Le TRAVESTISSEMENT dans les films

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Fatty est amoureux de la fille du patron de la boucherie qui a été envoyée en pension. La pension était interdite aux hommes, il se déguise donc en jeune fille pour pouvoir y pénétrer et retrouver sa bien-aimée. Il porte une perruque à longues boucles, un gros nœud dans les cheveux et une mignonne robe à froufrous. Vu sa carrure, sa taille et son poids (130 kg), le résultat est garanti !
Mais son rival a la même idée que lui et arrive aussi à la pension déguisée en fille avec une jupe à carreaux et des nattes très sages.
C'est très vite la pagaille ...

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Chaplin en femme acariâtre

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Chaplin mis à la porte des studios de la Keystone pour son manque de professionnalisme y revient déguisé en jeune fille et s'y fait embaucher.

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Paul Lavond se déguise en grand-mère pour échapper à la police et accomplir sa vengeance

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Pour s'assurer de la qualité du maquillage de ces deux comédiens, Billy Wilder demanda à Jack Lemmon et Tony Curtis d'aller, travestis en femmes, se repoudrer dans les toilettes du studio. Personne de la gent féminine ne les remarqua.

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"Dans un premier temps, MacIntosh est déguisé par les choristes (ou figurantes) de la Damnation de Faust pour éviter l'arrestation. Ensuite, après la sortie des égouts, il est utilisé comme appât (après une transformation de son costume), en jouant les tapineuses à proximité de la bouche d'égout. Le but : récupérer des costumes "ordinaires" pour ensuite pouvoir prendre le train."
Commentaire de Turandot

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Don Salluste (de Funes) se travestit en femme pour passer inaperçu et approcher Blaze incognito dans une taverne

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Ligthfoot (Jeff Bridges) se travestit en prostituée dans le cadre d'une opération de braquage

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Charles Duchemin (de Funès), directeur d'un guide astronomique, se déguise pour aller dans les restaurants incognito

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Le personnage de Katia

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En abordant le sujet délicat du travestissement, Sydney Pollack souhaitait surtout garder un propos mesuré :
"J'étais parfaitement conscient des dangers qui m'attendaient. À tout instant, on pouvait déraper, sombrer dans la vulgarité. Cela pouvait aussi bien devenir le film d'un seul gag : un type en travesti... Or, je n'ai aucun goût pour la grosse farce ou les plaisanteries graveleuses."
Une direction que le réalisateur maintint contre vents et marées, et notamment contre Dustin Hoffman "qui voulait aller beaucoup plus loin dans l'incongruité". Le réalisateur résumait ainsi l'objectif de son film : "Si, en se féminisant, Michael devient un homme meilleur, cette comédie aura trouvé son épine dorsale, son fil conducteur."

Pour jouer les aspects féminins de son personnage, Dustin Hoffman déclara s'être inspiré de sa mère. "J'ai mis beaucoup de ma mère dans le personnage de Dorothy : sa chaleur, sa vulnérabilité, son énergie et surtout l'humour extravagant dont elle faisait preuve à l'égard du sexe"

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Une jeune polonaise se déguise en garçon afin de pouvoir étudier la Torah réservée aux garçons.

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Un membre de l'IRA qui s'est réfugié à Londres tombe amoureux d'une femme et découvre qu'elle est transgenre

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Le look de Madame Doubtfire a nécessité une attention toute particulière de la part de l'équipe du film. Le réalisateur Chris Columbus se souvient, amusé, avoir "d'abord essayé une approche légère : du rouge à lèvres et un simple maquillage. Mais on reconnaissait instantanément Robin. Ensuite, on a essayé des faux nez : pas plus convaincant ! Alors, on a décidé de lui refaire tout le visage. Après que nous ayons consulté quelque 500 photos de femmes, Greg Cannom trouva le portrait d'une vieille dame anglaise qui représentait vraiment la Mamie idéale."

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Une jeune chinoise est envoyée par sa famille étudier dans une école, elle doit se déguiser en garçon pour suivre les cours.

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Wesley Snipes, Patrick Swayze et John Leguizamo éblouissants en drag queens.

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Séquence durant laquelle l'inspecteur Amar Damjee est déguisée en danseuse de cabaret pour tromper les personnes qu'il traque.

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SRK travesti en femme fatale pour tuer sa cible. Bluffant!

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Inspiré de l'histoire réelle de Brandon Teena, jeune homme trans.

Kimberly Peirce a demandé à Hilary Swank de s'impliquer totalement dans le rôle en se comportant dans sa vie quotidienne comme le ferait un garçon.
L'expérience dura quatre semaines, durant lesquelles Hilary Swank a abordé des filles dans les centres commerciaux ou sur les pistes de roller-skate, et a créé l'illusion au point que personne n‘était choqué de la voir laver slips et chemises dans des laveries automatiques.

Outre un très gros travail de documentation, Kimberly Peirce a effectué une série d'interviews avec les habitants de Falls City. Mais les déclarations que recueillit la réalisatrice étaient contradictoires et ne permettaient pas de saisir l'essence de ce drame.
"En fin de compte" déclare Kimberly Peirce, « j'ai compris que je devais me placer là où le mythe de Brandon croise ma propre réalité et ma propre expérience, en me servant de la vérité émotionnelle sous-jacente à cette histoire. Ainsi, j'avais la possibilité de raconter une chose plus vraie que ce qui est réellement arrivé. (…) Je me trouvais devant ce processus qui consiste à transformer une réalité en fiction, pour mieux replonger dans une vérité beaucoup plus profonde. »

« Je savais que c'était vraiment important que je sois prise pour un garçon, pas seulement que je parle ou que je marche comme l'un d'eux. Aussi, étais-je très heureuse de faire ces expériences. Il est assez évident que les gens me parlaient comme si j'étais un jeune homme. J'étais fascinée par leurs réactions, toujours les regardant des les yeux pour essayer de savoir comment ils me percevaient, s'ils me perçaient à jour. » ( Hilary Swank)

« Le destin de Brandon Teena est, sans aucun doute, dramatique et tragique. Mais le défi était de trouver la dimension humaine, de découvrir ce que signifiait, pour Teena, être dans la peau de Brandon, la toute première nuit où il a été pris pour un garçon. » (Kimberly Peirce)

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La "transformation" de Patrick en Kitten a nécessité les efforts coordonnés des équipes de coiffure, de costumes et de maquillage. La maquilleuse Lynn Barber témoigne:"Cillian a un profil de mâchoire bien défini que nous avons estompé avec des ombres. Il fallait aussi qu'il se rase environ trois fois par jour et prenne bien soin de sa peau." Il fallait que Patrick ait un look à la fois androgyne, beau et innocent. Lynn poursuit:"Le personnage de Patrick est fasciné par les vêtements des femmes, par leurs accessoires et tous les flacons et les tubes dont elles se servent depuis leur plus jeune âge.

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Jared Leto est constamment resté dans son personnage durant la durée du tournage, ce qui lui a valu de nombreux regards médusés lorsqu’il sortait faire des courses. L’acteur Michael O'Neil (Richard Barkley), ne l’ayant pas reconnu, l’a même trouvé "mignonne" au début.

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L'actrice Glenn Close, également productrice et scénariste d'Albert Nobbs, cherchait à adapter ce projet à l'écran depuis plus de quinze ans. Elle avait déjà interprété ce rôle au théâtre en 1982 et une première adaptation cinématographique a failli voir le jour au début des années 2000, sous la direction d'Istvan Szabo, mais faute de financement, ce premier essai avait été abandonné. Au fil des années, Glenn Close s'est imprégnée du personnage de Nobbs, cette femme qui, pour s'en sortir dans le climat social de l'Irlande du XIXème siècle, se déguisa en homme. Tout au long de sa carrière, la comédienne a toujours gardé un attachement indéfectible pour ce majordome : "Il y a quelque chose de profondément émouvant dans la vie menée par Albert. Dès le départ, j’ai éprouvé un sentiment particulier pour ce personnage. J’ai été très occupée par la suite mais je n’ai jamais cessé de penser que cette histoire ferait un merveilleux film."

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Un homme annonce à sa compagne qu'il se sent femme. Celle-ci soutient sa transition.

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Histoire d'une amitié entre un veuf aux tendances suicidaires et une prostituée transgenre

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4 heures de maquillage étaient nécessaires pour transformer Guillaume en "Maman". L’équipe de tournage était tellement abasourdie par tant de ressemblance qu’elle avait l’impression de travailler avec deux personnes distinctes : "Grande stupeur de l’équipe, un brin troublée, déstabilisée, parce qu’elle devait s’adapter à ces changements d’identités, qui n’en finiront plus…" (Claude Mathieu)