Joués en 2017

Annotation :

Vu que ma sauvegarde était désormais inutilisable, j'ai eu la "chance" de pouvoir tout recommencer depuis le début.
Malgré un build douteux avec les lames de miséricordes, l'aventure - déjà courte - a été pliée deux fois plus vite.

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Mais vers la fin du DLC j'ai commencé à regretter sévèrement d'avoir investi des points dans l'ésotérisme... inutile dans beaucoup de situations, autant y aller en bourrinant c'est largement plus efficace.
Et j'ai enfin tué cet enfoiré d'Orphelin de Kos.

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Grosse surprise ce Batman que j'ai acheté un peu par hasard, et pour un prix minime. Arkham Asylum et Arkham City ne m'avaient pas laissé une grande impression, surtout à cause du système de combat à chier et de scénarios pas terribles.

Ici, les combats ne sont, certes, pas plus intéressants qu'avant, mais il y en a beaucoup moins d'obligatoires, il n'y a pas de boss ennuyeux et surtout le gameplay est grandement diversifié avec l'arrivée magistrale de la Batmobile !

Alors oui, les combats en Batmobile sont très moyens, mais c'est juste génial de pouvoir traverser Gotham à fond la caisse, avec le son incroyable et puissant de la machine et de tout détruire lors de courses poursuites épiques.

Tout a été amélioré dans cet épisode, la ville est magnifique, les quêtes annexes sont intéressantes, la VF est superbe avec la plupart des doubleurs originaux et même le scénario est cool.

Ce finish dans la peau du Joker, plongé au plus profond de la folie de Batman... j'applaudis !

J'ai même acheté les DLC du coup.

Annotation :

Un DLC qui vient ajouter 4 missions annexes au scénario principal. Les missions sont bien intégrées au jeu et auraient pu faire partie du jeu de base. L'arc du Chapelier Fou n'est pas très intéressant, mais l'histoire de Mr. Freeze et la guerre interne autour de Ra's al Ghul sont vraiment plaisantes.

Annotation :

Par contre, les épisodes d'Arkham, en marge du mode histoire, sentent bon la fainéantise.
Celui de Batgirl est le plus travaillé et dure à peine une heure.
Ceux de Nightwing, Robin et Red Hood sont passables, sans plus, et occupent une petite demi heure chacun.
Celui de Catwoman est d'une nullité absolue, aucun travail sur le personnage, 10 minutes pour le boucler si tout va bien et un combat final complètement pété, à en jeter la manette contre les murs.
Le vrai regret vient d'Harley Quinn. Elle a une palette de coups complète, des gadgets, un sens de "détective" original, un mode furie et elle se bat verbalement avec elle-même dans des monologues déjantés. Bref, tout le travail est fait, mais son aventure dure 20 petites minutes et se termine par une baston sans intérêt contre Nightwing. Ils auraient pu faire un jeu entier avec elle !

Annotation :

Un F2P honnête mais pas hyper intéressant. La construction des cartes laisse à désirer et beaucoup de parties se transforment en une sorte de guerre de tranchées où chaque équipe reste bloquée sur ses positions. Ça manque de mobilité, ça manque de précision dans les hit boxes, ça manque de pas mal de choses en fait.

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5 heures de jeu très sympathiques. C'est court, mais suffisant pour faire le tour de la ville qui, malheureusement, sonne creux assez vite...
On détruit tout, on va vite, pas de quoi me donner envie de jouer à Second Son mais ça occupe un week end morne.

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La randonnée fût courte, mais cool. Artistiquement, c'est magnifique, j'ai adoré chaque minute passée dans cette forêt.

Le scénario s'engage sur quelques fausses pistes puis distille du mystère à petite dose. A un moment, il y avait même un peu de tension à se déplacer seul - mais pas tant que ça - entre les arbres.

Mais comme souvent avec les jeux, films, ou livres, qui essayent d'entretenir un suspense total et plusieurs possibilités, le développement de l'histoire est bien plus prenant que sa résolution.

On ne coupe donc pas à un final qui fait pschiiiitt, le genre de truc à s'étonner à voix haute d'un "ah, c'était ça...".

Annotation :

Slasher dans sa première partie, film d'horreur classique dans la deuxième. Beaucoup, beaucoup, de problèmes pour en faire une histoire vraiment efficace... à commencer par le rythme et la tension qui s'effondre sur la fin alors que ça devrait être tout le contraire.
Personnages peu inspirés, histoire parfois sans queue ni tête, morts injustes pliées en 2 secondes... j'adore le concept, mais l'exécution n'est pas à la hauteur.

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Troisième run sur le jeu.
J'ai eu un peu de mal à me réadapter au gameplay pataud après avoir virevolté si longtemps sur Bloodborne, mais finalement j'ai repris mes marques et l'aventure a été de nouveau savoureuse.

Que ce soit dans les lieux, dans la mise en scène ou dans les boss, je trouve la série Dark Souls bien plus impressionnante que Bloodborne.

Et surtout, sur PC, ça tourne à 60fps (contrairement à l'infâme framerate de Bloodborne) et on n'a pas besoin de payer pour faire partie de la glorieuse guilde des Sunbros. Praise the sun !

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92 heures d'émerveillement (et encore d'autres derrière).

Un monde incroyable dans lequel se promener simplement avec un cheval est déjà si satisfaisant que je n'avais rien envie de faire d'autre.

Je regrette, bien sûr, les musiques trop discrètes (celle du trailer, follement épique, n'est même pas dans le jeu) et les donjons trop sommaires, mais le reste est tellement créatif, tellement maîtrisé, tellement beau et bien construit que plus j'y jouais, plus j'avais envie d'y jouer. Car oui, le plus fou avec Breath of the Wild, c'est que Nintendo a de la marge pour faire encore mieux !

Un coup de maître.

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Mass Effect Andromeda n'a pas l'air bien fabuleux, mais il aura au moins eu le mérite de m'avoir donné envie de jouer à la trilogie originale que je possédais depuis des lustres sans l'avoir jamais lancée.

Surpris, dans un premiers temps, par l'aspect ultra-compartimenté du jeu - une longue suite de couloirs, de micro-pièces et d’ascenseurs - je me suis plongé avec plaisir dans cette histoire, finalement pas si dingue, mais soutenue par une écriture de qualité. Au point d'en oublier le gameplay bien raide, la pauvreté technique et des environnements vides de chez vides

Je sais, c'est pas très fair-play de juger l'aspect technique d'un jeu sorti il y a 10 ans, sauf quand on se rappelle que Crysis sortait la même année, à quelques jours d'écart, l'âge n'excuse donc pas tout.

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DLC gratuit sans réel intérêt, si ce n'est d'obtenir une bonne armure Quarienne.

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Suite surprenante. Alors que je m'attendais à continuer la guerre contre les moissonneurs et à patauger dans les luttes politiques de la citadelle, me voilà propulsé dans une organisation paramilitaire plus ou moins illégale avec pour seul et unique objectif la préparation d'un assaut à haut risque contre un ennemi inattendu.

Scénario en retrait, donc, mais énormément de choses à apprendre sur l'univers et les races de Mass Effect. Comme pour le premier, la VF est nickel et les équipiers sont vraiment bien écrits (mention spéciale à Mordin).

Mass Effect gagne grandement en épaisseur et en attraction avec cette suite qui se modernise aussi du côté du gameplay.

Seule déception, Liara fait sa vie dans son coin...

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Un petit DLC sans prétention, on tire sur quelques vagues d'ennemis, on n'apprend rien de spécial. Bof.

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DLC dans lequel on doit empêcher le débarquement imminent des moissonneurs. Sachant que c'est déjà plus ou moins ce que je croyais faire dans l'histoire principale mais que les moissonneurs sont beaucoup plus proches de réussir leur coup dans le DLC, tout cela n'a pas trop de sens...
J'ai lu, par la suite, que ça servait plus d'épilogue à l'histoire principale que d'arc narratif séparé, dans ce cas là il aurait été judicieux de ne pas pouvoir jouer la mission à n'importe quel moment de l'histoire...

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DLC original avec un personnage cool. Par contre, le perso est complètement déconnecté de la trame principale donc une fois terminé je l'ai rangé dans le Normandy et je ne l'ai plus jamais réutilisé. Pas très utile au final.

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Même problème que précédemment, Zaeed n'a pas de développement dans l'histoire principale donc une fois son DLC terminé il n'a presque plus d'intérêt. En plus il a fini par mourir ce con.

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Là par contre je dis Oui ! Ça fait plaisir de revoir Liara et d'aller casser du mercenaire tous les deux. Cette chasse au courtier de l'ombre est bien sympathique et surtout ça explique un peu pourquoi Liara ne peut pas nous suivre sur le Normandy.
La carotte c'est que ça aurait dû être dans le jeu de base et que ça finit en DLC à un prix insolent.

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Des missions secondaires simplissimes à bord d'un nouveau véhicule. Sympa sans plus.

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Une fin de série en fanfare mais légèrement frustrante.

Certes, planifier la bataille finale contre les moissonneurs a plus d'intérêt que de préparer une simple mission contre leurs sous-fifres comme c'était le cas dans le 2, mais j'ai quand même regretté de voir partir la quasi-totalité de l'équipe assemblée avec acharnement un épisode plus tôt.D'autant que les nouveaux équipiers sont assez peu développés.

J'avais donc moins l'impression d'être à la tête d'une équipe mais au moins les enjeux étaient au rendez-vous. Résoudre la question du génophage, mettre un point final au conflit des geths et des quariens, affronter enfin les moissonneurs directement, tout ce que j'attendais et même plus.

Mais la fin reste frustrante, j'ai eu l'impression de n'être confronté qu'à des mauvais choix. Pour une fois qu'on n'est pas devant un bête happy end, je ne vais pas trop me plaindre, mais j'aurais attendu quelque chose de plus balaise, de plus crédible aussi.

Il manque un truc à cette histoire.

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DLC sans grand intérêt, on gagne un personnage un peu particulier, avec quelques bonnes répliques, mais rien de sensationnel.

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Un DLC « humoristique », avec beaucoup de guillemets… les tentatives d’humour, comme le scénario de cette mission supplémentaire, font franchement de la peine.

Shepard récupère donc un appartement (en pleine guerre contre les moissonneurs, qu’est-ce qu’il en a à foutre déjà) et puis se retrouve dans une conspiration bidon de chez bidon.

Les équipiers sortent des punchlines nazes à tour de bras, Liara en particulier ne dit que de la merde, il y a des blagues à base de brosse à dent…

C’est sensé être un DLC d’adieu, donc je peux comprendre le ton léger, mais l’écriture tombe à plat tout le temps, on dirait du sous Joss Whedon, autant dire qu'on gratte le fond du tonneau...

J’avais hâte d’en voir le bout.

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DLC sympa qui permet de mettre Aria T'Loak dans son équipe pour la reconquête d'Omega. Du boum boum sans prétention, mais généreux.

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DLC qui permet de faire la lumière sur l'origine des Moissonneurs. J'ai bien aimé cette mission sous forme d'enquête et d'exploration sous-marine.

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Un jeu très reposant et visuellement impeccable. J'ai bien aimé déambuler dans le désert aux côtés d'autres pèlerins égarés.
A part ça, c'est quand même vite plié et pas inoubliable.

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J'aurais essayé, mais je n'accroche toujours pas à Battlefied.
Par contre, la campagne solo n'était pas désagréable, pas originale pour un sou mais ça se laisse jouer.

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La formule est classique (difficile de passer après Breath of the Wild de toute façon), mais la maîtrise technique est miraculeuse, même pour Guerilla.
Les combats sont nerveux, fluides, sans accroc. Les dinos sont cools, l'univers est magnifique.
Niveau narration et écriture c'est par contre très moyen et Aloy n'est pas un personnage extraordinaire, j'ai même trouvé son caractère et son comportement à côté de la plaque...
Pas inoubliable, mais très agréable manette en main, une vraie bonne surprise qui ne parvient tout de même pas à créer un véritable sentiment de "jamais joué".
Accessoirement, mon tout premier trophée platine, après 50 heures bien remplies.

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Je le connais par coeur, mais l'ambiance est tellement prenante que je l'ai fini trois fois de suite, puis en survie, puis en invisible. Saucé comme jamais.

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Pas mauvais en soi et graphiquement fantastique (ambiance au top dans le train) mais le jeu était déjà lourdingue à l'époque et c'est encore plus difficile à supporter 15 ans plus tard.

Système de gestion des items aux fraises... obliger de stocker ses objets en bordel par terre comme un clochard... la galère quand on essaye de ramasser les rubans encreurs perdus entre une dizaine de trucs et qu'on attrape toujours un truc qu'on veut pas.

Il y a aussi le grappin... qu'on abandonne sans regret parce qu'il prend deux cases mais dont on a besoin vachement plus loin alors il faut retourner le chercher.

Je préfère ne pas m'étaler sur la tronche de l'ennemi principal, une sorte de contrefaçon bulgare de Final Fantasy.

Et sur la fin il n'y a même plus de level design du tout, c'est un couloir avec quelques aller-retours.

Laborieux.