Le cinéma de 2021 : spécial Flop 10 !

Annotation :

Film solo qui arrive avec 2 ans de retard sur l'une des figures les plus inintéressantes du MCU, Black Widow soufre de la construction des films Marvel passé tant il n'a rien pour surprendre ni nous attacher aux péripéties de la veuve noire. En plus d'une réalisation molle, d'effets spéciaux souvent très perfectible et d'un aspect de film d'attente assez désagréable par rapport aux nouveautés qui étaient attendus cette année.

Annotation :

Ce qui aurait pu être un retour sympathique d'un des duo les plus célèbres du cartoon se révèle finalement victime de la paresse incommensurable de Tim Story qui n'a rien comprit à l'essence même de Tom et Jerry. Le slapstick est foiré, la logique de l'univers ne tient pas debout, le casting n'a pas grand chose à jouer, la volonté de moderniser dans la forme fait grincer des dents, et là encore ce film ne comprend pas grand chose à ce qui fait qu'on aime autant ce chat et cette souris animé.

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Neill Blomkamp n'a jamais rien eu d'un bon scénariste ni d'un bon réalisateur et c'est pas Demonic qui me fera dire l'inverse. Toujours aussi balourd dans ses effets et ses symboliques dans la mise en scène, échouant à exploiter le principal potentiel même de ce Demonic, plongeant dans les poncifs du film d'horreur et toujours inapte à diriger un casting correctement, Blomkamp continue sa descente sur la mauvaise pente.

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Régression invraisemblable pour Gorõ Miyazaki qui, en plus de confirmer pour de bon qu'il n'est pas Hayao, se plante improbablement à raconter un vrai début de récit. Entre personnages à claquer (Aya la première), un huit-clos qui tourne en rond et se répète, une laideur graphique irréfléchi qui ne s'accorde jamais avec les gimmicks visuel du studio Ghibli, et un premier acte qui se termine juste avant le générique, cette tentative à la 3D est un échec indiscutable qui n'aide pas Ghibli à revenir sur le devant de la scène et à se détacher de sa figure légendaire.

Annotation :

Si il est moins offensant que son aîné, Pierre Lapin 2 n'en reste pas moins un mauvais divertissement à la SONY : prévisible dans ses principaux intrigues et ridicule dans sa mise en abîme, échouant de nouveaux à nous faire rire à cause d'un dosage raté ou à nous investir, parasité par sa soundtrack pop moderne et une mise en scène toujours autant en pilote auto, Will Gluck fait certes moins pire que le premier mais ne propose rien de vraiment défendable.

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Enième comédie de merde de chez Dreamworks Animation : alternant crétinerie scénaristique bonne à faire rire les bébés, catastrophes ambulant sans répercussion, l'esthétique lissé toute moche du premier volet et une alchimie entre frère qui ne prend pas. Et Jeff Goldblum en erreur de casting inexcusable pour l'antagoniste de cette suite qui mérite sans mal de finir au fond des oubliettes.

Annotation :

Moche comme un cul, monté par le même épileptique qui avait monté Resident Evil Chapitre final, incompréhensible vis à vis de l'univers qu'il adapte sauf pour filmer les Jovovicherie de sa femme, Paul W. S. Anderson reste fidèle au poste pour ce qui est de massacrer les licences vidéoludiques en espérant faire de l'orfèvre. Là-dessus, pas de déception !

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Foutage de gueule supplémentaire envers les gamers avec cette nouvelle adaptation de la licence Mortal Kombat qui se plante sur toute la ligne : personnages creux et mal écrit, esthétique immonde avec une brutalité sanguinolente plus grotesque que jouissif, référence gratuite et déplacé au jeu, direction d'acteur désastreux, on suit les péripéties des combattants avec un tel détachement de tout ce qui se déroule sous nos yeux qu'on manque de s'endormir.

Annotation :

A la hauteur de son aîné, Veneom Let There Be Carnage est un immense moment de gêne et d'embarras de tout les instants continuant à mécomprendre le personnage de Venom, ainsi que celui de Carnage également. Bouffonnerie ambulant, Tom Hardy lassé à l'avance par toutes ces conneries, scènes d'action toujours aussi fade, Woody Harrelson en roue libre totale, musique assourdissante, et un Andy Serkis pied et poing liés qui n'a aucun moyen pour apporter un peu de dignité à cette bouse.