L'odyssée de Kino : le monde des animes

Annotation :

Je pense qu'entre mon pseudo, le nom de cette liste et la note attribuée à cet anime, il est inutile de préciser à quel point j'ai adoré "l'Odyssée de Kino", de son nom japonais Kino no Tabi. C'est LA série qui m'a remis sur la route de la japananimation à lors que je commençais réellement à me lasser de ce média. Aujourd'hui encore elle trône selon moi au sommet de cette-dernière au côté de FullMetal Alchemist : Brotherhood.

Kino no Tabi est une œuvre d'une qualité rare, un voyage à apprécier pour ses idées et le travail effectué sur ses dialogues.
Son aspect road movie est facilité par un choix judicieux du format lui permettant à chaque épisode de montrer une facette nouvelle du monde, un message pertinent envers lequel le visionneur ne pourra se montrer insensible.

On notera un certain côté plus tendre et poétique, notamment dans les répliques entre Kino et Hermes, dont les dires sont d'une justesse rarement égalée dans un anime. Il en résulte un parfait équilibre entre les expériences parfois déroutantes de Kino, et la légèreté du climat qui entoure note duo de "personnages".

Il est clair qu'une simple annotation (ou critique) est loin d'être suffisante pour analyser une œuvre de cette envergure, chaque épisode représentant de manière générale une histoire à part entière pouvant être analysée. Néanmoins j'espère un jour trouver le temps de faire une analyse précise de Kino no Tabi, afin de rendre hommage à cette œuvre, selon moi trop méconnue en comparaison de son génie.

10/10.

Annotation :

En cours de re-visionnage. (je prends mon temps)

9/10

Annotation :

Retranchez-vous plutôt sur la version 2011, bien plus aboutie et fidèle au manga.

C'était quand même bien malgré tout, et on apprécie le travail fourni sur l'ambiance, bien plus sombre que dans la version 2011. On pressent vraiment le véritable danger de mort pendant l'examen des Hunters, avec un Hisoka plus psychopathe que jamais.

Cependant certaines scènes ont très mal vieillies, et ne tiennent pas la route en comparaison du travail fourni par Madhouse sur la version 2011. Le combat entre Gon et Hisoka étant l'un des exemples les plus frappants, avec celui de Kurapika contre Ugovin, qui est censé être l'un des éléments clés de l'arc York-Shin City, CELUI qui va engendrer le massacre. La où le studio Madhouse a pris la liberté de faire des plans et images particulièrement marquantes (passage dans un "univers" en noir, blanc et rouge, avec des jeux de caméras et des ralentis à couper le souffle), la version 1999 s'écrase totalement de part son extrême banalité.

Une version en demi-teinte donc ; et je n'ai pas parlé des OAVs sur Greed Island.

7,5/10.

Annotation :

9/10

Annotation :

J'ai tout de même préféré Cowboy Bepop. Disons que Samurai Champloo a fait quelques égarements trop importants pour obtenir le 9 comme son aîné, même s'il s'en rapproche grandement.
8,5/10

Annotation :

8,5/10

Annotation :

Une suite légèrement moins bonne mais toujours dans le même esprit.
8/10

Annotation :

8,5/10

Annotation :

8,5/10

Annotation :

7,5/10

Annotation :

Coup de cœur de mon enfance avec Ulysse 31 et Les cités d'or.
7,5/10

Annotation :

7,5/10

Annotation :

8/10

Annotation :

Un autre OVNI de l'animation, cependant j'ai eu beaucoup de mal à m'accrocher jusqu'au bout. Le rythme est très (trop?) lent et il se passe honnêtement peu de choses pour une série d'une vingtaine d'épisodes.
Il faut cependant replacer Gankutsuou dans son contexte pour l'analyser, puisqu'il s'agit d'un anime issu de l’œuvre "Le comte de Monte Cristo", roman paru en 1844. Les entremêlements entre les intrigues propres aux différents personnages, la narration et la portée artistique sont avant tout à étudier au sein d'une telle adaptation.
Gankutsuou s'impose donc comme une autre preuve démontrant que les adaptations de romans en anime figurent souvent parmi le top de la japananimation (comme ce fut le cas pour Shinsekai Yori, notamment).

Annotation :

Quelques épisodes tenant du génie (le troisième notamment, à couper le souffle), mais un ressenti global gâché par l'arrivée du fantastique.
7/10

Annotation :

En tant qu'anime Bleach n'est pas ce que j’appellerai un chez d’œuvre. Néanmoins ses combats vraiment impressionnants et ses personnages à foison en font un shonen incontournable.

Après on aime ou on aime pas (phrase un peu stupide), mais Bleach pour moi c'est un coup de cœur - ça s'explique pas.

Note spéciale pour l'OST, sublime :
Sélection personnelle des meilleurs OST :

- action : Treachery, Invasion, Chokkaku, Battle Ignition, Destiny Awaits, Fade to Black (BO3, AO4a, B13a, Irish Dance), Number One, On the Precipice of Defeat, Quincy's Craft, Stand Up Be Strong, Vasto Lord.

- triste : Never meant to belong, Here to Stay, Torn Apart, Soundscape to Ardor, Will of the Heart.

- Hispanique : Clavar la Espada, Escalon, Nube Negra, La Distancia Para un Duelo.

Et virez moi la partie 8 et 11 s'il vous plaît (la 14 aussi est laborieuse, mais inclue un élément de scénario important).

6,5/10.