Le Soleil Kirsten Dunst

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Trois courts-métrage sur New York signés par Martin Scorsese, Woody Allen et Francis Ford Coppola, l’idée est vraiment intrigante et si les deux premiers cités s’en sortent plutôt avec les honneurs, Coppola se montre lui décevant, proposant quelques longueurs et surtout un ensemble inintéressant, parfois même un peu lourd, dommage.

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Une adaptation décevante et c'était presque couru d'avance malgré le prestige devant et derrière la caméra. De Palma signe un film impersonnel et une adaptation trop superficielle de l'oeuvre de Tom Wolfe et ce, malgré quelques points intéressants.

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Quelques très bons comédiens se mettent au service de cette histoire de vampire assez bien foutue, parfois même passionnante, notamment par le prisme du voyage à travers les siècles qu'il propose, mais aussi avec des personnages consistants et forts.

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Jumanji parvient à recréer tout un univers en étant assez malin, privilégiant l'ambiance au reste, sublimée, par exemple, par les bruits d'appels du jeu. Les comédiens sont très bons, et participent grandement à la réussite du film, qui se révèle surtout efficace, arrivant à dépasser le simple stade de souvenir d'enfance.

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(Voix d'Anya/Anastasia jeune)

Don Bluth et Gary Goldman mettent ici en scène la passionnante légende tournant autour de la survie de l'héritière Anastasia, et propose une oeuvre mêlant aventure, romantisme, fantastique ou encore humour, et, sans que ce soit transcendant, tout marche plutôt bien, avec des personnages attachants ainsi qu'une animation de qualité, sublimant tant la Russie que les paysages enneigés ou Paris.

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(Voix de Kiki dans la version américaine)

Décidément, Hayao Miyazaki est incapable de décevoir, et c'est logique venant de la part d'un cinéaste qui sublime tout ce qu'il touche et il propose avec Kiki la petite sorcière une oeuvre simple, attachante ou encore jolie, toujours avec une vue à hauteur humaine et magnifiant chaque millimètre de pellicule.

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Small Soldier laisse finalement surtout des regrets... l'oeuvre est vraiment sympa mais c'est dommage que Joe Dante n'aille pas au bout du délire et n'exploite pas mieux son concept de base. Après l'humour marche, le film est vraiment plaisant à suivre, et sans temps-mort, mais il aurait pu être un vrai modèle de divertissement, à l'image d'un Gremlins, au lieu d'être seulement un bon film.

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Chronique amer de l'adolescence, Virgin Suicides fait preuve d'une vraie sensibilité et force pour dresser des portraits d'âmes fragiles, et faire ressortir une certaine dimension sur l'humain et la vie, le tout emmenés par de remarquables comédiens.

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Sam Raimi propose avec Spider-man une oeuvre fondatrice du renouvellement du genre héroïque au cinéma, mais aussi l'un de ses meilleurs représentants. Il capte l'essence du personnage, parvient à créer des protagonistes forts et passionnants, un antagoniste parfait pour notre héro, et des seconds rôles soignés, allant de la charmante petite amie au tyrannique patron d'un journal. Tout est bien maîtrisé, le rythme, le scénario ou encore l'ambiance, plusieurs séquences sont mémorables et on prend un vrai plaisir à suivre cette aventure teintée de légèreté et se posant comme un modèle dans la création d'un super-héros, le tout servi par de remarquables comédiens.

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Michel Gondry sublime de remarquables comédiens pour une oeuvre attachante et inventive, avec une atmosphère lyrique totalement prenante et un univers qui l'est tout autant. On se laisse emporter dans ce voyage qui continuent tout un lot de sensation, et on les vit totalement, par le prisme de passionnants personnages.

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Sam Raimi propose avec ce second Spider-Man le parfait représentant du genre super-héroïque, où le défi est à la hauteur de l'homme, dans un film où les sentiments ont toute leur place, et mettant en scène les doutes d'un humain, avec bien des séquences inoubliables et de remarquables comédiens.

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Si Cameron Crowe n'évite pas quelques pièges du genre, il parvient à donner à la fois une certaine fraîcheur à son film, ainsi qu'un soupçon un peu plus mélancolique. Il s'appuie sur des comédiens à la hauteur, tant un surprenant Orlando Bloom qu'une magnifique Kirsten Dunst, et se montre capable de mettre en scène de jolies ou drôles moments.

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Objet pop nous emmenant à l'époque Louis XVI dans un style très moderne, parfois trop au point d'avoir l'impression que Sofia Coppola en oublie l'émotion et les profondeurs thématiques, qui ne sont ici abordés qu'en surface.

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Si les émotions et la patience étaient les maîtres mots de l'opus précédent, ce troisième volet se concentre surtout sur l'action, où Spider-Man voit trois ennemis se dresser face à lui, dont l'un influent sur son comportement. Moins impérial que sur les deux épisodes précédents, Raimi n'en a pas pour autant perdu son talent, et propose là un film efficace, s'appuyant notamment sur l'attachement que l'on a déjà pour les personnages.

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En signant Love & Secrets, Andrew Jarecki propose une oeuvre avec une idée de base plutôt intrigante, notamment autour de la folie d'un influent milliardaire. Le film est d'ailleurs plutôt bien construit, assez simplement, et on s'intéresse d'abord à ce personnage puis sa relation naissante. Le problème, c'est que le metteur en scène ne sait jamais vraiment où aller, et se contente de peu, ne met jamais d'émotion ou de tension dans sa réalisation, mais se concentre trop sur un banal résumé façon wikipedia, où les comédiens vont se grimer en fonction des époques, ce qui est dommage car il y avait du potentiel.

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Mes expériences avec le cinéma de Lars Von Trier oscillent dans tous les sens, et Melancholia le confirme, oeuvre qui ne m'a jamais paru transcendante, n'arrivant pas à proposer une atmosphère forte avec des émotions adéquates, malgré de bons comédiens et bien des idées intéressantes.

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Rien n'est vraiment intéressant dans Sur La Route, les personnages sont énervants ou inintéressants, alors que le film est poseur, avec des comédiens cherchant juste à se donner un genre en jouant la carte de la caricature à l’extrême, et finalement tout le monde en devient juste tête à claque, et on se demande ce que certains bons comédiens viennent foutre là.

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Si on peut regretter que l'univers se complexifie parfois un peu inutilement, avec une histoire pas toujours transcendante, Upside Down n'en reste pas moins une oeuvre attachante, portée par de bons comédiens à l'image d'une toujours magnifique Kirsten Dunst, et surtout sublimée par une inventivité dans le monde décrit, ainsi qu'une ambiance prenante, mélancolique et même un peu triste.

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(Elle-même)

Filmer le vide au point que ça en devienne une caricature, voilà là où The Bling Ring déçoit, plus rien ne sonne vrai, aucune émotion ne se dégage du récit, et les personnages sont inintéressants au possible, alors que Sofia Coppola ne sublime jamais son sujet, proposant juste un ennui qui pointe assez vite le bout de son nez.

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Hossein Amini s'entoure d'un très bon casting pour proposer The Two Faces of January, thriller sympa et dépaysant, proposant divers jeux de pistes et rôles autour de personnages plutôt intrigants. On peut regretter quelques baisses de tensions ainsi qu'un ensemble jamais réellement transcendant, mais cela reste plutôt agréable à suivre, ainsi que bien ficelé.

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Renvoyant directement à ses glorieux ainés tel Spielberg et son Rencontre du 3ème Type, Midnight Special se révèle être d'une grande justesse, force et mystère, confirmant tout le talent que Jeff Nichols avait déjà montré jusque-là et s'affirmant/se présentant comme l'une des plus belles surprises SF depuis bien longtemps.

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C'est dommage, le sujet est vraiment intéressant mais le traitement assez pauvre, se contentant juste de faire passer les blancs pour des connards, et passant totalement à côté des véritables enjeux que Les Figures de l'Ombre aurait du proposer, et ce malgré des comédiens plutôt corrects bien que parfois sous-utilisés.

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Sofia Coppola sait créer de belles images et sublimer un jolie cadre, tout comme elle parvient à créer des personnages intéressants et parfois même profonds. Néanmoins elle ne parvient à créer de véritables sensations autour d'eux, ainsi que d'en faire ressortir une tension forte, alors que le sujet s'y prêtait clairement (ce qui est pourtant présent dans le film de Siegel, d'ailleurs Coppola s'en rapproche pas mal).