Le meilleurs des musiques de Star Wars

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Episode IV : Selon moi le thème le plus beau de la saga, doux, romantique, altier. Or, la musique de John Williams est d'abord une musique de thèmes. Tout au long de la saga, John Williams n'aura de cesse de l'étoffer, de le réorchestrer (j'y reviendrais le temps voulu) pour notre plus grand bonheur. Ce thème, quoi qu'il en soit, donne une noblesse à la hauteur de la Princesse Leia et de sa force de caractère. En particulier lors qu'il alterne corde et cors, douceur et majesté.

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Episode V : Je renommerais ce thème le thème du côté lumineux, voire le thème des jedis. D'abord doux, puis puissant, il affirme avec constance, tranquillité, certitude, le triomphe de la force. Evidemment, il s'agit probablement du thème le plus présent de toute la saga, au moment clé, le thème de la force émerge, annonce la victoire à venir.

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Episode VI : on touche ici à toute la complexité de l'oeuvre symphonique, avec les principaux thèmes enchâssés, dans un final épique, en trois lieux distincts, sur Endor, sur l'étoile de la mort, dans l'espace où le fils vient affronter le père, sous le regard maléfique de l'empereur. Le fils s'énerve, sous les choeurs déchainés et tragiques et les cordes stridentes. Le thème est grisant de noirceur et de violence, mêlées aux sinistres voix maléfiques du côté obscur, et du thème de l'empereur, qui peu à peu s'impose. Un moment musical selon moi trop oublié et qui pourtant marque toute la maitrise et la maturité de John Williams au bout de trois films.

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Episode VI : la suite du précédent, avec un morceau d'abord rythmé et épique marquant la fin de la bataille spatiale, puis la torture de Luke par l'empereur, maléfique comme jamais, chaque note de son thème étant terrifiante puis la rédemption de Vader qui le jette dans un puit puis qui meurt dans les bras de son fils (le thème ici est merveilleux, avec notamment la réinterprétation du thème de Vader à la guitare, et à la harpe, juste magnifique, doux et triste). Le mal a disparu.

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Episode V : lié au thème de la force, sagesse, plénitude, bonté.

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Episode VI : Toujours cette incroyable capacité de Williams a mêlé les intrigues. Le thème de l'empire ici est absolument démoniaque, prolongé par celui de l'empereur, introduit pour la première fois, et se terminant par des cuivres brillants et puissants qui glacent le sang. Puis, on retrouve le thème de Yoda, qui se meurt. On y entrecroise le thème de la force décliné en marche funèbre, le thème de Yoda, le thème de Luke et Leia. Tout est contenu en 10 minutes, c'est ce qui est fabuleux.

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Episode VI : le thème du frère et de la soeur, dans le pur esprit de celui de Luke et de Leia, très optimiste, très héroïque. Ce style sera repris mainte fois par la suite, notamment la postlogie.

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Episode IX : une énième reprise des plus beaux thèmes de la saga, notamment celui de la force, triomphante, mais surtout celui de Leia, comme un dernier hommage (c'est sa dernière apparition à l'écran, presque) dans une version optimiste et sereine comme jamais, alors que ce film est l'un des plus sombres de la saga. La fin du morceau reprend le merveilleux motif de la Force et Yoda (en position 2 de ce classement).

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Episode III : là encore un double thème, à l'écran, deux naissances entrêmêlées, celle de l'espoir, et celle du mal absolu (Vader). Mais il se dégage de l'ensemble une grande tristesse, Williams reprenant une marche funèbre qu'il avait déjà introduite dans l'épisode I avec la mort de Qui Gon. Cet homme sait tout faire.

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Episode II : s'il s'agit d'un des épisodes les plus faibles de la saga, sa musique demeure d'une extrême qualité. Le grand final là encore nous offre une myriade de thèmes et d'ambiances mémorables, à commencer par un mystérieux thème Sith lié à Dooku et Palpaltine avec une voie de femme puis un thème très inquiétant illustrant les doutes des Jedis affaiblis comme jamais, avant de s'écraser littéralement derrière la première occurence (dans l'ordre des épisodes) du thème de l'Empire) avant de terminer sur le très joli thème d'anakin et Padmé. Le tout est tellement fluide et évident, lie les différents scènes avec une facilité déconcertante. On peut qualifier la deuxième trilogie de Williams de plus lyrique, par rapport à la première trilogie, peut-être plus abstraite.

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Episode III : certainement un des thèmes les plus tragiques de la saga (cette seconde trilogie étant une tragédie en trois actes), très lyrique, très expressif, sans fioritures ou effet stylistique de Williams. Cordes éplorées à l'unisson.

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Episode IX : morceau très riche, en trois temps, d'abord le duel, brutal, presque abscons, ensuite le thème du soin de force, qu'on entend trop peu, alors qu'il illustre toute la magie et la bonté du coté lumineux, puis la mort de Leia, soulignée par une reprise de son thème en version marche funèbre. Williams sait tellement bien réarranger ses thèmes, ici, à la flute traversière, mais un octave en dessous, et plus lentement.

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Episode III : cette BO est aussi l'une des plus iconoclastes de la saga, avec des moments musicaux très différents de l'habitude (comme l'opéra de Palpatine). Ici, un chant oriental avec des synthétiseurs, une complainte très triste, fondamentale, puisqu'elle scelle le sort d'Anakin à jamais, représentant le moment de bascule de toute la saga.

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Episode V : le premier thème immense de ce second volet, qui va devenir le fil rouge de tous les thèmes maléfiques, le pendant du thème de la force. Il est le thème de l'empire, de la tyrannie, du mal, de Vador tout à la fois et dans une certaine mesure de l'empereur. Martial à souhait, culte à jamais.

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Episode IX : un morceau qui n'apparait presque pas à l'écran mais qui est un des plus originaux. Noir à l'extrême. On pourrait le surnommer le thème du côté obscur (il est une variante, en partie, d'ailleurs des thèmes de Vader et de l'empire). L'empereur est au faît de sa puissance.

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Episode VIII : même si cette postlogie est moins marquant musicalement, lorsque Williams ressort les plus grand thèmes, c'est une merveille. Ici, le thème de la force s'annonce plus triomphant que jamais avant de s'évanouir et de disparaitre comme Luke et de passer le flambeau à Rey via son thème. La musique de Williams raconte le film.

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Episode IX : un des titres les plus intéressant de cet épisode, avec un thème très nébuleux et triste, mêlant le thème de l'empereur et de Rey, liés par le sang, mais opposés par la force, thème qui est descendant, cotonneux, au glokenspiel et au piano (ce qui est rare dans la saga). Avant l'affrontement final, la force retrouvée de Rey. Moment musical vraiment meilleur que la scène qu'il illustre.

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Episode V : exceptionnelle course poursuite, emplie de rythmes et de thème endiablés mille fois repris, jamais égalés. Un de ces morceaux fondateurs de l'âme de Star Wars, pur Space Opera, avec ses airs de Host et de musique savante.

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Episode VII : un moment doux, un peu merveilleux, comme la saga sait le faire, une musique qui pose ses personnages et son action et qui brasse plusieurs thèmes intéressants de cette nouvelle trilogie.

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Episode VIII : inspiré par le thème de l'opéra de l'empereur, Snoke n'étant que son pâle clone, on a le droit à des choeurs d'hommes très sombres, mêlant aussi le superbe thème de Kylo Ren et celui de Vador, ce personnage essayant de lui ressembler mais étant en échec face à cet imposant ancêtre. Le thème de Ren finit ainsi par exploser, de désespoir puis de colère, cuirs pétaradants.

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Episode VII : nouveau thème tragique qui pose les enjeux dramatiques d de l'épisode. Comme pour the Immolation Scène, pas de fioritures, juste du pur lyrisme, cordes à l'unisson. Ce thème est concomitant à la souffrance de Kylo Ren qui tuera son père sur les mêmes notes. Le parallèle est à faire, la destruction de la république ici (moment illustré par le morceau) va de paire avec la mort du père.

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Episode I : Oui, Williams est incroyablement épique. Ce n'est pas ce que je préfère chez lui. J'apprécie plus son travail dramaturgique et thématique. Mais j'avoue que ce morceau dégage quelque chose de l'ordre de l'Iliade, le duel des titans et des dieux (repris dans l'épisode III, d'une manière plus grandiose encore entre Palpatine et Sidious).

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Episode I : le merveilleux de Williams, presque Harry Potter ou Jurassik Park, mais qui montre sa capacité à aller chercher toutes les émotions. Ici, il parle d'un enfant, et le fait avec une grande douceur.

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Episode I : A écouter pour l'étrange et puissant thème de Oto Gunga, pure aventure et merveilleux.

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Episode III : Anakin commet le pire. Il ne pourra jamais revenir en arrière. La fatalité pèse sur le morceau, à l'unission, signe que le sort en est jeté, la musique ne fait pas de doute sur la destinée tragique du héros.