Journal des séries d'un pro-Japanimation : édition 2021 !

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Avis quasi-semblable vis à vis du manga : l'idée de départ est brillante, Senku un héros aussi ingénieux que déjanté et c'est souvent très drôle avec une bande-son de qualité et des seconds rôles attachant. Mais comme pour le manga, les obstacles rencontrés par ce royaume de la science semblent rarement être si difficile à surmonter et cette version animé montre à son tour trop de fidélité aux cases de l'œuvre de Riichiro Inagaki.

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Pas des courts censé montrée la créativité des animateurs, ils se sont pas foulés tant c'est anecdotique. En dehors des courts des Indestructibles qui exploite comme il faut leur petit monde, Pixar Popcorn est beaucoup trop bref et réduit sur la durée pour proposer grand chose de rassasiant.

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Des réserves et une légère indulgence que je ne cache pas. Car c'est pas très novateur sur le fond en terme d'écriture et Zen'Itsu est aussi amusant qu'un film d'animation Angry Birds. Mais la patte esthétique des artistes d'Ufotable, la dynamique des combats aux proportions dantesque, l'atmosphère musicale comme visuelle, la sincérité de son classicisme et de son héros m'ont fait passer un très agréable moment pendant cette première saison de Demon Slayer/Les rôdeurs de la nuit. A voir comment ça évoluera avec le film et la suite.

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Trois saisons terminée : un sithcom aussi génialement con que connement génial.

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Très sympathique série d'OAV sur l'un des personnages les plus charismatique de la partie 4 de Jojo's Bizarre Adventure, et en prime un très bon soin apporté au premier doublage français depuis un bail.

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Des ventres mous ici et là, des dialogues parfois plus discutable et un antagoniste dont le traitement final pose problème. Mais à côté, c'est une bonne démonstration que les Shôjo sont bien plus que les clichés qu'on leur colle souvent par erreur sur le dos : visuellement de qualité, une "famille" Sôma terriblement attachante et aux histoires personnels principalement bien écrite et par moment bouleversante, des moments de comédie et des moments éprouvants maîtrisés, un doublage de qualité dans les deux langues et une héroïne pour qui j'ai une immense affection.

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Une idée de départ chelou comme pas possible pour un résultat finalement très créatif et barré.

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Plutôt bonne surprise pour cette première série Marvel jouant très bien avec les codes des sithcoms américain, malgré une fin de saison retombant dans les poncifs des grosses productions Marvel.

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Un buddy animé super-héroïque de bonne facture mais sans surprise au bout du compte, et les CGI en 3D ont tendance à prendre un vrai coup de vieux.

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Une quatrième saison en-deçà des deux précédentes et moins couillu mais toujours très bien écrite et doté de cette ambiance ultra-envoûtante et atypique.

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Le passage des studios Wit à Mappa se ressent et ça n'épargne pas quelques transitions qualitatives douteux (les titans en 3D qui sont vraiment intrusifs). Mais la noirceur que prend le récit et ses enjeux aussi bien humains que politiques sont très bien retranscrits et brouillent définitivement, et parfaitement la frontière entre le bien et le mal. Ah et Peak est aussi étrange que mignonne !

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La liberté de moyen sur le petit écran permet une liberté plus conséquence pour Genndy Tartakovsky qui confirme son immense talent de narrateur une fois qu'il est libéré de ses cahiers des charges. "Primal" est brutale, sanglant, intense, mutique et minimaliste sur de nombreux points mais il est également beau, mystique, communicatif comme jamais graphiquement, riche derrière son raz de marée de violence et doté d'une mise en scène grandiose.

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Une série animée Netflix très charmante bien qu'assez enfantine par moment, mais très bien rattrapé par sa chaleur, sa douceur et sa douce innocence.

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Dernière saison handicapée par son format plus court et sa nature de Shôjo malgré des bons moments toujours présent et un attachement toujours là pour les personnages.

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Marathon terminée depuis quelques jours : ça valait largement le coup.

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Spin-off d'Excel Saga et plus précisément dérivé du dernier épisode d'Excel : je savais que ça serait dingo mais là...

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Cela rajeunit pas : diffusé sur Canal+ y'a plus de 20 ans, maintenant pleinement assimilé.

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Un vrai coup de cœur !

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Une charmante comédie romantique qui déjouent efficacement certains clichés redondant du genre malgré une durée d'animé trop courte.

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Un prolongement frustrant, insipide et un énorme gâchis inexcusable pour l'un des films les plus appréciés de la compagnie Pixar.

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Sympathique avec une patte graphique qui se distingue des précédentes productions de Wit Studio, mais répétitif et n'assumant jamais ses rares tentatives d'audace en plus d'être trop perché dans le final de son dernier arc.

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Me voilà totalement réconcilié avec MAPPA suite à la petite déception visuelle de la saison 4 de L'attaque des titans. Un univers qui démarre sur des plates-bandes reconnus mais qui se démarque par son traitement et ses nombreuses pistes potentielles en fin de première saison.

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La puissance de Star Wars et de la Japanimation combinée.

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Une exploration plaisante sur l'origine des attractions phares et incontournables des parcs Walt Disney malgré une narration pas toujours irréprochable.

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Plus partagé sur cette saison 5 : des limites évidentes commencent à se faire voir en tant qu'adaptation (certaines coupures désavantageuses vis à vis du manga, l'arc des super-vilain donne une sensation de rush alors qu'elle constitue un tournant de forte gravité dans l'œuvre d'origine, et le traitement des événements dans un ordre différent ne joue pas non plus en sa faveur). Mais studio Bones oblige, ça reste d'excellente qualité visuelle, le face face à secondes de la filière héroïque A contre les secondes B est vraiment cool, le développement d'Endeavor est à suivre et l'un des passages les plus plébiscités par les lecteurs arrive à grand pas. Qu'ils en profitent pour tirer des leçons de leurs erreurs et porter au sommet cette version animée du manga d'Horikoshi.

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https://youtu.be/oLrBYVDDu0g

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Une comédie musicale pas affreuse mais vraiment boiteuse, le cul entre deux chaises entre hommage et autodérision et un dernier épisode écœurant de bien-pensance.

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Immersive et très osé pour une plongée dans l'envers du décor du MCU, et Tom Hiddleston toujours aussi charismatique.

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Moins éclatant graphiquement que Jujutsu Kaisen et une fin de série qui demande du recul et souffre de sa moral trop promptement annoncé, mais très convaincante par la dureté et la violence de son univers, les péripéties vécues et traversées ou même endurées par Dororo et Hyakkimaru, et une preuve concrète du talent des équipes du studio japonais MAPPA.

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Petit coup de coeur surprise chez Masaaki Yuasa !