de cet échec on retiendra quand même plus facilement les informations pour mieux les ressortir la prochaine fois ou dans d'autres contextes.
Donc c'est un jeu sympa, instructif (dans la limite de ses possibilités) et parfait pour tuer le temps dans le tram ou durant un cours d'Histoire des Arts.

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"Construisez votre métro", le synopsis de SC résume assez bien le jeu, le vois pas quoi ajouter d'autre xD
Donc plutôt que d'écrire un long commentaire qui sera de toute façon pas lu, je préfère vous passer un documentaire https://www.youtube.com/watch?v=UntBusodMVM

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C'est déjà plus marrant et ludique que Dieudorun.

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Ma réaction après des heures et des heures à sauter sur ces foutues plateformes https://www.youtube.com/watch?v=5Eebb0JqU_Y

Non sérieux c'est la frustration incarnée ce jeu. T'es obligé de mémoriser chaque parcelle de la map, chaque arrivé d'ennemi et de recommencer les niveaux encore et encore. La moindre erreur peut t'être fatale et tu n'as que 3 vies pour tout boucler ! Y a bien les Warpzones seulement en sautant des niveaux entiers, je me retrouve dépassé par des environnements beaucoup trop fournis et difficiles pour mon faible niveau, alors je fais quoi hein, je fais quoiiiiiiiiiiiiiii ?

Je mettrais une meilleure note quand je serais devenu un meilleur joueur, voilà.

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Avis Complet :
https://www.senscritique.com/activity/130199/11516391

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Entre l'animation saccadée, la modélisation dégueulasse des personnages et leur chara-design disons... approximatif (Père Fouras avec des cornes ?!), les énigmes de mecs bourrés, le gameplay ultra pauvre utilisant 2 mécaniques déclinables à l'infinie et rendues injouables par tout un tas de bugs sans rapport avec le skill du joueur.
Ce jeu est tout simplement ignoble !

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Cinématic Platformer 3D très similaire à Inside mais avec une grosse spécificité, celle de contrôler en même temps deux personnages avec les deux bouts de notre manette Xbox, ce qui nous oblige à une certaine coordination dans nos actions afin de résoudre les différentes épreuves qui se dresserons sur notre chemin.
Le jeu est très sympa, il a en effet une bonne ambiance et sa direction artistique très soignée favorise grandement son appréciation, d'autant qu'on a vraiment l'impression de parcourir un univers immense et cohérent dont on peut parfaitement distinguer l'ensemble au fur et à mesure que nous avançons dans notre parcours.
En revanche, si je le compare à Inside, j'ai largement été plus touché par ce dernier en terme d'ambiance, de gameplay et d'expérience narrative. Ici, le jeu utilise sa grammaire vidéoludique pour appuyer le point central de son scénario, la relation entre les deux frères et leur entre-aide mutuelle symboliser par le double contrôle de notre manette. C'est par le gameplay que nous comprenons la fraternité des protagonistes et c'est par le gameplay que l'on nous fait ressentir le vide laissé par la mort du grand frère en fin de jeu, de même que sa présence spirituelle qui permettra au petit d'avoir le courage nécessaire pour vaincre sa peur de l'eau.
C'est très bien, mais perso ça suffit pas à m'impliquer viscéralement dans le récit. D'aucun que le propos développé est finalement très pauvre.
Pour moi Brothers restera un jeu très cool au concept sympa, mais en aucun cas une expérience vidéoludique exceptionnelle.

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Gamin j'aimais bien le jeu parce qu'il me donnait l'impression d'être moi même un candidat du Fort affrontant ses redoutables épreuves que j'avais vu tant de fois à la TV.
Mais au bout d'un moment faut accepter de grandir et voir la réalité en face.

Qu'on se rassure, cette version Wii est bien meilleure que son homologue sur PC que j'ai eu le bonheur de tester il y a quelques mois, là au moins C'EST JOUABLE.
L'ennuie c'est que le gameplay ultra basique aux mécaniques similaires d'épreuve en épreuve tape vite sur les nerfs et n'a rien de ludique. Ajouté à ça : des graphismes hideux, une interface dégueulasse, des tutos explicatifs de passe-partout qui sont des mèmes à eux tous seuls, des énigmes niveau 1er année de Segpa et les encouragements aléatoires de nos partenaires qui nous soutiennent sans trop savoir pourquoi.
Seuls points positifs, presque toutes les épreuves sont parfaitement jouables et ne souffre d'aucun bug ou problème de maniabilité ce déjà relève de la prouesse, les mini-jeux du conseil sont relativement sympas et bien-sûr la sublime BO de l'émission vient rythmé notre aventure et sait nous remonter le morale lorsque entre deux secousses de nunchuck on en vient à se demander comment on a pu se retrouver dans cette galère.

Le pire dans cette histoire c'est que tous les sites s'accordent sur le fait que ce jeu-vidéo est de loin le meilleur de la licence. J'ai d'autant plus hâte de voir ce que les autres nous réservent du coup.

A suivre.... ?

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Tout ce que j’ai dit à propos de Fort Boyard s’applique aussi à ce jeu. A ceci près que l’univers d’Intervilles n’est pas assez fascinant pour que je me fasse l’intégralité de sa licence.
A la place je me contenterais plutôt de vous passer un petit extrait de ce qu’était l’émission à l’époque où j’étais suffisamment dégénéré pour la regarder chaque semaine. https://www.youtube.com/watch?v=iT88MfAr5S4

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Arrêté à mi parcours.

J'aime beaucoup l'univers RPG-rétro ainsi que son aspect parodique, ses gags référencés et les situations loufoques dans lesquelles il nous entraîne. Mais y a un point noir qui a finit par avoir raison de ma patiente se sont les phases de combat. Étonnant me direz vous, étant donné que les combats au tour par tour sont la base du jeu, ben ouais mais que voulez vous, le gameplay est soûlant et ce quelque soit la manière dont vous désirez jouer.
Vous optez pour une approche génocidaire, vos phases se limitent à appuyer sur une touche au bon moment pour vaincre des ennemis de plus en plus puissant. Degré zéro de l'amusement.
Vous optez pour une approche pacifiste, vous devez tenter de comprendre votre ennemi pour amorcer un dialogue positif avec lui afin le faire renoncer au combat. Concept plutôt amusant j'en conviens, mais quand vous devez convaincre les mêmes ennemis qui reviennent en boucle de la même manière, au bout d'un moment ça devient répétitif. Mais le pire, c'est quand vous tombez sur un ennemi plus récalcitrant qui ne cède pas aux premiers dialogues et dont il faut persévérer durant de longues minutes pour trouver ses failles, parfois sans savoir si on est sur la bonne voie et si on ne s'enquiquine pas avec une stratégie qui n'est pas la bonne. Cela peut donner lieu à des combats interminables durant de longues minutes et ça, couplé aux musiques de trois notes qui se répètent en boucle c'est insupportable ! Surtout quand, entre les choix d'action, on doit tenter d'esquiver les coups portés à notre petit cœur avec les touches de notre clavier.

Certains me rétorqueront que le gameplay est surtout là pour véhiculer un propos, puisqu'en nous proposant des phases répétitives lorsqu'on agit par la violence et des phases plus "ludiques" lorsqu'on essaye de mettre un terme à l'affrontement par une voie pacifique, le développeur nous incite à embrasser une approche plutôt qu'une autre et ce, afin de développer son message de paix et d'amour. Idée assez ingénieuse en effet mais pour laquelle je suis assez peu sensible. Déjà parce que le propos est quand même assez niais et que son développement n'en demeure pas moins simpliste, et de l'autre si il en ressort des phases de jeux chiantes des deux côtés, c'est que le jeu est raté, même si son message lui est bien présent.

J'éprouve plus de plaisir à suivre le déroulement de l'histoire et à découvrir tous ses personnages en toute passivité qu'à être moi-même actif au sein du récit.

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Jeu coopératif dans lequel l'entente entre vos partenaires, la répartition des tâches et la synchronisation parfaite de vos actions vous serons indispensables pour cuisiner dans les temps de bons petits plats.
Le gameplay est simple et les actions sont quelque peu répétitives, mais les différents niveaux proposent toujours des décors variés avec des caractéristiques qui vous forceront à adopter une stratégie particulière et à s'y tenir pour servir le maximum d'assiettes possibles. Le stress du timer, les imprévus de la cuisine, les engueulades avec vos compères parce qu'ils mettent 3secondes de trop à couper une salade... Overcooked est un petit peu une adaptation non-officiel de Masterchef avec des environnements fantaisistes et en ce sens il est très réussit.
Même si à titre personnel, je trouve qu'on n'arrive pas bien loin en ne formant qu'une équipe de deux joueurs. Mais c'est peut-être parce que je suis un piètre testeur, ce qui est un paramètre à ne jamais négliger.

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Cinematic Plate-former dans la lignée d'Inside, le second jeu du studio PlayDead que j'ai eu beaucoup de plaisir à jouer il y a quelques mois.
C'est décidément un genre que j'affectionne particulièrement et je suis très heureux de retrouver dans Limbo le même parcours de plate-formes à traverser en résolvant une série d’énigmes jouant avec la physique du jeu et l'appropriation de plusieurs mécaniques qui se découvrent au fur et à mesure de notre avancé. Le tout dans une ambiance glauque et oppressante au combien efficace alors que peu de moyens sont mis en place.
Légèrement plus difficile et donc plus frustrant, le jeu ne possède cependant pas la profondeur palpable d'Inside. Ce dernier parvenant à développer un subtile propos sur le libre arbitre dans son déroulement et dans l'évolution de son gameplay. Donnant ainsi au joueur la sensation de comprendre peu à peu les tenants et les aboutissants de l'univers dans lequel il avançait et de l'histoire qu'il était entrain de vivre.
Dans Limbo, l'univers étrange restera obscur du début à la fin. Même le dénouement final n'apporte aucune réponse sur ce que nous venons de vivre. Et même si plusieurs théories tentent d'apporter des réponses sur sa signification, trop peu d'éléments concrets sont à notre disposition pour formuler une interprétation qui tienne la route, ce qui me fait me demander si l'auteur avait vraiment quelque chose à raconter au travers son jeu indé.
Que se soit ou non le cas, peu importe puisque le plaisir de Limbo passe avant tout par son ambiance et ses énigmes. Mais je trouve malgré tout Inside bien plus riche et aboutit que le premier né du studio.

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https://www.senscritique.com/activity/130199/12743161

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Idéal pour tuer le temps durant un trajet en bagnole ou en avion. J'attends de pouvoir y jouer à plusieurs pour vraiment profiter de l'expérience au maximum.

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Le jeu est assez sympa surtout durant ses phases de plateforme et d'infiltration. Le level design est plutôt bien pensé, la difficulté s'accroit continuellement sans nous prendre au dépourvu et les développeurs ont fait beaucoup d'efforts pour diversifié au maximum le gameplay et renouveler constamment l'expérience de jeu. L'une des bonnes idées étant de pouvoir contrôler plusieurs personnages à tour de rôle, chacun possédant ses propres spécificités et amenant à des missions différentes.

Mais à trop vouloir en faire, Sly 2 accumule les erreurs et les maladresses. Avoir un gameplay varié c'est cool, on peut faire du tir, du shoot'em up, de la course poursuite, ect... mais quand tout n'est pas correctement maitrisé ça peut vite devenir soûlant, surtout si les phases de jeu s’éternisent à n'en plus finir.
De plus, construire un jeu non-linéaire qui nous pousse à traverser une map ouverte à chaque épisode pour y effectuer diverses missions, sur le papier c'est cool. Mais sans carte, ni GPS pour se repérer ça devient vite pète couille, surtout lorsque tous les environnements se ressemblent et qu'ils sont truffés de gardes pas toujours faciles à éviter. On se retrouve vite paumé et à court de vie avant même de pouvoir enclencher la mission.

D'un point de vue esthétique, le jeu a mal vieillit. La DA très cartoon donne un bon cachet à l'univers, mais les textures dégueux et surtout la colorimétrie sombre et palote suffisent à le rendre affreusement laid.
Je n'ai pas non plus adhérer au scénario servant juste de prétexte pour effectuer des cambriolages dans des lieux divers. Le schéma est d'ailleurs toujours le même (repérage des lieux + plan en plusieurs étapes pour préparer le terrain = plan final où chacun est mit à contribution afin de récupérer l'objet convoité). Deux, trois rebondissements font un peu évolué le cours des évènements mais ce schéma reste toujours le même.
Quand au reste, mise à part un gros délire autour du trafic d'épices, le jeu nous sert une galerie de personnages pas franchement mémorables avec des voix au combien soûlantes sur le long terme. Je ne suis également pas sensible à l'humour même si je reconnais que les plans grotesques et tirés par les cheveux sont assez rigolos. Mais je pense que je suis de toute façon trop vieux pour apprécier Sly à sa juste valeur, c'est typiquement "un jeu d'enfance" et peut-être que si je l'avais découvert du haut de mes 8ans, j'aurais été plus sensible à son ambiance.

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Curieusement la maniabilité est plutôt bonne. C'est la seule qualité qu'on peut attribué à Crazy Frog Racer. Le reste est vraiment ignoble.
Entre la même map recycler en boucle, la DA horrible, les textures moches, les circuits bordéliques qui nous embrouille le ciboulot, les bugs incessants quand on tente d’accélérer et la durée interminable des phases de jeu alors, y a de quoi devenir aussi dégénéré qu'un gamin écoutant du Crazy Frog H24. En soit c'est une bonne adaptation du coup, sauf que non.

La créature a beau être un énorme shipost, elle a quand même pour elle un univers, un ton et des musiques bien à lui. On aurait pu s'attendre à un jeu merdique mais empreint du même esprit bébête, mais les développeurs ont juste fait un jeu de course ramdom et l'ont affublé du visuel Crazy Frog sans que l'essence en soit retrouvée. C'est minable à ce point quoi.

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J'ai découvert que c'était l'un des épisodes les moins appréciés de la licence et je trouve ce jugement un peu sévère.
Certes, je conçois qu'un fan pur et dur de Mario puisse avoir un sentiment de déjà vu face à ce jeu qui ne fait que recycler des mécaniques propres à tous les jeux 2D sans apporter grand chose de neuf. Mais en soit, le jeu demeure très bon.

Pour moi qui ne suis pas un énorme connaisseur de la franchise et qui ne joue pas beaucoup aux jeux de plateforme, cet épisode est taillé à ma mesure. Il synthétise en effet le meilleur de tout ce qu a rendu la série si plaisante au fil du temps, offrant ainsi une porte d'entrée à la nouvelle génération qui n'aurait jamais joué aux Marios Bros des années 80-90.
D'aucun y voit un jeu fainéant et trop simpliste, moi j'y vois un jeu plus accessible et varié.

Le seul tort que j'aurais à lui reprocher, c'est sa courbe de difficulté pour le moins irrégulière. On alterne entre des niveaux difficiles et d'autres d'une grande facilité sans vraiment sentir une réelle progression au fur et à mesure de notre périple. Au point que lorsque la fin arrive, on a même pas tellement la sensation d'avoir finit un jeu.
Mais bon, honnêtement pour un novice comme moi, ce New Mario Bros reste une excellente expérience et un bon entraînement pour les autres opus qu'il me reste à tester.

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Eh ben alors biloute, tu t'es foutu d'ma guiffe ou koi là ? C koi cet brin là oh. Un Mario party à la sauce chti cha avait l'air chuper, mais là tu as drouler des karabistouilles hein !
C du crotin de maroal ce jeu.

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Avis Complet :
https://www.senscritique.com/activity/130199/10723185

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Avis Complet :
https://www.senscritique.com/activity/130199/52138

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Avis Complet :
https://www.senscritique.com/activity/130199/486154